1 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
1 Kierkegaard est dirigée contre un certain esprit historique ou historiciste, qui tend à nous faire croire qu’après 19 siècles de
2 pare de son apparition terrestre. Notre formation historique et psychologique nous y invite. Bien plus, la pente naturelle de notr
3 ansporter par la pensée » à l’époque et aux lieux historiques où la vie de Jésus s’est écoulée. D’autre part, nous ne pouvons nous
4 ment par l’éloignement des siècles et l’évolution historique de l’humanité. Ils résultent d’attitudes différentes que Dieu adopte
5 ces trois temps ne sont pas dans le prolongement historique l’un de l’autre ; ce ne sont pas trois portions successives du même t
6 xemple fait sentir l’échec final de toute méthode historique qui voudrait nous rendre « contemporains » de Christ. Car cette métho
7 s pas à nous préoccuper outre mesure d’exactitude historique , archéologique, etc. La plus grande fantaisie nous est permise dans n
2 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
8 emps. Ne serait-il pas plus conforme à la probité historique et plus fécond pour la théologie de mettre en regard du catholicisme
9 mais la suite des témoignages rendus par l’Église historique à son chef, qui lui fut révélé dans l’Écriture, et non ailleurs. Il r