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excellé furent presque tous, à des titres divers,
hommes
utiles, au sens le plus noble, et penseurs engagés dans leur communau
2
i me paraissent les plus propres à motiver chez l’
homme
soucieux de la chose publique la conception d’un but lointain, la vis
3
le sa volonté de puissance personnelle. Parmi les
hommes
que le souci de la chose publique conduit à prendre part à l’élaborat
4
projection au plan continental d’une notion de l’
homme
dans la cité qui est constitutive de l’Europe, et sans laquelle nos s
5
inévitablement, à son point de départ, qui est l’
homme
de notre Europe, redéfini dans les catégories concrètes du présent.
6
Toute politique implique une certaine idée de l’
homme
, et contribue à promouvoir un certain type d’humanité, qu’on le veuil
7
sache ou non. Quelle est donc la définition de l’
homme
sur laquelle nous pouvons tomber d’accord, ou pour mieux dire, sur la
8
ne serions pas ici si nous pensions que le type d’
homme
le plus souhaitable est l’individu isolé, dégagé de toute responsabil
9
nous pensions avec Hitler et les staliniens que l’
homme
n’est qu’un soldat politique, totalement absorbé par le service de la
10
. Si nous sommes ici, c’est que nous savons que l’
homme
est un être doublement responsable : vis-à-vis de sa vocation propre
11
ce. Aux individualistes nous rappelons donc que l’
homme
ne peut se réaliser intégralement sans se trouver engagé du même coup
12
vidu plus libre dans l’exercice de sa vocation. L’
homme
est donc à la fois libre et engagé, à la fois autonome et solidaire.
13
i qu’il doit à son prochain — indissolubles. Cet
homme
qui vit dans la tension, le débat créateur, le dialogue permanent, c’
14
itiques, et sont en retour favorisés par eux. À l’
homme
considéré comme pur individu, libre mais non engagé, correspond un ré
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ésordre, lequel prépare toujours la tyrannie. À l’
homme
considéré comme soldat politique, totalement engagé mais non libre, c
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bre, correspond le régime totalitaire. Enfin, à l’
homme
considéré comme personne, à la fois libre et engagé, et vivant dans l
17
politique sans liberté. Car la personne, c’est l’
homme
réel, et les deux autres ne sont que des déviations morbides, des dém
18
le choléra, elle représente la santé civique. Un
homme
qui boit de l’eau et qui se lave n’est pas à mi-chemin entre celui qu
19
e populaire — et d’ailleurs partagée par certains
hommes
d’États européens — selon laquelle une fédération ne peut être que l’
20
e les possibilités de libération personnelle de l’
homme
.5 Durant la première moitié du xxe siècle, la plupart des penseurs
21
l’idée que la machine était en passe d’asservir l’
homme
. Étrange démission de l’esprit devant ses propres inventions ! Car il
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« fatalités » natives… N’est-ce point là ce que l’
homme
européen, depuis des siècles, appelle sa liberté ? Subordonner sans t
23
uts aux moyens Quels sont alors les buts que l’
homme
européen peut et doit projeter au plan de la politique et de l’organi
24
entures, en découvertes de soi-même et des autres
hommes
. Du rocher de Gibraltar à la steppe monotone, des lacs de l’Écosse au
25
er et de garantir les libertés fondamentales de l’
homme
européen. Il en résulte immédiatement que l’organisation politique de
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soit gouvernée par un Collège, et non par un seul
homme
, veulent que son centre ne soit pas une capitale, mais un District fé
27
mais on ne s’est autant marié en France (90 % des
hommes
et 91,5 % des femmes) et jamais on n’a autant divorcé (10 % des coupl
28
que, la passion étant l’épreuve suprême, que tout
homme
doit un jour connaître, et qu’il appelle secrètement. Pourquoi mariag
29
s’avouer au grand jour. Pour la première fois, l’
homme
devient le servant de la femme qui est élevée au-dessus de lui, de la
30
u conséquence ?) considère que l’âme, partie de l’
homme
créée par Dieu, est emprisonnée dans le corps, partie de l’homme créé
31
Dieu, est emprisonnée dans le corps, partie de l’
homme
créée par le diable. D’où la nécessité de s’abstenir non pas de toute
32
nes. Tristan, c’est un « type » de relations de l’
homme
et de la femme dans un groupe historique donné : la société courtoise
33
s à la star. Ne peut-on quand même supposer que l’
homme
parvienne à se fixer sur un type, rencontre un jour son Iseut ? Admet
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ra-t-elle à la passion, si elle la rencontre ? Un
homme
ne peut à la fois croire au mariage — à la volonté — et à la passion
35
tif. Nous serions en quelque sorte — nous autres
hommes
et femmes d’aujourd’hui — les Derniers Mohicans de l’amour. À moins q
36
ssionnant qui étudie et qui explique pourquoi les
hommes
et les femmes ont tant de difficultés, actuellement, à réussir leur v
37
tomation permettra de supprimer le prolétariat, l’
homme
sera plus libre. Évidemment cela n’ira pas tout seul. Il y a tout un
38
s un moyen terme entre la peste et le choléra. Un
homme
qui boit de l’eau et qui se lave, n’est pas à mi-chemin entre un homm
39
au et qui se lave, n’est pas à mi-chemin entre un
homme
qui meurt de soif et un homme qui se noie. De même, le fédéralisme n’
40
mi-chemin entre un homme qui meurt de soif et un
homme
qui se noie. De même, le fédéralisme n’est pas à mi-chemin entre la c
41
s un moyen terme entre la peste et le choléra. Un
homme
qui boit de l’eau et qui se lave n’est pas à mi-chemin entre un homme
42
eau et qui se lave n’est pas à mi-chemin entre un
homme
qui meurt de soif et un homme qui se noie. De même, le fédéralisme n’
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mi-chemin entre un homme qui meurt de soif et un
homme
qui se noie. De même, le fédéralisme n’est pas à mi-chemin entre la c
44
e plus libre de se choisir, j’entends de se faire
homme
à sa manière, et non point à celle de l’État. D’où la densité culture
45
s’installer dans les petites. Mais la plupart des
hommes
veulent, et méritent sans doute, la sécurité avant tout. Ce phénomène
46
t périodiquement à faire tuer quelques millions d’
hommes
au nom de principes réputés immortels, mais que les générations suiva
47
nterconnections et par rapport à ces notions de l’
homme
qui ont fait que l’Europe, malgré tout, représente autre chose et un
48
randes unités politiques, de 200 à 600 millions d’
hommes
. Dans un tel monde, quel peut être l’avenir des États de l’Europe, pe
49
ur ont préparé la voie dans les esprits. Puis des
hommes
politiques se proposent pour diriger ce mouvement naissant, qui a peu
50
atteignent à l’universel. Au fond de son trou, l’
homme
de Disentis, de Goeschenen, de Viège — entre les hautes parois de sa
51
primées par l’époque, et pourtant nécessaires à l’
homme
complet. Quoi qu’il en soit d’ailleurs de sa philosophie, j’ai toutes
52
ière étape à la Jeunesse. Car la vraie force d’un
homme
jeune ne vient-elle pas de ce qu’il imagine un très long temps de mar
53
t c’est pourquoi le créateur vieillit moins que l’
homme
de la routine. Mais vers la quarantaine poindra l’angoisse de n’avoir
54
ligne, sans but immédiat ou visible. Les buts des
hommes
sont dans leur tête, ou dans leur cœur. Quand les ombres montant de l
55
sirs définit la situation proprement humaine de l’
homme
. Cet échec essentiel produit en somme la durée même de l’Histoire. Et
56
t de ce que j’en puis faire comme usager moyen et
homme
qui réfléchit sur cet usage dans notre civilisation. Disons, symboliq
57
la nuit. I Comme la très grande majorité des
hommes
de notre siècle, sur tous les continents, la technique me passionne e
58
ns un livre intitulé L’Aventure occidentale de l’
homme
, et je me suis vu amené à établir une chaîne continue sinon de cause
59
choisit de se rendre connaissable dans un corps d’
homme
. Il en résulte que le corps physique, et la matière du même coup, se
60
dira Kepler, bien plus, d’être transformés par l’
homme
spirituel et sauvés, ainsi que l’avait déjà dit saint Paul, dont je r
61
grandiose d’action sur le cosmos, qui s’offre à l’
homme
en tant que spirituel, précisément. Programme grandiose, pratiquement
62
ent sauver : c’est cela que la Nature attend de l’
homme
, une action qui la maîtrise et la libère, et non pas une révérence dé
63
judéo-chrétienne d’un Dieu incarné, qui appelle l’
homme
à la liberté dans sa condition concrète et non dans l’évasion mystiqu
64
lieu artificiel, au service des fins propres de l’
homme
. II Mais ici se pose une deuxième question : les étapes de la t
65
e remarque désabusée : la science a su donner aux
hommes
des moyens de s’armer, mais non pas de désarmer. Et il est vrai que l
66
une certaine mesure d’harmonie : harmonie entre l’
homme
et la Nature, entre la personne et la communauté, entre les communaut
67
e favorise ou tend à détruire l’équilibre entre l’
homme
et la Nature, ma réponse est également double. Certes, et je l’ai dit
68
nsformer la Nature pour la mettre au service de l’
homme
et de ses fins propres, pour surmonter la peur, la faim, le froid, la
69
chnique n’est pas une puissance indépendante de l’
homme
et qui pourrait se tourner subitement contre lui. La technique n’est
70
lui. La technique n’est pas matérialiste, seul l’
homme
peut l’être, quand il se laisse aller à ses instincts abâtardis ou qu
71
conomique de la technique, aux premiers âges de l’
homme
, est aujourd’hui abandonnée au profit d’explications par la magie ou
72
d’hui, l’on entend les belles âmes soupirer que l’
homme
est devenu l’esclave de sa voiture, et c’est vrai dans ce sens que l’
73
e de sa voiture, et c’est vrai dans ce sens que l’
homme
moyen croit qu’il ne pourrait plus se passer de cet objet, mais le fa
74
publicité, la mode, la vie sociale — c’est donc l’
homme
et non pas la technique. Je voudrais observer au surplus que s’il est
75
e l’invention technique, mais de ses effets sur l’
homme
et sur la société. Tout ce que j’avais à vous dire aujourd’hui se rés
76
aies fins de notre vie et de la vraie nature de l’
homme
. Ne serait-ce pas là, peut-être, son plus grand miracle ? m. « La
77
spoir d’imposer une image de calme, et soudain un
homme
assez petit bondir à la tribune, tournant à droite et à gauche un pro
78
se battait encore du parterre au poulailler, des
hommes
tombant des secondes galeries sur les premières… Je dis que j’admirai
79
de lui seul ! Tout ce que l’on peut demander d’un
homme
, c’est qu’il fasse le moins de mal possible. » (Ce que je trouvai, pa
80
bien, c’est pour porter un chapeau ! » Bien peu d’
hommes
ont donné à la cause de l’Europe, cause commune s’il en fût, un temps
81
l’union européenne se déroberont sous les pas des
hommes
politiques et des économistes. Car avant de « faire l’Europe », il fa
82
des États-nations. Ce qui empêche la plupart des
hommes
d’aujourd’hui de le voir, ou d’en croire leurs yeux quand ils le voie
83
ent, entre Retinger et Dautry, encadrant le grand
homme
qui essuie une larme : ma déception commence à ce triomphe verbal. D’
84
près de nous. Parmi les ingénieurs, vous avez des
hommes
comme Chevrolet par exemple, qui, ne pouvant pas faire de voitures en
85
. La grande force de l’État-nation, c’est que les
hommes
et les femmes d’aujourd’hui qui ont passé par l’école et croient savo
86
tes, mais aussi à des responsables du Plan, à des
hommes
politiques comme Mendès-France, Pleven, Debré. Parmi les titres carac
87
des États-nations. Ce qui empêche la plupart des
hommes
d’aujourd’hui de le voir, ou d’en croire leurs yeux quand ils le voie
88
aturité sur la jeunesse (voir Elle n° 1215) : les
hommes
se marient en moyenne à 25 ans la première fois et à 41 ans la deuxiè
89
s, le second mari c’est aussi l’amant légitime, l’
homme
qui fait découvrir les délices et les délires de l’amour physique tel
90
rente. Elle, eh bien, elle a aussi son image de l’
homme
qui lui fait faire les mêmes erreurs. « Je suis tombée amoureuse de l
91
prit des gens, c’est l’ennui. En somme, lorsqu’un
homme
pourra dire à une femme : « Je suis sage de toi », le mariage sera sa
92
és, incertitudes, blocages mentaux, qu’éprouve un
homme
de cette seconde moitié du xxe siècle à concevoir une Europe des rég
93
ois degrés) a imposé depuis un siècle au moins. L’
homme
d’aujourd’hui, formé par les manuels, croit, sans la moindre discussi
94
ique de la nation, c’est-à-dire de l’ensemble des
hommes
vivant à l’intérieur d’un territoire délimité par les hasards des gue
95
correspond à quelque chose de fondamental chez l’
homme
néolithique (nomade fixé au sol à partir du Xe millénaire avant notre
96
ême réduction correspond à la seconde nature de l’
homme
alphabétisé, caractérisé par l’hypertrophie de la fonction visuelle e
97
du « voir » et du « comprendre » qui s’en suit. L’
homme
de la civilisation visuelle, de l’imprimé, de la lecture des signes a
98
ignés, des plans, des cartes et des graphiques, l’
homme
de la « Galaxie Gutenberg » si génialement décrite par McLuhan ne peu
99
e des imbéciles dans ce monde-là. Aux yeux de cet
homme
gutenbergien, que nous sommes tous, peu ou prou, et dans son système
100
une ressemblance profonde entre le problème de l’
homme
et de la femme dans le mariage, et celui des autonomies locales et de
101
édoine dit, en substance, que les deux natures, l’
homme
et Dieu, dans le Christ sont simultanément présentes, complètes chacu
102
nse à « la spoliation de l’identité profonde de l’
homme
». Il publiera d’ailleurs un ouvrage d’une importance capitale pour q
103
même, ni la minuscule partie d’une masse, mais un
homme
ouvert aux idées, à la fois libre et responsable. C’est l’individu di
104
nsi, la vocation est à la fois ce qui distingue l’
homme
et le relie à la communauté où il exerce. Ce qui l’amena — avant Sart
105
ersonne » au fédéralisme. Je vous avais dit que l’
homme
doit être à la fois libre et responsable, il en est de même pour chaq
106
onal ; et trop grand parce que la vraie cité où l’
homme
peut participer à la vie publique, c’est quelque chose de beaucoup pl
107
le « désordre établi ». Désordre par rapport à l’
homme
. C’est-à-dire un ordre qui ne reposait — et c’est encore bien plus vi
108
lique. Une vise à la puissance collective ou d’un
homme
, l’autre vise à la liberté et à la libération maximales des hommes, d
109
ise à la liberté et à la libération maximales des
hommes
, des personnes. Je suis contre l’État-nation dans sa formule xixe si
110
ir. Qui devait être un lieu de rencontre pour les
hommes
de culture qui voulaient l’union de l’Europe, un lieu, un foyer de re
111
de cohérence entre les différentes activités d’un
homme
. J’ai un ami français qui se dit mon disciple en érotique personnalis
112
mariage, c’est exactement la même chose entre un
homme
et une femme. […] Vous avez du monde une vue qui est religieuse en ce
113
’Ionie, patrie de nos idées, les réflexions sur l’
homme
et sa place dans le cosmos, entre les choses et les dieux, ne partaie
114
’Europe — depuis l’aurore des temps, bien avant l’
homme
! — que ce réseau de fleuves et de rivières qui a si profondément déc
115
euves trop larges et trop longs pour l’usage de l’
homme
. Ils divisent et isolent plus qu’ils ne mettent en relations civilisa
116
que fort ancienne immigration suédoise ses grands
hommes
blonds. Comme Uri, il fut terre d’Empire et longtemps défendit contre
117
écrite et chantée librement par une communauté d’
hommes
libres. Rien n’est authentiquement européen qui ne soit d’abord d’un
118
là-haut la lumière encore aujourd’hui parle aux
hommes
et laisse Deviner des propos pleins de sens merveilleux… Car il pl
119
s large du terme. Avant de chercher à quel type d’
homme
correspond une telle politique, et quel type d’homme elle entend prép
120
me correspond une telle politique, et quel type d’
homme
elle entend préparer ou éduquer, constatons qu’elle traduit une forme
121
t se constituaient les premières définitions de l’
homme
comme individu distinct et de la cité ou auto-nomie (littéralement au
122
et même Seigneur Jésus-Christ, vrai Dieu et vrai
homme
… fils unique en deux natures, sans confusion [ni] séparation. L’union
123
ase de notre analyse, plaçons une conception de l’
homme
analogue au modèle bipolaire posé par le concile de Chalcédoine. La p
124
us servir de module. La personne humaine, c’est l’
homme
considéré dans sa double réalité d’individu distinct et de citoyen en
125
ême dont l’exercice le relie à la communauté, cet
homme
se constitue dans la dialectique des contraires. Et ce caractère va s
126
re à tous les groupes qu’il formera avec d’autres
hommes
, ses semblables. Ces groupes devront être à leur tour à la fois auton
127
d’enracinement et de mobilité… La situation de l’
homme
qui veut à la fois sa vie privée et une vie sociale est homologue de
128
es, j’entends selon qu’elles intéressent tous les
hommes
de toutes les régions, certains hommes de toutes les régions, certain
129
t tous les hommes de toutes les régions, certains
hommes
de toutes les régions, certains hommes de certaines régions, tous les
130
, certains hommes de toutes les régions, certains
hommes
de certaines régions, tous les hommes de quelques régions, ou d’une s
131
s, certains hommes de certaines régions, tous les
hommes
de quelques régions, ou d’une seule. Je conviendrai que le nombre des
132
re notamment par le chiffre élevé des suicides. L’
homme
des ensembles à bon marché, trop serré avec d’autres chez soi, et qui
133
alimenter la pensée des sociétés et de dicter aux
hommes
ces « images de comportement » dont Bertrand de Jouvenel a si justeme
134
emps, sur de grandes options générales, ou sur un
homme
ou sur un député ; cela n’est pas réellement l’activité du civisme, c
135
ent pas plus vastes que la portée de la voix d’un
homme
criant sur l’agora, mais il faut garder cet exemple dans l’esprit, si
136
le en témoignant la même bienveillance à tous ces
hommes
d’origines si diverses, et qui leur sont tous également étrangers. Tu
137
en qualifiés pour une pareille œuvre ? Tel est l’
homme
que l’on a traité d’utopiste et d’illuminé, et auquel on a tant repro
138
u la fonder seul, sans Gustave Moynier notamment,
homme
de méthode et d’organisation dont l’appui fut décisif, ou sans le gén
139
monde, s’en prend à ses principes qui sont dans l’
homme
, et sur lesquels nous pouvons exercer les pouvoirs de l’esprit humain
140
libertés nationales… Encore un peu de temps, et l’
homme
aura, grâce à la science, des moyens si prodigieux de faire le mal qu
141
et qui avait fait en outre plus de bien qu’aucun
homme
de son siècle ou du nôtre. 42. « La guerre est agréable pour ceux q