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de l’action. La preuve est dans tous les livres d’
histoire
. Les peuples calvinistes ont été les plus « actifs » des temps modern
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e de notre existence personnelle ou du cours de l’
histoire
terrestre. Voici alors les chrétiens qui viennent nous parler d’une R
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ble à cette occasion. Erreur qui lèse à la fois l’
histoire
littéraire, la dialectique et la poésie. Car : 1° Toute la poésie de
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i méchamment enterrés par les jésuites dans leurs
Histoires
de la littérature française (pour ne rien dire des lamentables dédain
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voulut en étaler les éléments dans le temps et l’
Histoire
. Sa dialectique est devenue une espèce de bascule automatique. Le tra
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ynthèse, l’objectiverait, le ferait tomber dans l’
histoire
. « Ainsi donc, il ne nous reste — émouvant spectacle pour ceux qui n’
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e rigidité accrue de la circonférence. Et c’est l’
histoire
de toute association humaine : on s’unit par la force d’un principe t
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ais avant que d’y venir, et suivant l’ordre d’une
Histoire
dont la loi peut paraître souverainement illogique, nous voici contra
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r, le temps suit son cours, et nous sommes dans l’
histoire
, et l’histoire temporelle est la succession de nos chutes, selon la L
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t son cours, et nous sommes dans l’histoire, et l’
histoire
temporelle est la succession de nos chutes, selon la Loi, à cause de
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que l’homme Jésus était aussi le Christ. Ainsi l’
histoire
, la durée, les dogmes appris, nous dispenseraient progressivement de
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: « Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant ! » L’
Histoire
, le développement de la tradition, l’accoutumance religieuse nous fac
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t de la pensée chrétienne doit être de remonter l’
Histoire
, de se transporter en imagination aux premières années de notre ère,
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il n’y a pas une certaine quantité de temps et d’
histoire
, mais l’abîme absolu d’une différence de qualité ; il n’y a pas une d
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e, leur sens de prédication. Par le véhicule de l’
histoire
ou de notre imagination — machine à remonter le temps —, nous ne rejo