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que nos techniques, les thèmes de nos réflexions
historiques
, tout cela est complètement commun à tous les Européens. N’a jamais é
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re histoire — je le répète — toute notre vocation
historique
nous indique que nous avons à prendre maintenant une belle initiative
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sa neutralité ? La neutralité est une survivance
historique
! Elle est encore attachée à la conception de l’État-nation. Tout à f
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ré bon parti de leur convergence avec l’événement
historique
, pour aboutir à notre oratorio, puis en 1945 à son exécution au Vatic
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regard, approche du viie siècle de sa continuité
historique
, continuité que l’on peut très bien faire remonter au pacte secret de
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nds, Italiens ou Anglais, — contre toute évidence
historique
— que la France, l’Allemagne, l’Italie ou la Grande-Bretagne sont imm
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à une ethnie, à un ensemble à la fois économique,
historique
et géographique, défini par des frontières naturelles. Et vous l’avez
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és, et les interactions de ces systèmes… Ce donné
historique
toujours vivant en nous, ce passé jamais accompli, nul n’en peut pren
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donc service militaire ! Y a-t-il des raisons
historiques
propres à la Suisse qui expliquent cette inégalité des sexes ? Oui, p
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il y a d’autres raisons, plus profondes, d’ordre
historique
et psychologique. Qui, mieux que Denis de Rougemont, pouvait analyser
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onnées médicales et sociologiques, économiques et
historiques
, ethniques, juridiques et administratives, puis l’étude de leurs inte
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dez faire la grande Europe en dix ans ? La vérité
historique
, c’est qu’il a fallu cinq à six siècles pour ne pas fédérer les commu
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000, ne sont pas plus « débrayés » de l’évolution
historique
que le sociologue d’aujourd’hui qui, sur la base du Marx des Manuscri
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aux réalités vivantes plutôt qu’aux frontières «
historiques
» (fixées depuis moins d’un siècle en moyenne) ; de même, si aucune r
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la légende de Tristan et son contexte culturel et
historique
, ont fait bien plus qu’une œuvre scientifique et « sérieuse » aux yeu
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i son interprétation spirituelle. Toute filiation
historique
mise à part — ce serait le sujet d’autres études — je me demande souv
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e serait capable de saisir l’Europe dans son être
historique
et virtuel, dans son évolution. L’Europe n’apparaît qu’à leur carrefo
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xixe siècle. À mesure que les frontières dites «
historiques
» ou « naturelles » selon les cas (le Rhin divise les peuples de ses
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regard, approche du viie siècle de sa continuité
historique
, continuité que l’on peut faire remonter au pacte secret de 1273, uni
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ds, Italiens ou Hollandais, contre toute évidence
historique
, que la France, l’Allemagne, l’Italie ou la Hollande sont immortelles
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à une ethnie, à un ensemble à la fois économique,
historique
et géographique, défini par des frontières naturelles. Et nous l’avon
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de nos jours : les races sont mêlées, l’évolution
historique
oubliée (n’en restent que les marmites de l’Escalade), la majorité co
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disait rien, par exemple, sur les liens étroits,
historiques
, économiques, sociaux et culturels, entre votre pays de Neuchâtel et