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nt une date. Les périodes qui « marquent » dans l’
Histoire
sont celles où la forme d’un mythe affleure, s’incarne et devient vis
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, le rythme se précipitera jusqu’à l’explosion, l’
histoire
se purifiera jusqu’au mythe. La donnée initiale est bien la même : c’
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ne assez bouleversant. Klaus Mann a raconté cette
histoire
avec beaucoup de grâces et des pointes d’ironie anachroniques. Cela f
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foi optimiste dans le cours « dialectique » de l’
Histoire
, qui caractérisent la position marxiste. Par contre, les bases doctri
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songes, elles s’appuyaient sur le mouvement de l’
histoire
». Nous avons affaire ici à un véritable mysticisme de la réussite, à
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rréalistes, empêcheurs de danser en rond. Voici l’
histoire
en bref, — non pas l’intrigue ! tout cela est propre. Le jeune Kolka,
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l’autre « n’est pas né quand il aurait fallu ». L’
Histoire
a de ces exigences. On conseille à Volodia de se brûler la cervelle.
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tification. À ceux qui croient aux fatalités de l’
Histoire
, il faut dire simplement qu’elles sont vraies pour eux-mêmes et pour
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le savoir. Puis, on le rend à la liberté. Toute l’
histoire
sera celle, non pas du procès, qui n’a jamais lieu, mais des prélimin
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ophie et à l’éthique. Les études de E. Weil sur l’
histoire
, de M. Souriau sur la mystique de la joie, les esquisses phénoménolog
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ge dont on peut dire qu’il marque une date dans l’
histoire
de la connaissance du monde par le corps, ou si l’on veut, du corps p
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les sentiments et les idées des autres, et leurs
histoires
; avec le train banal des embêtements et des petites chances ? — Voic
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, moi, qu’on ne devrait pas raconter de pareilles
histoires
à Tony. Vous répondez avec force et chaleur : « Oui, c’est vrai, on n
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s » et se composent un prestige !) Il invente ses
histoires
, secrètement animées par « les battements du cœur sauvage de l’Espace
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tte de Francfort, du 31 juillet). On dirait une «
histoire
idiote ». Tout y est faux. C’est incroyable à quel point cela ressemb
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opposera à son intrusion. Comme le prouve toute l’
histoire
moderne, qui est celle des révolutions étranglées par l’État et sa po
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capitaliste, qui eût été la plus belle farce de l’
Histoire
, a soulevé d’universelles protestations. L’échec de Law et l’échec de
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derrière une pile d’assiettes, deux volumes sur l’
histoire
de l’île, ses coutumes, et son dialecte. L’un est l’œuvre d’un archiv
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déchiqueter une jeune gazelle ne fait pas tant d’
histoires
, ne fait pas de sentiment. Et pourtant, ma sensiblerie n’est hypocrit
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rien accomplir d’utile ni de raisonnable. Voici l’
histoire
, traduite tout entière pour la première fois en France47. Six-cents b
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e reste que Selma Lagerlöf pour nous raconter des
histoires
, des histoires inventées, impossibles, caracolantes et gracieuses, ré
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ma Lagerlöf pour nous raconter des histoires, des
histoires
inventées, impossibles, caracolantes et gracieuses, réalistes et roma
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, pleines de malices et de profondes audaces. Des
histoires
que l’on croit intégralement parce qu’elles nous sont données pour ce
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, ses charrues et ses machines, ses légendes, son
histoire
, sa morale et sa foi. On peut penser que l’inscription qu’on lit au P
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de l’arrestationaj. On se rappelle que c’était l’
histoire
d’un homme qui se voit inculpé, par une justice inaccessible, d’une f
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le sujet. En somme, mettant un signe plus là où l’
Histoire
met un signe moins, l’auteur annule le facteur Waterloo, et nous démo
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l’abdication. Il y a sans doute une théorie de l’
Histoire
à l’origine de cet ouvrage d’une passionnante ambiguïté, et qui se do
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r et si peu imaginer. Il faut vraiment que dans l’
histoire
des hommes les faits interviennent moins qu’on ne croit communément.
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ditation personnaliste. Car après tout, c’est une
histoire
, un des meilleurs romans de l’année, et qui se fait lire avec le plus
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sens de l’humour du destin, une vraie poésie de l’
Histoire
, libératrice et excitante pour l’esprit. À peine l’a-t-on fini qu’on
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accords Matignon trompèrent. C’est tout ce que l’
Histoire
retiendra. Ce fait initial a déterminé la courbe de l’expérience : il
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eur explication la moins douteuse. an. « Page d’
histoire
», La Nouvelle Revue française, Paris, n° 302, novembre 1938, p. 866-
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ette banalité, en vérité bizarre et unique dans l’
Histoire
, une civilisation sur vingt et une connues l’ayant rendue possible et
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État contre l’homme invoquera les Nécessités de l’
Histoire
? Il n’est pas de vraie foi sans vrai doute, plus qu’il n’est de lumi
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ope a-t-elle créé les sciences physiques, conçu l’
Histoire
et découvert la Terre ? D’autres cultures et civilisations ont trouvé
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plaçons maintenant ce double fait : le sens de l’
Histoire
est caractéristique de l’Occident, et il y tourne même à l’obsession
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terpréter. Et, en particulier, toute théorie de l’
Histoire
qui négligerait d’en rendre compte ou s’en révélerait incapable appar
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ir comme les saisons, il n’appartiendrait pas à l’
Histoire
, mais au Mythe. De même l’individu ne devient une personne que par l’
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remier du terme56 — et ne laisse aucune place à l’
Histoire
, ni davantage à la personne. Seule la religion juive fait exception d
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e ignore absolument toute espèce de doctrine de l’
Histoire
: il annonce la Résurrection, qui est victoire sur le temps comme sur
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ngélique ont découvert le temps irréversible de l’
Histoire
, et qu’ils ont osé l’accepter. La prédication paulinienne, avec son i
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me d’un passage éphémère dans l’Illusion. Ainsi l’
Histoire
, conscience nouvelle du temps des hommes, est née de la même rupture
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asard si le premier auteur d’une philosophie de l’
Histoire
— la Civitas Dei — fut aussi le premier auteur d’une biographie de sa
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sa personne : les Confessions. 3. Du Mythe à l’
Histoire
Mais il reste à mieux voir comment l’homme, délivré des « religion
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le courage exceptionnel d’accepter le temps et l’
Histoire
. Si toutes les religions traditionnelles ont développé des mythes du
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e mythique, quand il dit pour se rassurer que « l’
histoire
se répète », ou plus familièrement « Plus ça change, plus c’est la mê
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que des protections de l’âme contre le temps de l’
Histoire
. Il s’agit d’un vrai fait, non plus d’un avatar ni de l’épiphanie d’u
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mais non du monde) et qu’un terme est promis à l’
Histoire
, encore que nul n’en sache « le jour ni l’heure ». Seule donc la néga
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théorie des cycles et des rythmes cosmiques de l’
Histoire
sera reprise — contre l’esprit des Pères — par les plus grands docteu
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tion linéaire du temps et du progrès continu de l’
Histoire
n’est guère soutenue que par un Joachim de Flore, dont les écrits son
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paradoxe en un dualisme à peine voilé : il y a l’
Histoire
de Dieu et celle des hommes, et si la première intervient dans la sec
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normes. C’est une vision réduite et limitée de l’
Histoire
qui lui permet de rendre un rythme à sa durée. L’apparition du Christ
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ait qu’aux cycles du cosmos : les événements de l’
Histoire
s’y trouvent tellement noyés que personne n’a le souci de les dater.
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oins que l’extension soudaine des dimensions de l’
Histoire
, telle qu’elle vient de se produire au xxe siècle, provoque une cris
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relation intime et proprement congénitale entre l’
Histoire
et la personne humaine. Ceci pose un problème encore neuf. 4. Être
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un problème encore neuf. 4. Être ou non dans l’
Histoire
Tout d’un coup (dans l’espace d’une quarantaine d’années) il se ré
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s’annule. La même raison veut que les « lois de l’
Histoire
», nécessairement déduites d’ensembles étendus, négligent l’action de
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mme concret que Brahma d’un paria sans voie. Et l’
Histoire
, dans l’esprit de nos contemporains, prend la place de la Providence,
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justice ni la bonté. Bossuet, dans l’Abrégé de l’
Histoire
de France, nous parle déjà d’une Histoire « maîtresse de la vie humai
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gé de l’Histoire de France, nous parle déjà d’une
Histoire
« maîtresse de la vie humaine et de la politique ». Il s’agit de prép
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uphin, son élève, à sa future tâche de roi. Cette
Histoire
pourvoyeuse d’exemples et de leçons n’a d’autre autorité que celle d’
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morale, et sa réalité celle d’un discours. Mais l’
Histoire
aujourd’hui n’est plus un conte, elle se distingue absolument de son
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’y abandonnant. Ce qui se place dans le sens de l’
Histoire
en reçoit l’attribut d’exister. Ce qui résiste au sens est « mystific
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nder si c’est « vrai ». C’est « dans le sens de l’
Histoire
», ou ce n’est rien qui vaille… Suis-je dans l’Histoire ? Es-tu dans
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re », ou ce n’est rien qui vaille… Suis-je dans l’
Histoire
? Es-tu dans l’Histoire ? Sont-ils dans l’Histoire ? ainsi conjugue u
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ui vaille… Suis-je dans l’Histoire ? Es-tu dans l’
Histoire
? Sont-ils dans l’Histoire ? ainsi conjugue une bonne partie de l’int
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istoire ? Es-tu dans l’Histoire ? Sont-ils dans l’
Histoire
? ainsi conjugue une bonne partie de l’intelligentsia occidentale du
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me il est clair qu’on ne peut pas « être » dans l’
Histoire
rédigée par les historiens, on voit qu’il s’agit d’autre chose : non
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mais bien d’une conception de l’Existence. Cette
Histoire
absolutisée, qui n’est plus connaissance des actes du passé, mais flu
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n’étant pas du monde », disait saint Paul. Mais l’
Histoire
absolue veut que l’homme tout entier soit uniquement du monde : elle
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Rien d’étonnant si l’homme, dès qu’il croit cette
Histoire
, se découvre impuissant devant elle et en elle : rien n’est plus répa
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sme. Si, au contraire, le « sens » appartient à l’
Histoire
, et l’Histoire au César du moment, la police politique du César détie
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traire, le « sens » appartient à l’Histoire, et l’
Histoire
au César du moment, la police politique du César détient seule le vra
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crise de croissance ? On a vu que la croyance à l’
Histoire
absolue, ce produit de remplacement de la Providence, a pour effet no
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sonnelle. La personne est agent de liberté. Cette
Histoire
nous conduit au fatalisme. Comment l’Histoire et la personne ont-elle
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tte Histoire nous conduit au fatalisme. Comment l’
Histoire
et la personne ont-elles pu devenir exclusives l’une de l’autre, alor
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, d’abord, est-il sûr que la croyance moderne à l’
Histoire
comme devenir tout-puissant soit le développement normal et la suite
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vre. Mais la réponse est non s’il s’agit de cette
Histoire
dans le « sens » de laquelle on nous dit qu’il faut « être » de toute
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cul devant le risque du temps. La conscience de l’
Histoire
est née de l’acceptation d’un temps radicalement imprévisible. Et sa
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« il ne se retrouve plus » et démissionne. Que l’
Histoire
décide à ma place, de toute façon je n’y puis rien. Que le dictateur
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’ils sont les instruments du sens inévitable de l’
Histoire
, légitimant la mort de millions de koulaks qui vivaient par hasard en
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déifié, va-t-il se mettre hors d’état de faire l’
Histoire
? Ou, surmontant le vertige cosmique et temporel où l’a plongé sa sci
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ersonne. Bref, la question n’est pas de deviner l’
Histoire
, mais de la faire. Seules nos options présentes préparent un sens, mé
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’une ferme vocation. 55. La première société d’
histoire
connue en Orient fut fondée au xixe siècle par un Anglais, sir Willi
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, sinon dire l’essentiel, qui n’agira guère sur l’
histoire
dans son devenir immédiat, mais peut orienter la conscience de quelqu