1
e lève et tombe avec sa mission ». Il y a plus. L’
histoire
biblique, loin de mettre en scène le développement d’une « tradition
2
spirituelle, figure la négation absolue de toute
histoire
: « Vue d’en haut, c’est une série de libres actions divines : vue d’
3
l’immédiat, l’instant éternel de la foi, et non l’
histoire
de l’homme pieux ; un événement et non une croyance, une rencontre pe
4
avoir lieu ? Deux voies s’offraient : celle de l’
histoire
et celle de l’expérience religieuse. Prendre la voie de l’histoire, c
5
de l’expérience religieuse. Prendre la voie de l’
histoire
, c’était d’abord chercher à s’approcher de l’homme Jésus tel que le d
6
Christ sous prétexte de nous rapprocher de lui, l’
histoire
prêtait une réalité insurmontable aux dix-neuf siècles qui nous sépar
7
gnorent quelques-uns des événements décisifs de l’
histoire
contemporaine. Kagawa est le chef du Jeune Japon, l’écrivain le plus
8
suédois9. ⁂ Qu’est-ce qu’un roman chrétien ? Une
histoire
où tout le monde « se conduit bien » ? Il n’y aurait pas de roman. Un
9
conduit bien » ? Il n’y aurait pas de roman. Une
histoire
dont le personnage principal est « la main du Seigneur », ou encore «
10
ou un volume de la Bibliothèque Rose. Est-ce une
histoire
qui finit bien, comme le croyaient les écrivains anglais du xixe siè
11
Une
histoire
de la Réforme en France (15 décembre 1934)h Certes, la grandeur d’
12
d’une Église et sa force ne résident pas dans son
histoire
, mais dans sa vérité, c’est-à-dire dans l’objet de sa foi. Mais de ce
13
’éviter ce danger serait sans doute d’envisager l’
histoire
d’une religion dans la perspective de sa théologie ; le rappel consta
14
sente le droit de formuler devant sa monumentale
Histoire
de la Réforme française. Plus encore que le premier tome de cet ouvra
15
ent de côté tout ce que l’abbé Bremond appelait l’
histoire
du sentiment religieux, et il nous sera permis de souhaiter que cette
16
pourrait-on dire, qu’on ne voit guère en quoi son
Histoire
se distingue de celle qu’eût pu écrire un savant laïque épris de tolé
17
e que révolté. Mais ce n’est pas peu dire. 10.
Histoire
de la Réforme française, tome II : De l’édit de Nantes à sa révocatio
18
gue sur la vie et l’œuvre de J. Viénot. h. « Une
histoire
de la Réforme protestante en France [recension de l’Histoire de la Ré
19
la Réforme protestante en France [recension de l’
Histoire
de la Réforme française de Camille Jullian] », t. II, Les Nouvelles l
20
c pour la seconde fois ; on ne voit, dans toute l’
histoire
, qu’une épreuve. Une épreuve : c’est beaucoup dire, et peu de chose ;
21
u nom. Et nous voyons maintenant que l’abîme de l’
Histoire
est assez grand pour tout le monde. Nous sentons qu’une civilisation
22
aque peuple est « un individu dans la marche de l’
histoire
» et qu’il obéit donc, comme tout individu, à une loi de croissance,
23
européenne marquait l’aboutissement suprême de l’
Histoire
. Mais si l’on appliquait sa dialectique aux civilisations, on en vena
24
xpliquer ce phénomène sans précédent dans toute l’
Histoire
? Nous avons vu que la civilisation européenne, née de la confluence
25
ine indo-européenne, mais encore tout ce que leur
histoire
y ajouta au cours des âges : notions philosophiques grecques, notions
26
sultat des « viols répétés de la géographie par l’
histoire
», comme je le vois tous les jours autour de Genève, en traversant ce
27
rir, mais encore ils faussaient notre vision de l’
histoire
et le sens même de la vie de l’esprit. 1° Chacun de nos pays a un nor