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ou du tyran vidé d’héroïsme et de rêves. Toute l’
histoire
le démontre avec le conte fameux : l’homme ne peut pas sortir du puit
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usions et la dégradation du sens de la révolte. L’
histoire
du monde, bien loin d’être l’histoire d’un progrès continu, nous appa
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révolte. L’histoire du monde, bien loin d’être l’
histoire
d’un progrès continu, nous apparaît plutôt comme une solennelle dégri
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ndeur. Ce ne furent pas les moins corrompues de l’
histoire
, mais celles où la corruption permanente fut ouvertement reconnue, dé
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léments sont presque tous de nature collective. L’
histoire
d’un siècle, c’est l’histoire des collectivités, c’est l’histoire des
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ature collective. L’histoire d’un siècle, c’est l’
histoire
des collectivités, c’est l’histoire des peuples, des nations, des cla
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ècle, c’est l’histoire des collectivités, c’est l’
histoire
des peuples, des nations, des classes, des races, des entreprises pub
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es ou privées. Ce n’est que très accessoirement l’
histoire
des personnes, de quelques génies, par exemple. Quand nous disons des
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, et dont les deux disciplines principales sont l’
Histoire
et la Sociologie. Nous trouverons les meilleurs exemples de cette thé
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onduit à la liberté. Adhérez au déterminisme de l’
histoire
, abandonnez votre cher petit moi, fondez votre destin dans celui du p
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vent qu’ils ont été créés par Dieu. Cette petite
histoire
ne s’applique pas seulement aux partisans attardés de Darwin, mais au
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personne, au contraire de l’individu perdu dans l’
Histoire
, vit d’instant en instant, d’une tâche à une autre, d’un acte à un au
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mmode de vivre en société. On a transporté dans l’
histoire
cet amour qui doit être un acte, une présence et un engagement immédi
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acte, en chacun de nous, peut être vainqueur de l’
Histoire
. Cet acte, à chaque fois qu’il nous est donné de le faire, rétablit l
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eur ne voulait sans doute lui faire dire. 10. L’
Histoire
au sens hégélien du mot, c’est-à-dire, plus exactement : l’Évolution.
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primat de l’économique intervint à ce moment de l’
histoire
comme un rappel à la réalité de la condition humaine. Elle fut d’abor
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marxiste-hégélienne de la réalité humaine et de l’
histoire
. On peut dire, dans ce sens, que la croyance à la période de transiti
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non pas successive. Nous pourrions dire : dans l’
histoire
, dans ce temps, nous sommes charnels, non seulement d’abord, mais ens
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des exploiteurs. Malheureusement pour M. Nizan, l’
histoire
nous apprend que les hommes vivent des inventions de l’esprit — au se
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il faut que l’ordre reçu s’insère aussitôt dans l’
histoire
; et le problème des moyens, s’il doit rester subordonné à l’origine
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e sa nature véritable. Certes, nous sommes dans l’
histoire
, mais non pas comme la subissant. Nous sommes au monde comme n’étant
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de l’action. La preuve est dans tous les livres d’
histoire
. Les peuples calvinistes ont été les plus « actifs » des temps modern
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aire ; il se demande à quoi rime cette horrible «
Histoire
», illustrée par les plus sanglants malentendus, sans cesse renaissan
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ties humaines les plus élémentaires, — et toute l’
histoire
des martyrs en témoigne. Un chrétien est un être qui joue tout sur la
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scuter sa théorie économique ; sa conception de l’
histoire
; sa dialectique ; ses méthodes politiques et sociales. Je puis leur
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cle raisonnable où, pour la première fois, dans l’
histoire
de l’Europe, la passion unitaire se donna libre cours. L’ancêtre du f
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ace et Dieu, l’Unité spirituelle et Dieu. Toute l’
histoire
des Prophètes lui apprend que le péché majeur est celui qui consiste
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foi optimiste dans le cours « dialectique » de l’
Histoire
, qui caractérisent la position marxiste. Par contre, les bases doctri
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songes, elles s’appuyaient sur le mouvement de l’
histoire
. » Nous avons affaire ici à un véritable mysticisme de la réussite, à
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ion de la Statue du dieu au seuil de la nuit sans
histoire
où tous les hommes en rangs serrés sans fin marcheront sans repos, sa
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fomenter contre lui-même les coups de force de l’
histoire
! Folies J’ai parlé plusieurs fois de « folies » politiques. Ne
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’une image autorisée, me semble-t-il, par toute l’
histoire
des révolutions réussies. Dans le désordre préliminaire à toute révol
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fait, qu’on peut bien dire sans précédent dans l’
histoire
de notre civilisation, et que son apparence irrationnelle devrait con
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s bouche bée devant la plus inhumaine erreur de l’
Histoire
. Tout a commencé par les philosophes, le jour où, à la personne créat
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s : genèse des mythiques lois de l’économie, de l’
histoire
. Lorsque l’homme renonce à créer, son « travail » n’est plus que souf
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ure. Les singes gagnent leur vie et ne font pas d’
histoires
. Ils ne font pas tant de publicité et de plans quinquennaux. Leurs mo
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egaard critiquait chez Hegel cette mécanique de l’
histoire
qui supprime l’individu, le conflit tragique et la responsabilité spi
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i ait jamais pratiqué une telle politique, dans l’
histoire
du monde ? La politique, voyez-vous, c’est un jeu beaucoup plus impur
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hose étrange, le 6 février 1934 fut une date de l’
histoire
littéraire : elle inaugura le temps des moutons enragés. Fatigués de
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alité ? Comment passer de notre théologie à notre
histoire
? Qu’est-ce que cette personnalité dont la valeur varie si curieuseme
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s, si nous cherchons comment sont apparues dans l’
Histoire
les notions d’individu et de personne, et les systèmes qui s’y oppose
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état de fonctionnaires ou de soldats. Telle est l’
histoire
de la décadence de Rome. Le type d’homme que suppose l’État romain, c
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re chrétien. Car voici le moment décisif de notre
histoire
. La Grèce individualiste a triomphé de la communauté barbare du sang.
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Et ce fait, c’est l’événement central de toute l’
Histoire
, la seule nouveauté absolue de tous les temps : l’incarnation de Dieu
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en particulier les relations politiques. Toute l’
histoire
de l’Europe serait à refaire à partir de cette constatation : que les
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dividu et la personne, abordons notre siècle et l’
histoire
présente. Car en définitive, c’est de cela qu’il s’agit. L’histoire n
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Car en définitive, c’est de cela qu’il s’agit. L’
histoire
n’est jamais qu’un tremplin pour mieux sauter en plein cœur de l’actu
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. Ceci nous charge d’une responsabilité devant l’
Histoire
. Que devons-nous faire pour nous montrer à peu près dignes de cette m
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s pour s’appliquer à n’importe quelle époque de l’
histoire
. Mais, au contraire, je tiens la situation présente pour essentiellem