1 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
1 e thèse initiale : « L’unité intelligible d’étude historique n’est ni un État-nation (nation state), ni l’humanité dans son ensemb
2 tour régulier d’un archétype, mais d’un événement historique , survenu « une fois pour toutes », comme saint Paul y insiste à vingt
3 tion, cette maladie mentale du sens de l’aventure historique et personnelle, n’est-elle pas, elle aussi, caractéristique de l’Euro
4 e sens du rêve, rédemption spirituelle de l’échec historique , et le grand thème de la Quête aventureuse, symbole mystique. Faut-i
5 ourdiment. Cela ne correspondrait ni à la réalité historique (aucun pays, comme tel, ne s’est jamais préoccupé de faire un « appor
6 matiques ; la sociologie et les grandes synthèses historiques  ; la relativité généralisée et la physique nucléaire ; l’aviation, la
7 ux remarques dictées par une élémentaire prudence historique . Primo, l’hégémonie politique n’est pas toujours et nécessairement l
8 , il n’est pas du tout certain que les précédents historiques soient applicables dans notre situation, ni que la courbe croissance-
2 1970, Lettre ouverte aux Européens. II. L’union fédérale
9 finir ne fait que commencer. Il n’est pas matière historique , mais prospective. Il a plus d’avenir que de passé. 21. Pierre Duc
3 1970, Lettre ouverte aux Européens. III. La puissance ou la liberté
10 té ou fédération. Et sur la base d’une expérience historique probante, je leur propose une solution pratique. Parmi les fédération
4 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
11 és en plein essor, non sur des vieilles carcasses historiques et des mythes vidés de leur pouvoir. Un des meilleurs sociologues fra