1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
1 ont on ne saurait exagérer l’importance à la fois historique et symbolique : les premiers contacts de Goethe avec le mysticisme pr
2 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
2 a notion de personne ! — aux forces politiques et historiques qui selon eux déterminent entièrement le devenir révolutionnaire. Mai
3 e athée. Quelle que soit d’ailleurs la conception historique que l’on ait, il faut pourtant reconnaître que la personne est un fac
4 a matière abandonnée à elle-même ? La dialectique historique à trois temps est une arbitraire projection dans les choses d’un méca
5 de la réussite, à un fatalisme, à un pragmatisme historique dont le fondement matérialiste n’exige rien de moins qu’un acte de fo
3 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une main, par C. F. Ramuz (juin 1933)
6 de Phèdre comme un archéologue, auteur de drames historiques . Que cherche Ramuz ? Une connaissance du particulier qui introduise à
4 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Recherches philosophiques (septembre 1935)
7 ctuelle des Recherches une sorte de justification historique de grande envergure. Löwith voit en Hegel l’achèvement de la philosop
8 des réalités humaines élémentaires, voilà le fait historique capital sur lequel se fonde l’attitude commune des intellectuels révo
5 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (octobre 1935)
9 st-il laissé guider dans son choix par un préjugé historique que le « Mage du Nord » eût trop évidemment déconcerté. Ce préjugé co
6 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
10 ès-midi dessus. — Cela commence par une chronique historique dont l’essentiel est naturellement l’énumération des débarquements qu
7 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une révolution refoulée (juillet 1938)
11 pression des « masses ». Dans une telle situation historique , les réformes vont toujours à l’encontre des buts allégués. Chacun se
8 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Page d’histoire (novembre 1938)
12 urait le microcosme. C’est dans cette perspective historique que les événements ultérieurs (colonisation intra-européenne, état de
9 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Propos sur la religion, par Alain (avril 1939)
13 r les résidus ou les empreintes psychologiques et historiques du catholicisme français, en tant que, vidé de la foi, il demeure une
10 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
14 ire et de la Personne Un fait quelconque n’est historique au sens exact qu’en vertu de son unicité. S’il pouvait se répéter, re
15 eure ». Et c’est pourquoi le progrès de la vision historique , loin de séculariser le christianisme, comme beaucoup le craignent, s
16 nous inclinent à douter de sa réalité. Le « réel historique  », ainsi configuré, devient aussi distant de l’homme concret que Brah
17 tre époque aurait-elle simplement l’esprit « plus historique  » que toutes les précédentes ? Oui, s’il s’agit du goût de connaître
18 r d’asservir l’imprévu. Bien souvent la recherche historique projette nos désirs en arrière, mais les « leçons du passé » ont rare
19 que depuis la fin du xixe siècle qu’une science historique s’est constituée en Inde. 56. Religio, de religare, lier ensemble.
11 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
20 conscience et d’action. Les résultats actuels et historiques sont ambigus à l’infini, pour nos mesures. Les peuples sont dans l’ig