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lture organisée (avril 1952)c Chacun connaît l’
histoire
du paysan qui affirmait sortir de l’église, non du café. « Ah tu étai
2
poème, d’une philosophie, d’une vue nouvelle de l’
histoire
ou d’une grande découverte dans les sciences, suppose des chances lib
3
tonome dans notre monde du xxe siècle. On sait l’
histoire
de cette union. En 1787, les treize États qui venaient de se libérer
4
mes Les manchettes des journaux nous cachent l’
Histoire
comme l’arbre cache la forêt. Un seul exemple : pendant que les Franç
5
et presque ridiculement court au regard de notre
histoire
commune. Ce qu’il s’agit de sauver transcende par nature les intérêts
6
n être ainsi, la faute en retombera aux yeux de l’
Histoire
, non sur les Russes, non sur les Asiatiques, encore moins sur les Amé
7
ême de tomber, étant trop bas. Tout au long de l’
histoire
du monde, la décadence des empires et des régimes démissionnaires ont
8
et répond à cette nécessité fondamentale de notre
histoire
au xxe siècle. Telle est la raison d’être de notre Groupe d’études e
9
le. Il ne peut satisfaire personne absolument : l’
Histoire
ne connaît pas de document de ce genre qui ne soit le produit de nomb
10
ni une simple coalition, formule condamnée par l’
Histoire
à l’unanimité des exemples connus. De toute la force de ses tradition
11
ys, s’inscrit dans les données concrètes de notre
Histoire
, tous ceux-là voudront le minimum, qui est le Projet de Communauté de
12
s, Messieurs, et de nous tous, d’écrire une autre
Histoire
pour une Europe nouvelle. Au nom du Groupe des Vingt m. « Situation
13
et nécessaire : sciences, musique, livre, presse,
histoire
, enseignement, éducation5). — Le Centre pense-t-il avoir, de cette m
14
e a sonné, si jamais signal clair fût donné par l’
Histoire
. L’Asie à Genève, ou l’Europe humiliée Deux mois plus tard, tou
15
rgueils déçus, rancunes et préjugés hérités d’une
Histoire
faussée par l’école, agressivité frustrée, et surtout angoisse de per
16
depuis un siècle, et notamment par les manuels d’
histoire
: l’anti-Europe a joué là-dessus. De notre côté, tout reste à faire,
17
visiblement, ce n’est pas la politique qui fait l’
histoire
; mais une doctrine, une foi, une folie, une personne. On dit : la pr
18
rti communiste, mais un certain enseignement de l’
histoire
qui a tué la CED en France.) Ces deux faits indiquent très clairement
19
enseignement nationaliste une vue plus juste de l’
histoire
commune des Européens. Ceci n’est qu’un exemple. Si nous cherchons en
20
l’exemple de l’homme scientifique. Celui-ci lit l’
histoire
des sciences. Elle lui fait voir que toutes les « vérités » qu’établi
21
e nos progrès techniques. Et là-dessus une petite
histoire
vraie. C’était il y a quatre ou cinq ans. Je cherchais de l’argent, c
22
t l’Océan, d’énormes capitaux s’amassent... Cette
histoire
vraie se passe de commentaires. Nulle autre, me semble-t-il, n’était
23
fensive anonyme contre l’humain, phénomène dont l’
histoire
n’a pas vue le précédent. Mais l’Europe est elle-même en grand péril.
24
s, et défaitisme devant le « mouvement fatal de l’
Histoire
» ; — attachement fétichiste à des « souverainetés nationales » qui o
25
t que quelques-uns au moins relèvent ce défi de l’
Histoire
. Sans orgueil, mais aussi sans lâche humilité. Quelques-uns peuvent b
26
l’Afrique du Nord. C’est qu’elle est sommée par l’
Histoire
de dépasser le stade des souverainetés absolues, condamnées par les d
27
erminent. ⁂ Un rappel des phases principales de l’
histoire
des relations culturelles entre la Russie et l’Europe de l’Ouest jusq
28
… Toutefois, ceux qui prendront connaissance de l’
histoire
de notre pays… pourront voir à quel point notre peuple est épris de l
29
re le Grand. Il fut « le premier technocrate de l’
histoire
, et il apparaît que ce qu’on appelle sa réforme ne fut autre chose qu
30
succès qu’il obtient sur le champ de bataille… L’
histoire
des deux siècles qui suivent la réforme de Pierre le Grand — le xviii
31
le xix e — représente, du point de vue russe, « l’
histoire
de l’osmose entre la Russie et l’Occident. À l’origine de l’osmose il
32
historiques de la Russie ancienne. Le peuple et l’
histoire
furent leurs idoles, à l’instar des romantiques allemands (la « slavo
33
adence » morale et culturelle : « La logique de l’
histoire
, écrit-il, prononce sa sentence contre la vie spirituelle de l’Europe
34
jet des exilés. 21. Voir là-dessus B. Zenkovsky,
Histoire
de la philosophie russe, 2 tomes, Paris, 1953 et 1955. z. « Aperçu h
35
s reste la seule possibilité pratique, — et que l’
Histoire
seule parvienne (peut-être) à les départager un jour… Ce qui nous sem
36
il n’existe pas, à notre connaissance, une seule
Histoire
de l’éducation en Europe faisant le point des connaissances actuelles
37
et séparées avec soin : grammaire, arithmétique,
histoire
, sciences, etc. Cette communication ne vise pas à initier l’individu
38
t être satisfaite que dans un bouleversement de l’
Histoire
. Même s’ils n’en demandent pas tant, on devra abattre pour eux quatre
39
s qu’à se laisser porter vers les cataractes de l’
histoire
. an. « François Fontaine, La nation frein. Un essai sur la France,
40
u l’appel suprême de la plus pure révolution de l’
Histoire
: le dimanche 4 novembre, sous le feu des canons russes, tandis que l
41
alement dans les esprits : préjugés hérités d’une
histoire
mal apprise, intérêts mal compris, calculs à courte vue, nationalisme
42
illir ses dépouilles, au nom de l’Avenir et d’une
Histoire
fatale, ce sont ceux-là qui ont vu se révolter contre eux, au nom de
43
-dire les porteurs de l’avenir et du progrès de l’
histoire
selon Karl Marx !31) Budapest a montré au monde que l’Europe divisée
44
nde Guerre mondiale, sont nées dans nos manuels d’
histoire
? Car le nationalisme belliqueux puis totalitaire fut la cause princi
45
repenser ou de critiquer les vérités reçues sur l’
histoire
de son propre pays. Lorsqu’il aborde ces débats — et 99 fois sur 100,
46
d’études et de documents sur l’enseignement de l’
histoire
dans une perspective européenne. 33. Voir Bulletin du Centre europé
47
ur de bien vouloir écrire le chapitre du manuel d’
histoire
se rapportant à l’Europe. Ce chapitre, que nous donnons ci-dessous, a
48
ements franconiens », mais Bayreuth, par la seule
histoire
de son festival « consacré » prédispose au frisson wagnérien. Il est
49
ture étant sans précédent. Pour le reste, voici l’
histoire
, réduite à sa chronologie sans commentaires. Réalisations 1949.
50
ur enseignement d’une vision plus européenne de l’
histoire
et de la géographie, notamment. Exécution. Avec l’appui des autorité
51
d’écrire le chapitre final d’un nouveau manuel d’
histoire
nationale, ce chapitre traitant de « La Suisse et l’Europe ». Le succ
52
en, c) Travaux de séminaires et tables rondes, d)
Histoire
européenne, e) Arts et mœurs. Deux ouvrages commandés par le pool et
53
rs, ainsi que des travaux sur l’enseignement de l’
histoire
et sur le vocabulaire de la science politique, qui seront fournis par
54
. La tâche si importante de réviser les manuels d’
histoire
a été assumée par plusieurs sociétés nationales de professeurs, sous
55
ataille de la CED a été perdue dans les manuels d’
histoire
nationalistes. Répétons-le : les principaux obstacles à l’union néces
56
embre 1959)bg L’auteur se défend de croire à l’
histoire
éducative ou utile, celle d’un Bossuet ou d’un Fénelon, pourvoyeuse d
57
similaires, selon leur seule issue. Il conçoit l’
histoire
comme une « psychanalyse collective », comme une prise de conscience
58
mancipant de ses complexes ». Dans cette vue de l’
histoire
, l’objectivité pure ne mènerait qu’à déchiffrer des documents. Or : «
59
onsciente. » Depuis cent ans, l’enseignement de l’
histoire
est dominé par une doctrine le plus souvent informulée, que l’auteur
60
omène déterminant qui, à lui seul, expliquerait l’
histoire
? En quelques pages nourries d’exemples frappants, Brugmans montre p
61
autorités traditionnelles. Les variations de son
histoire
ne s’expliquent que par un fond commun… Qui veut écrire l’histoire de
62
liquent que par un fond commun… Qui veut écrire l’
histoire
de l’Europe doit commencer par les héritages. » L’auteur en décrit ci
63
l était important que l’on écrive en français une
histoire
qui situe l’évolution « française » avant la lettre dans une perspect
64
witzer nous donne ici le plus pénétrant ouvrage d’
histoire
intellectuelle paru jusqu’à ce jour et traitant de la « problématique
65
t. Car nous tenons, avec cet ouvrage, la première
histoire
complète de l’idée européenne telle que l’ont exprimée d’Hésiode à Va
66
o n’a pas voulu refaire, après tant d’autres, une
histoire
de l’Europe dans ses réalités politiques ou économiques. Il entend se
67
économiques. Il entend seulement nous donner une
histoire
des prises de conscience successives et contradictoires de notre unit
68
c’est-à-dire aux grands auteurs de systèmes de l’
Histoire
; mais pour ne pas les imiter. A-t-on remarqué que les génies systéma
69
qui persistait à voir dans l’Europe « la fin de l’
Histoire
». Pour tous les autres, le mot fin ne signifie pas but mais décadenc
70
t cela seul peut expliquer ce grand paradoxe de l’
Histoire
: que l’Europe, qui représente à peine le 5 % des terres du globe, as
71
attitudes à l’autre en vertu de quelque loi de l’
Histoire
, devait abandonner l’une pour adopter l’autre, et que par suite l’aut
72
rogrammes scolaires… On insiste sur le fait que l’
histoire
d’une société est celle des classes laborieuses… (donc) des rapports
73
au bonheur final de l’humanité, en passant par l’
histoire
, l’économie et la morale ! (Mais pourquoi ne pas dire dans nos leçons
74
des premiers prix Nobel. Enfance heureuse et sans
histoire
, affirme-t-il. Il est élevé dans le patriotisme polonais et le cathol
75
ole des sciences politiques, et il entreprend une
Histoire
de la littérature française, du romantisme à nos jours, qu’il achèver
76
ils m’avaient consulté en bien des matières… » L’
histoire
de la nationalisation du pétrole est trop complexe en soi — et les no
77
e de bohème politique et d’accéder au niveau où l’
histoire
non seulement se prépare, mais se fait. Aux côtés du général Sikor
78
Russes. Il représente un tournant décisif dans l’
histoire
d’une partie de l’Europe si importante pour le reste du monde. Je me
79
consistait à créer de toutes pièces un capital d’
Histoire
, sans avoir d’autre mise initiale que l’Idée. Ni fonds ni meubles, ni
80
réveillé dès 5 heures, il lisait de gros livres d’
histoire
, de politique, ou de philosophie religieuse. Mais son travail réel ne
81
qui va se passer. » Boothby répéta sur le champ l’
histoire
à Retinger, qui en fut ravi. Comme il le fut une autre fois, quand je
82
ases métaphysiques, religieuses, et à toute notre
histoire
. Maintenant, elle se dégage de ce contexte et elle s’objective, elle
83
uvrir. (« Nous allons être obligés de trouver son
Histoire
! », disait récemment un jeune Sénégalais.) Une des premières conditi
84
mique ou politique ; manuels et enseignement de l’
histoire
et du civisme ; formation technique et adaptation de la technique aux
85
ropéen et les valeurs occidentales — Géographie —
Histoire
— Arts — Littérature et linguistique — Religion — Éducation — Problèm
86
vrages qui, bien souvent, relèvent à la fois de l’
histoire
, de la philosophie, du droit et de la politique, etc. Nous avons pris
87
elles il faut citer l’édition en six langues de l’
Histoire
de l’Europe et du génie européen (par l’éditeur Robert Laffont, à Par
88
éens sans une Europe constituée. C’est encore une
histoire
de la poule et de l’œuf : qui a commencé ? L’œuf, mais pondu par quel
89
l’Europe, et portant sur les matières suivantes :
histoire
, géographie, éducation politique, arts, sciences, littérature, langue
90
rais qu’on m’apprenne que la géographie précède l’
histoire
, mais ne la détermine pas. Et que les historiens nationalistes se moq
91
dociens et les Provençaux ? Allons donc ! C’est l’
histoire
du trait d’union : est-ce qu’il sépare deux mots, ou est-ce qu’il les
92
ctant leur diversité. Pas question de soumettre l’
histoire
, la culture, la nature physique, certes, mais pas non plus de justifi
93
s » et des sols. « L’Europe est un continent où l’
histoire
a souvent violé la géographie », écrit très bien Jacques Beaujeu-Garn
94
% des scientifiques ayant vécu depuis l’aube de l’
histoire
, sont vivants aujourd’hui. Et Louis Armand me disait un jour : si vou
95
parmi toutes les grandes cultures qui ont fait l’
histoire
de l’humanité, l’Europe a osé l’aventure d’un développement autonome
96
u qui interroge l’Occident sur son obsession de l’
Histoire
, du Temps, de l’Évolution et du Progrès, il faudrait que le théologie
97
de résoudre, parce qu’elle seule l’a posé dans l’
histoire
, c’est celui de l’Un et du Divers également réels et valables, dont l
98
créateur de l’interaction des disciplines dans l’
histoire
ancienne et récente de l’Europe. Dans quelle mesure et sous quelles c
99
le mécanisme des organisations européennes, leur
histoire
récente, leur jurisprudence, l’unification de leurs mesures sociales
100
e elle-même plus qu’elle n’a jamais fait dans son
histoire
. Cette liste de thèmes, vous le sentez, ne demande qu’à s’allonger a
101
ire de la Conférence Europe-Monde une date dans l’
histoire
de la conscience européenne. 66. Cette commission fusionna, au dern
102
1967)cb Que l’on s’occupe d’enseignement de l’
histoire
et de la géographie, des institutions politiques et de l’économie, da
103
ieu du xixe siècle. Les manuels de mon enfance —
histoire
et géographie, mais histoire de l’art aussi — présentaient l’Europe c
104
els de mon enfance — histoire et géographie, mais
histoire
de l’art aussi — présentaient l’Europe comme un puzzle de nations et
105
e dissipe comme brume au soleil à la lumière de l’
Histoire
, et très particulièrement de l’histoire des arts, de la peinture et d
106
ière de l’Histoire, et très particulièrement de l’
histoire
des arts, de la peinture et de la musique. Au risque d’empiéter sur l
107
nfluences mutuelles qui s’appelle l’Europe dans l’
histoire
de l’esprit humain. Montrer cela sans relâche et en toute occasion à
108
n à vos élèves, ce n’est pas seulement faire de l’
histoire
honnête, après un siècle de falsification nationaliste des perspectiv
109
socialement et politiquement. L’enseignement de l’
histoire
des arts, depuis le romantisme, est dominé par la notion de chefs-d’œ
110
, un nouveau départ, etc. C’est l’équivalent de l’
histoire
événementielle, qui ne tenait compte que des batailles, des règnes, d
111
, pour désigner une période des plus sombres de l’
histoire
, en France. Il ne s’agit pas non plus de « dégager les apports des di
112
elle se fonde sur l’idée que l’enseignement de l’
histoire
, de la géographie, ou de la littérature, ne trouve d’adéquation à son
113
rofane, diversifiée, englobant tragédie, comédie,
histoire
, épopée, poésie, discours, dialogue, essai, conte et roman. Au contra
114
ait subir ce même supplice, il en mourut. C’est l’
histoire
des États-nations, offrant une hospitalité le plus souvent forcée à l
115
e de la centralisation la plus systématique que l’
histoire
ait connue, la plus follement rationaliste… Tandis qu’en Suisse, patr
116
hui qui ont passé par l’école et croient savoir l’
histoire
s’imaginent qu’il y a toujours eu des États, que les nations sont imm
117
l faudrait enseigner dans nos écoles un minimum d’
histoire
générale de l’humanité et des formes politiques, assez pour rappeler
118
i ne connaissait que les tribus et leurs clans, l’
histoire
commence avec les grands empires réunissant et fixant d’innombrables
119
eligions, dont l’une en plusieurs confessions). L’
histoire
, ses lois douteuses et ses accidents trop certains ; les réalités eth
120
fs de son apparition en ce moment précis de notre
histoire
et de l’évolution de notre société occidentale. À peine avons-nous pr
121
us vite de nos jours qu’à l’aube grecque de notre
histoire
. Je ne cite pas la Grèce par hasard. Car je tiens la région pour une
122
tionale en général. Bien sûr, un coup d’œil sur l’
histoire
suffit à réfuter cette croyance. Bien sûr, dès la fin du siècle derni
123
nt par le jeu spontané du fameux « mouvement de l’
histoire
». Il faudra que la succession, le remplacement s’opèrent dans les es
124
sorte d’instinct acquis, non seulement chargées d’
histoire
(oubliée, d’autant plus active dans l’inconscient), mais encore charg
125
ndépendantes du sol. Pour la première fois dans l’
histoire
, la cité se détache du territoire, elle « décolle » ; une unité polit
126
pectives « Vous allez contre le Mouvement de l’
Histoire
, selon lequel la nation est le Progrès. » « La région est une nostalg
127
onstitue l’unité nationale, terme absolu de toute
histoire
d’un peuple digne de ce nom. Ayant « fait son unité » (comme on fait
128
naire avant notre ère). Au cours des siècles de l’
histoire
moderne, ce sont les guerres qui ont servi de prétexte à ces concentr
129
toire délimité au mètre près par les hasards de l’
histoire
, je crierais à la dictature totalitaire, à l’assassin, au gangster et
130
re culturel, éducatif ; il est dans nos manuels d’
histoire
et, par là, dans la tête de nos politiciens. C’est l’école qui a form
131
es conclusions sur cet événement important dans l’
histoire
de l’Europe unie. cg. « Note liminaire », Bulletin du Centre europé
132
uant au contenu de l’enseignement : les manuels d’
histoire
et de géographie (aux trois degrés) ont tout fait, depuis plus d’un s
133
langues d’Europe, Paris, 1966). « Cicatrices de l’
Histoire
»114 ou « résultats des viols répétés de la géographie par l’histoire
134
ésultats des viols répétés de la géographie par l’
histoire
»115, ou de l’écologie par la politique, ou de la culture par les int
135
culture nationale et une économie nationale, une
histoire
nationale bien distincte de l’histoire générale et une géographie pro
136
onale, une histoire nationale bien distincte de l’
histoire
générale et une géographie propre, le tout délimité par des « frontiè
137
national a) Dans l’enseignement secondaire : l’
histoire
et la géographie sont à reprendre à partir des réalités proches de l’
138
i que l’ont demandé en mai 1972 les professeurs d’
histoire
et de géographie de l’Académie de Strasbourg : « Il faut actualiser e
139
arlerons ni d’étape décisive, ni de tournant de l’
histoire
, ni même de victoire d’une certaine tendance. Ce qui nous paraît impo
140
recherches de l’IUEE et comportant des travaux d’
histoire
, de droit administratif, de sociologie, d’économie, d’écologie, etc.,
141
tiques et européens. Pour la première fois dans l’
histoire
, l’homme se voit contraint de choisir librement son avenir et de déci
142
abord régional, puis européen et mondial. Toute l’
histoire
qu’on nous a enseignée est à refaire. Elle était faussée à la base pa
143
Les grandes béances de l’
histoire
(printemps 1974)cl Ne cherchez pas, vous ne trouverez le mot ni da
144
ais qui appartiennent à des ères différentes de l’
histoire
humaine, il y a béance. Et par exemple : nos ministres et nos penseur
145
re les deux, notre xxe est en pleine béance de l’
histoire
. Illustrons cela de citations qui n’appellent que très peu de comment
146
omistes en France sont « des imbéciles ignorant l’
histoire
», « des inadaptés », « des gens qui agissent pour le compte de l’étr
147
coïncidences historiques… Chacun s’est forgé une
histoire
nationale qui démontre que son développement était inévitable, et son
148
ertaine idée de la France, devenait aux yeux de l’
Histoire
le précurseur de l’ère nouvelle, celle des régions. Il gagnait sur to
149
si j’échoue, je serai gagnant, car, aux yeux de l’
histoire
, qui est le seul plan qui me concerne, l’avenir dira que j’ai été ren
150
t. […] Il se montrait préoccupé du jugement que l’
histoire
porterait sur son retrait ». « J’ai pris la bonne sortie devant l’his
151
n retrait ». « J’ai pris la bonne sortie devant l’
histoire
», ce thème revient dix fois dans les propos recueillis par Jean Maur
152
moi qui souligne. cl. « Les grandes béances de l’
histoire
», Bulletin du Centre européen de la culture : « L’Europe des régions
153
grandes têtes politiques du passé ou acteur de l’
histoire
vivante comme dans le cyclone de Dantzig ; enfin mémorialiste d’événe
154
ait de nature ou de culture ? (De géographie ou d’
histoire
? D’économie ou d’éthique ? D’écologie ou de morale civique ?) Je pen
155
re, qui divise arbitrairement ce que la Nature, l’
Histoire
, les ethnies, ou les intérêts avaient uni. Près des frontières, on vo
156
ur le contenu de cet avenir, son déroulement, son
histoire
et ses dates, « car nous ne savons ni le jour ni l’heure ». (À l’inv
157
, les historiens ne font plus mystère de ce que l’
Histoire
n’est pratiquement, pour nous, qu’une composition de faits passés, op
158
; et plus encore comme on le verra au sujet de l’
histoire
de l’Auto… Mais quand le calcul échoue et que pourtant l’on se voit s
159
Schrödinger.) Or, ces cinq événements résument l’
histoire
du siècle. Imprévisible par la méthode des « projections sans surpris
160
orce des choses ni du ciel des Idées, procèdent l’
Histoire
, le devenir des cités et l’avenir de l’humanité. De nombreux dévelo
161
omme et peut s’y lire d’abord, car c’est là que l’
Histoire
se noue. De même que c’est dans la cellule et dans la double chaîne t
162
iologique mais aussi psychique, s’inscrira dans l’
Histoire
un jour ou l’autre. Telle est la loi de l’évolution humaine — et du m
163
isqu’elle prend son appui dans l’homme sujet de l’
Histoire
. La futurologie serait alors « objective » parce qu’elle part des obj
164
part des objets, des « faits », c’est-à-dire de l’
Histoire
déjà faite. Elle tient que l’homme, fait par l’Histoire, est son obje
165
re déjà faite. Elle tient que l’homme, fait par l’
Histoire
, est son objet, un objet parmi d’autres, soumis aux mêmes lois, et pa
166
s, 1973. 136. Lewis Mumford, La Cité à travers l’
histoire
, Paris, 1964, p. 308 et 309. 137. Sur le concept d’idonéité, voir le
167
méfie des « bons prophètes », de ceux auxquels l’
histoire
donne entièrement raison : si tout ce qu’ils annonçaient nous arrive
168
et le début des grandes découvertes — moment de l’
histoire
où le courant des échanges culturels s’inverse d’une manière qui me p