1 personne. On me l’a dit, c’est vrai : cette ville historique est aussi l’autre « Rome protestante ». Mais d’avoir vu ses profondes

2 a notion de personne ! — aux forces politiques et historiques qui, selon eux, déterminent entièrement le devenir révolutionnaire. M

3 e athée. Quelle que soit d’ailleurs la conception historique que l’on ait, il faut pourtant reconnaître que la personne est un fac

4 a matière abandonnée à elle-même ? La dialectique historique à trois temps est une arbitraire projection dans les choses d’un méca

5 de la réussite, à un fatalisme, à un pragmatisme historique dont le fondement matérialiste n’exige rien de moins qu’un acte de fo

6 s de 1943-1945 ont totalement détruit ce quartier historique , mais épargné rigoureusement et sur les ordres les plus stricts le qu

7 près-midi dessus. Cela commence par une chronique historique , dont l’essentiel est naturellement l’énumération des débarquements q

8 sage naturel, spontané. Vertige de la relativité historique . — On est tenté de s’imaginer que certains choix entre deux causes so

9 nsidérer notre vie dans une durée biographique et historique où l’instant se relativise. Ainsi les décisions dernières perdent leu

10 Laquelle des deux est en retard sur la « vérité » historique  ? Sur la marche « fatale » des choses ? Faut-il penser que les régim

11 urait le microcosme. C’est dans cette perspective historique que les événements ultérieurs, pour surprenants et monstrueux qu’ils

12 e l’an prochain. Il faudrait, me dit-on, un sujet historique populaire et connu de tous les Suisses. La scène de l’Exposition de Z

13 n’avons eu l’idée de parler du sens religieux, ou historique , ou politique, ou même helvétique de l’œuvre. Nous n’avons discuté qu

14 je sais pas mal de choses sur ce lieu et son rôle historique . (J’en ai même beaucoup écrit.) Je sais que ce nœud de fleuves et de