1
ions de la facilité, celles qui feraient dire à l’
homme
de droite que le diable est, bien sûr, Jean Ziegler ; à l’homme de ga
2
e que le diable est, bien sûr, Jean Ziegler ; à l’
homme
de gauche, que c’est au contraire Schwarzenbach ; ou à l’homme du cen
3
he, que c’est au contraire Schwarzenbach ; ou à l’
homme
du centre, que c’est plutôt le directeur d’un journal, phrase laissan
4
astrophe prévue. Et devant le cadavre gisant de l’
homme
qui fit trembler tout l’univers, voici que nous nous écrions avec une
5
utionnaire doit porter en lui le modèle du nouvel
homme
: cela peut-il être un assassin ? Parlons alors des résistants frança
6
es mobiles profonds et contradictoires amenant un
homme
, par impatience infinie, à tuer au nom même d’une vie plus juste. Apr
7
és factuels qui ont suivi, voici la synthèse d’un
homme
qui, depuis plus de quarante ans, lutte pour la défense d’une certain
8
nner la vie, sont beaucoup plus sensibles que les
hommes
aux conditions de la vie. Pour elles, c’est plus sérieux que pour les
9
vie. Pour elles, c’est plus sérieux que pour les
hommes
. Les hommes, on leur apprend surtout à tuer. Il faut restaurer les va
10
lles, c’est plus sérieux que pour les hommes. Les
hommes
, on leur apprend surtout à tuer. Il faut restaurer les valeurs fémini
11
techniques nouvelles ou des remèdes nouveaux les
hommes
les plus sensibles, au lieu de les traiter d’efféminés ; qu’on fasse
12
n milieu entièrement « humanisé », fait de main d’
homme
et qu’au lieu de le reconnaître, d’en assumer les conséquences, nous
13
s. Ce qui va arriver sera entièrement le fait des
hommes
. C’est pourquoi il est très important de savoir quel avenir nous voul
14
avantage l’affaire de l’ordinateur que celles des
hommes
. Mais c’est finalement toujours le même jeu : nous utilisons les calc
15
se définir comme un essai de morale traitant de l’
homme
« libre » et responsable ? Cette conception de l’homme « libre » n’es
16
« libre » et responsable ? Cette conception de l’
homme
« libre » n’est pas nouvelle. Je l’ai déjà exprimée dans la Politiqu
17
ciété politique fondée sur une certaine idée de l’
homme
que j’appelle la « personne » : un individu chargé d’une vocation uni
18
i que ce soit sur la personne, tout est perdu : l’
homme
, le couple, la cité, la société. Et vous aboutissez inévitablement à
19
ature. Moi, au contraire, c’est sur la notion « d’
homme
responsable » que je propose de fonder la société. Cela permet de pon
20
our tous, autrement dit : détourner l’esprit de l’
homme
de sa vocation unique, donc de sa liberté, donc de sa responsabilité.
21
ouvrage en particulier, vous faites confiance à l’
homme
, rien qu’à l’homme, c’est bien optimiste, non ? C’est un optimisme éd
22
ier, vous faites confiance à l’homme, rien qu’à l’
homme
, c’est bien optimiste, non ? C’est un optimisme éducatif. Et puis, c’
23
le prestige national. Ils ont perdu le sens de l’
homme
au profit d’une prétention compétitive au niveau économique. C’est ce
24
’interviennent le choix et la responsabilité de l’
homme
, de la personne ? L’homme ne peut pas vivre sans prendre son destin e
25
la responsabilité de l’homme, de la personne ? L’
homme
ne peut pas vivre sans prendre son destin en main. Et il a la faculté
26
astrophes ». Je ne crois pas comme Rousseau que l’
homme
est naturellement bon. Non, comme il est plutôt bête et méchant, il n
27
nd vous constatez que l’on vit dans une société d’
hommes
creux. Il n’y a plus de véritable communauté et cela favorise notamme
28
vec l’air de quelqu’un qui n’a pu y résister. Cet
homme
dont l’œuvre a marqué, marque plus que jamais notre culture européenn
29
: c’est en refaisant une société à l’échelle de l’
homme
, c’est-à-dire basée sur les communautés, les régions et les rapports
30
oit à sa perte. Pour une fois, on nous parle de l’
homme
, du cœur, de la liberté, de nos responsabilités, de notre créativité,
31
otre créativité, à tous autant que nous sommes. L’
homme
devant être l’unique but de la société… C’est tonique et plein d’inte
32
i l’on ne fait pas de centrales nucléaires — et l’
homme
a vécu cent-mille ans sans centrales nucléaires — serait-on ramené à
33
ire que seules les communautés permettraient à l’
homme
de reprendre en main ses pouvoirs, et vous montrez aussi comment l’Ét
34
la croissance, de la productivité, du bonheur des
hommes
envisagé selon le nombre d’objets mis à leur disposition. Ce sont des
35
re des calculs ; il restera bien vingt millions d’
hommes
qui survivront, dans les angles morts des rayonnements, mais ça ne ve
36
eur… C’est cette logique que je réprouve, pas les
hommes
. L’État finalement, suit comme il peut. Ça montre d’ailleurs sa vulné
37
arlé tout à l’heure. Le but de la société c’est l’
homme
. Donc le contraire du totalitarisme. Dans ce sens je suis aussi subve
38
apeau suivant : « On avait quelque peu oublié cet
homme
… L’un des penseurs les plus importants de l’époque, constamment engag
39
portant de pouvoir découvrir le cadre de vie d’un
homme
; il est révélateur surtout lorsqu’il s’agit d’un ouvrage tel que L’
40
un camp, c’est parce qu’il faisait une place à l’
homme
dans la société au lieu d’imposer la société à l’homme. Aujourd’hui D
41
dans la société au lieu d’imposer la société à l’
homme
. Aujourd’hui Denis de Rougemont s’interroge sur la finalité de notre
42
mouvement « Combat », lance un appel « à tous les
hommes
de la Résistance européenne ». Je sais, dit-il, pour en avoir recuei
43
s, que dans chaque pays de l’Europe occupée, (ces
hommes
) ont une volonté et des espoirs qui concordent étrangement avec les n
44
monde n’aura connu un si puissant rassemblement d’
hommes
libres. Jamais la guerre, la peur et la misère n’auront été mises en
45
ête suprême de l’Europe s’appelle la dignité de l’
homme
et sa vraie force est dans la liberté. Tel est l’enjeu final de notre
46
mais aussi pour en élargir le bénéfice à tous les
hommes
, que nous voulons l’union de notre continent. Sur cette union l’Europ
47
dans toute son étendue à la libre circulation des
hommes
, des idées et des biens. 2) Nous voulons une Charte des droits de l’h
48
dans nos milieux professionnels et syndicaux, les
hommes
et les gouvernements qui travaillent à cette œuvre de salut public, s
49
rès matériel et surtout l’équation « bonheur de l’
homme
égale accroissement des dépenses nationales (ou PNB), gaspillage d’én
50
un village près de Lausanne — on est reçu par un
homme
grand et maigre qui a l’une des plus belles têtes que je connaisse :
51
n vaudois et les circonstances de sa vie, c’est l’
homme
dans le cosmos que Ramuz nous fait voir. À travers le pays vaudois, c
52
son application à reproduire le geste intime d’un
homme
en communion avec les forces élémentaires ; son application à décrire
53
décrire les outils qui prolongent le bras de cet
homme
; à rendre présent et pesant le cadre matériel de sa vie ; à suivre e
54
grandeur de la vie, de la mort, de la condition d’
homme
. Car il ne s’agit de rien d’autre, et le reste est littérature quand
55
l engage avec lui un dialogue et l’on découvre un
homme
curieux de tout, qui perçoit tous les bruits du monde du fond de sa r
56
courci le monde ramuzien : Questions, Taille de l’
homme
t et Besoin de grandeur. ⁂ Pour revenir à Présence de la mort, trois
57
s du concret, sa conscience scrupuleuse. C’est un
homme
, par exemple, qui règle son allure sur celle des pentes de ses vignes
58
ue que constatée — entre dégradation urbaine de l’
homme
et dégradation de la terre par la pollution et par l’épuisement des r
59
encore trouble la circulation matérielle entre l’
homme
et la terre, en rendant de plus en plus difficile la restitution de s
60
eul de son temps, c’est que le mal qu’on fait à l’
homme
des villes, on le fait aussi nécessairement à l’agriculteur et à sa t
61
dure d’exploitation, ruinant les rapports entre l’
homme
et l’homme dans les villes, ruinant aussi « la circulation matérielle
62
oitation, ruinant les rapports entre l’homme et l’
homme
dans les villes, ruinant aussi « la circulation matérielle entre l’ho
63
ruinant aussi « la circulation matérielle entre l’
homme
et la terre » dans les campagnes. ⁂ L’arme de la critique ne saurait
64
’est prendre les choses par la racine. Or, pour l’
homme
, la racine est l’homme lui-même. (Contribution à la critique de la ph
65
par la racine. Or, pour l’homme, la racine est l’
homme
lui-même. (Contribution à la critique de la philosophie du droit de H
66
conséquences : 1° ou bien la racine étant dans l’
homme
lui-même, elle n’est pas du tout dans les rapports de production. Et
67
à se nommer lui-même maréchal. ⁂ Le rapport de l’
homme
avec lui-même ne devient pour lui objectif et réel que par ses rappor
68
ctif et réel que par ses rapports avec les autres
hommes
. (Manuscrits économico-philosophiques de 1844, xxv.) Il y a dans ces
69
Regarder un atome, c’est le changer. Regarder un
homme
, c’est le transformer. Regarder l’avenir c’est le bouleverser. » Voil
70
tro-boulot-dodo”, les aspirations naturelles de l’
homme
». Il ne lui suffit pas, comme tant d’autres, de clamer son inquiétud
71
e, c’est l’art de faire coexister et coopérer des
hommes
distincts, ayant des lois différentes, mais qui peuvent mieux être eu
72
l Mounier (1905-1950). Pour les personnalistes, l’
homme
est « tout entier corps et tout entier esprit ». Alors que l’individu
73
és du chapeau et de l’introduction suivants : « L’
homme
peut-il encore reprendre en main la barre du navire sur lequel il est
74
primordial d’affirmation de soi que possèdent les
hommes
. S’exprimer, c’est exister. Et l’on ne peut s’exprimer vraiment que d
75
sérieuse est celle de savoir ce que vont dire les
hommes
et les femmes une fois qu’ils auront le droit de parler. Dans les cit
76
s cités gigantesques du xxe siècle, la voix d’un
homme
ne porte pas, qu’elle soit criée dans sa langue ou dans celle du pouv
77
st la radio qui a la parole. Le seul moyen pour l’
homme
d’aujourd’hui de reconquérir sa liberté, j’entends le pouvoir de se f
78
de ses responsabilités envers la communauté. Tout
homme
est unique. Tout homme doit donc inventer sa voie vers le But absolu
79
envers la communauté. Tout homme est unique. Tout
homme
doit donc inventer sa voie vers le But absolu de toute vie — le même
80
mes. Importance de l’État ou l’importance de l’
Homme
? 2. Ce choix ne dépend pas de « nécessités objectives », « d’impé
81
ndustrielle, elle-même condition du bien-être des
hommes
(ce qui n’est pas bien évident…), nous place devant le dilemme inévit
82
moniser la politique économique avec l’image de l’
homme
à laquelle nous aspirons et les conditions politiques que nous souhai
83
ifs. Elle n’est pas fille de la Nature, mais de l’
Homme
. L’Europe est le produit de traditions diverses nouées en gerbe par l
84
e et de philosophie, et ses dieux sont en forme d’
hommes
, conquête majeure (quoique ridiculisée par les Gaulois lorsqu’ils vir
85
res fondamentaux de la conception européenne de l’
homme
et du monde, en définissant la personne et le dogme de l’Incarnation.
86
un seul Dieu, a été appliqué presque aussitôt à l’
homme
par saint Augustin, puis par Boèce. Il a permis d’opérer la synthèse
87
tat). La personne, au sens chrétien, c’est donc l’
homme
à la fois distinct et relié, à la fois libre et responsable. En effet
88
si de descendre vers nous, pour se manifester aux
hommes
dans un corps matériel, ce dogme fondamental valorise la chair et la
89
ment de la venue de Dieu sur la Terre, en forme d’
homme
, qui marque le début de notre manière de compter les années, a introd
90
magique et folklorique. Parce qu’elle libère en l’
homme
des énergies, un sens de la liberté et de l’aventure, une inquiétude
91
otisme et au régime des castes. Parce que là où l’
homme
est conçu comme une personne, non comme une simple cellule prise dans
92
tte communauté des conceptions fondamentales de l’
homme
et du monde est beaucoup plus profonde et décisive que nous ne le pen
93
ase des États souverains. On demandait à l’un des
hommes
politiques les plus adroits de la France actuelle : — Devant un probl
94
t slave dès la fin du xixe siècle ? L’étrange
homme
européen L’unité de la culture européenne résultant non seulement
95
ptation du temps l’affirmation de la dignité de l’
homme
, valeurs fondamentales et spécifiques de l’Europe. 3° Et qu’enfin no
96
sa raison d’être. L’Européen ne serait-il pas cet
homme
étrange qui se manifeste comme Européen dans la mesure précise où il
97
prétendant au contraire s’identifier soit avec l’
homme
universel, soit avec l’homme d’une seule nation du grand complexe con
98
entifier soit avec l’homme universel, soit avec l’
homme
d’une seule nation du grand complexe continental dont il révèle ainsi
99
éhéran, où se sont installés déjà des centaines d’
hommes
d’affaires et de conseillers techniques américains. Ils obtiennent du
100
vu. C’est qu’ils n’imaginent pas qu’il y a dans l’
homme
d’autres besoins à satisfaire que matériels et chiffrables obéissant
101
éter, par exemple, après les surréalistes que « l’
homme
primitif et l’homme civilisé maintiennent l’amour sous la tutelle d’u
102
près les surréalistes que « l’homme primitif et l’
homme
civilisé maintiennent l’amour sous la tutelle d’une éthique… ». Car c
103
faut faire confiance à l’infinie ingéniosité de l’
homme
». Mais c’est un constat de démission devant la fatalité ! Qui, devan
104
d’Europe est dans l’air… À chaque génération des
hommes
l’ont rêvée : de Dante à Victor Hugo… Il faut maintenant passer à sa
105
ue la mémoire, qui imaginait qu’en « tenant » les
hommes
par les institutions matérielles on les « tiendrait » aussi pour le r
106
euvent plus jouer leur rôle. Je veux bien que des
hommes
politiques continuent d’aller, répétant que l’État-nation est sacré.
107
pe n’est plus possible. Certes, il est encore des
hommes
politiques pour prétendre que l’Allemagne pourrait attaquer la France
108
l’Allemagne pourrait attaquer la France mais ces
hommes
disent n’importe quoi. Personne de sensé ne peut imaginer l’hypothèse
109
rd et Sud. Tous croient encore que le bonheur des
hommes
dépend de la « santé de l’Économie » et que celle-ci dépend de la qua
110
e celtique, a formé les désirs et les besoins des
hommes
de ce continent, et donc déterminé en profondeur les formes et les bu
111
rd et Sud. Tous croient encore que le bonheur des
hommes
dépend de la « santé de l’Économie » et que, celle-ci dépend de la qu
112
e celtique, a formé les désirs et les besoins des
hommes
de ce continent, et donc déterminé en profondeur les formes et les bu
113
cdotes, confidences de responsables et boutades d’
hommes
politiques.) Mais ce sont là phénomènes d’inertie de la masse qui re
114
réations, techniques, comportements sociaux que l’
homme
ajoute à la nature. Dans cette orientation des esprits, que l’on cons
115
où l’on débattra de la conception européenne de l’
homme
, des droits de l’homme, de la création d’une Cour suprême, de la révi
116
ail comme aux loisirs, et aux relations entre les
hommes
. Elle n’est pas seulement un héritage à conserver mais une commune ma
117
réer, en accord avec une conception générale de l’
homme
, de sa dignité et de sa destinée. » Quelques années plus tard, le Cen
118
ulture a toujours désigné l’action créatrice de l’
homme
, sur les choses ou sur l’homme lui-même. Dès notre Antiquité gréco-ro
119
ion créatrice de l’homme, sur les choses ou sur l’
homme
lui-même. Dès notre Antiquité gréco-romaine, « cultiver » la terre ou
120
ation, résultent d’actes culturels artificiels. L’
homme
est cet animal qui tire de la Nature tout ce qui, sans lui, serait de
121
econd degré. Culture, en somme, égale nature plus
homme
. Ce qui est une autre manière de dire que la culture est une affair
122
n ensemble de spécialités qui ne concernent pas l’
homme
de la rue. Elle naît d’une prise de conscience de la vie, d’un besoin
123
on de l’existence, et d’augmenter le pouvoir de l’
homme
sur les choses. Elle a fait la grandeur de l’Europe. Car, du point de
124
aire l’Europe et à modeler l’idée européenne de l’
homme
: antiquité et christianisme, Église et État, catholicisme et protest
125
nes et communautés, sans la libre circulation des
hommes
, des idées et des biens entre foyers locaux et régions autonomes, à l
126
iniment diverses du sens créateur que manifeste l’
homme
européen, le lien n’est pas évident, il s’en faut. L’examen de notre
127
exercice des droits fondamentaux que possède tout
homme
en tant qu’homme, l’État ne peut ni donner ni renier ces droits, mais
128
ts fondamentaux que possède tout homme en tant qu’
homme
, l’État ne peut ni donner ni renier ces droits, mais il doit les serv
129
ire de sa réalité. Mais « pratiquement », dira l’
homme
de la rue, comment savoir qui fait partie de quoi ? La réponse est en
130
tour vont gouverner nos sensibilités. « Combien d’
hommes
seraient amoureux s’ils n’avaient jamais entendu parler d’amour » se
131
ra son héros tragique. Reflet inversé de Tristan,
homme
de mille et trois femmes quand Tristan l’est d’une seule, il occupe l
132
Paul Valéry Parmi les droits fondamentaux de l’
homme
, le droit au rêve est l’un des plus souvent négligés… par ses ayants
133
éducatif, scientifique… Rien n’empêchera que ces
hommes
compétents, avec l’aide de contributions financières fournies par les
134
res à sauvegarder les mouvants équilibres entre l’
homme
, la cité et la nature, dans l’ensemble de nos pays. Dans le cadre de
135
ant tout chronologique. La plupart des rêves de l’
homme
se sont réalisés au cours des âges — voler très haut, aller sous l’ea
136
ne — gît la similitude la plus profonde entre les
hommes
de toute l’Humanité. Je connais mon semblable à ce qu’il a comme moi
137
cette solidarité des solitaires, c’est celle des
hommes
libres, non pas du troupeau, du clan, de la classe, ou de la nation.
138
Réel, c’est-à-dire vers le But commun à tous les
hommes
de tous les temps : « Dieu », l’Absolu, le Sens, la Fin dernière — qu
139
— qui ne peut pas ne pas exister, dès lors que l’
homme
est animal conscient. Ce chemin commence à mes pas et ce sentier n’ex
140
rônent toutes la prédominance de la Société sur l’
homme
et qu’elles en indiquent les recettes. À y regarder de près, cependan
141
s sont celles des unités locales, où la voix de l’
homme
en tant que citoyen peut se faire entendre. Et ces formules sont cell
142
à-dire va changer la nature même des besoins de l’
homme
du xxe siècle en faisant passer au premier rang le plus artificiel d
143
que nous vivons, est devenue le besoin n° 1 de l’
homme
occidental, que l’on voit trop souvent prêt à se priver de tout pour
144
e et ne fut canonisé qu’en 1946. Nicolas de Flue,
homme
libre de la Suisse primitive, avait été guerrier dans sa jeunesse, pu
145
réalisme » de clichés, ignorant de la nature de l’
homme
, c’est-à-dire de l’élément véritablement concret de tous nos problème
146
: « C’est qu’ils n’imaginent pas qu’il y a dans l’
homme
d’autres besoins à satisfaire que matériels et chiffrables, obéissant
147
multinationaux — quant aux besoins véritables des
hommes
et aux moyens de les satisfaire ; — surveillance des distributions d
148
bc Denis de Rougemont, votre assertion que « l’
homme
est à la fois libre et responsable » constitue le fondement de toute
149
les lieux communs, communs à toutes les sortes d’
hommes
et à toutes les classes. Faute de quoi, un grand vide social se forme
150
n d’un idéal de communauté. Pour moi, le succès d’
hommes
comme Mussolini, Staline ou Hitler était inévitable dans une époque o
151
s psychologiques dans lesquelles se débattent les
hommes
de notre temps, dont dépendent leurs choix politiques et, conjointeme
152
ur comique américain Robert Benchley divisait les
hommes
en deux classes : « Ceux qui divisent les hommes en deux classes et c
153
hommes en deux classes : « Ceux qui divisent les
hommes
en deux classes et ceux qui ne le font pas. » J’avoue que j’appartien
154
ns à la première de ces classes. Je pense que les
hommes
ont le choix entre deux grandes finalités : la puissance et la libert
155
lle suppose, elle implique la responsabilité de l’
homme
et de la femme dans la communauté. L’homme n’est pas libre s’il n’est
156
é de l’homme et de la femme dans la communauté. L’
homme
n’est pas libre s’il n’est pas responsable. Et il n’est pas tenu pour
157
ndustrielle, elle-même condition du bien-être des
hommes
(ce qui n’est pas bien évident), nous place devant le dilemme inévita
158
voyait-on ? Si on l’admirait, il était « un grand
homme
, droit, bien fait, blond, un peu pâle, avec de longs cheveux tombant
159
urce pour la liberté. Il n’y en a plus pour notre
homme
[le Béarnais]. Mon ouvrage fera bon effet, j’espère. Mais l’horizon n
160
ue avec l’empereur. Longue conversation. C’est un
homme
étonnant. Demain je lui porte un projet de constitution… L. v. d. D.
161
sur les Cent-Jours — à la conversion subite d’un
homme
qui si longtemps avait exercé l’autorité la plus absolue… Je voulais
162
ur un moyen plus inefficace d’atteindre ce but… L’
homme
n’est plus entraîné à s’y livrer, ni par intérêt, ni par passion. » T
163
n leur présence. Aujourd’hui, c’est le moral de l’
homme
qu’on veut prosterner ». Ici se révèle la vraie nature du régime de «
164
Le despotisme règne par le silence, et laisse à l’
homme
le droit de se taire ; l’usurpation le condamne à parler, elle le pou
165
ar ces phrases sans doute moins frappantes pour l’
homme
de 1815 que pour le contemporain des totalitaires rouges, bruns ou no
166
upation de l’Afghanistan par une armée de 100 000
hommes
, destinée à « prévenir toute ingérence militaire » dans ce pays, à «
167
amilles, communes, petite patrie, où la voix d’un
homme
puisse porter et le dialogue se nouer sur l’agora. Des peuples placé
168
e. Et de nouveau, c’est un grand clerc, mieux, un
homme
de l’esprit, un poète, qui va dire les paroles créatrices du sentimen
169
istes ; et surtout, sur l’Europe comme patrie des
hommes
libres et du refus de la fatalité. Jamais l’intelligentsia de nos pay
170
olland, Avocat général, Gérard Rosenthal, Avocat,
hommes
de lettres, David Rousset, Écrivain politique, Louis Salleron, Profes
171
d’agences nationales de la presse ou de la radio,
hommes
d’Église et syndicalistes. La Conférence culturelle de Lausanne a ini
172
ns ». Car, ce faisant, « ils font l’histoire de l’
homme
». Et nous serons ainsi du bon côté.aw Plus tard, le même Sartre déc
173
xemple n’est pas le meilleur moyen d’agir sur les
hommes
, c’est le seul ». 34. « Marché commun » est déjà proposé par Nietzs
174
manifeste que l’Europe veut devenir une. Tous les
hommes
un peu profonds et d’esprit large qu’a vus ce siècle ont tendu vers c
175
on s’en sert ». Je ne vois pas très bien ce que l’
homme
de la rue peut tirer de ça. Ce n’est en tout cas pas univoque. La for
176
sur la terre en négation de la liberté donnée à l’
homme
par Celui qui l’a fait. Comment veut-on que les gens qui lisent en tê
177
siècle est de savoir s’il y a quelque chose que l’
homme
puisse faire et pas l’ordinateur. Pour lui, la réponse n’était pas év
178
, mais je le répète, ce qui m’a le mieux révélé l’
homme
, ça a été — symboliquement — ses déclarations au sujet d’Hermann Kahn
179
qui commençait à redouter que « l’équilibre de l’
homme
dans la nature et la survie de la civilisation, peut-être même de la
180
ces naturelles et, plus généralement, l’idée de l’
homme
vivant en harmonie avec la nature, plutôt que cherchant à la subjugue
181
elà de son savoir de physicien. Adieu Lew ! Grand
homme
irremplaçable en sa maîtrise autant qu’en amitié. Vous ne nous rendie
182
etc. qu’on appelle désormais les « sciences de l’
homme
». « L’homme libre et responsable » La philosophie de l’absurde
183
lle désormais les « sciences de l’homme ». « L’
homme
libre et responsable » La philosophie de l’absurde trouve son théo
184
onnus) l’engagement de l’écrivain au service d’un
homme
« à la fois libre et responsable » : dès 1948, ces deux mots d’ordre
185
ns L’Étranger, La Peste, et à ses essais, comme L’
Homme
révolté. Mais le théâtre de l’absurde, libre de toute idéologie (« ex
186
ronie métaphysique, et qui se bornent à montrer l’
homme
tel qu’ils le voient pour qu’on en rie, qu’on en ricane, ou pour qu’o
187
et la forme l’emporte sur le fond. La plupart des
hommes
de théâtre apparus ou affirmés depuis 1968 sont des metteurs en scène
188
e Claudel, pour Daniel Mesguich comme pour tant d’
hommes
de théâtre de son âge, c’est Dieu le père, c’est le père tout court,
189
acteur plutôt qu’actif. Quant à l’intellectuel, l’
homme
d’idées, le penseur, qui était censé servir la vérité, rien qu’elle,
190
d’aujourd’hui qui survivront dans la mémoire des
hommes
du prochain siècle — à supposer qu’il y en ait un — soient de ceux-là
191
beaucoup perfectionné les moyens d’exterminer les
hommes
et plus personne ne peut dire si on en tuerait des millions ou des mi
192
re, il n’y a pas de précédent. » Je crois que les
hommes
ont obscurément conscience qu’une guerre atomique serait la dernière
193
les restent, disons à peu près « à la taille de l’
homme
», peut-être suffiront-elles à réveiller les masses et leurs dirigean
194
qu’il faut empêcher à tout prix. Il faut que les
hommes
se mettent une bonne fois dans la tête qu’il n’y a pas de parade à un
195
ace à cette résistance locale, civile, civique, d’
hommes
et de femmes passionnément motivés dans la défense de leur ville, de
196
view “pas comme les autres”. Plus dialecticien qu’
homme
de dialogue, Denis de Rougemont répond moins ici à des questions qu’i
197
la technologie a réalisé, ce sont des rêves de l’
homme
, dont nous ne pouvions pas prévoir l’aboutissement. Les régions, enfi
198
Changer de valeurs, c’est déjà l’essentiel. Si l’
homme
peut se placer à un point de vue spirituel plutôt qu’à un point de vu
199
spond à une responsabilité, si elle est réelle. L’
homme
converti, tourné vers les valeurs spirituelles, et pour la même raiso
200
lanètes, selon la loi de dégradation du cosmos. L’
homme
industriel contribue à accélérer la fin du monde en augmentant l’entr
201
Paul Valéry se trompe lorsqu’il déclare que tout
homme
profondément influencé par Athènes et par Rome est un Européen : les
202
r globalement par rapport aux fins dernières de l’
homme
. Je me propose d’envisager l’informatique non pas dans sa problématiq
203
s, elle apparaît comme un élan de libération de l’
homme
en général, ou d’une classe opprimée ; aux yeux des seconds, elle se
204
e que bouleversantes au hasard et aux dépens de l’
homme
. Je constate, par exemple, quelque chose comme un refus général d’ima
205
uvoir connaître les conséquences lointaines sur l’
homme
, la société et la nature, de nos innovations technologiques, je propo
206
d’informer, de donner une forme. » Exemple : « L’
homme
est l’information suprême et comme la vivante synthèse des forces cré
207
dangereux d’augmenter les pouvoirs matériels de l’
homme
, qu’il va mettre bien sûr au service de ses passions de puissance sur
208
rdinateur se distingue radicalement de celle de l’
homme
en ceci : qu’elle n’est pas l’histoire d’un individu enregistrée dans
209
ne capacité dix fois supérieure à la mémoire d’un
homme
» ne veut absolument rien dire, pour peu que l’on pense à Proust, ou
210
ent le cas pour la musique. On nous apprend que l’
homme
peut absorber normalement 80 000 informations par jour, alors qu’on l
211
ous prépare, c’est la saveur même de la vie que l’
homme
n’aura plus le temps de goûter, et qu’on ne pourra lui rendre, même a
212
ommunication de ce qui est déjà commun à tous les
hommes
, de tout ce qui peut donc s’exprimer dans les « langages » de l’infor
213
épondre : “[…] Cette invention, en dispensant les
hommes
d’exercer leur mémoire, produira l’oubli dans l’âme de ceux qui en au
214
de la production d’oxygène dans l’atmosphère. Les
hommes
adaptés depuis une ou deux décennies aux réseaux d’informations qui l
215
réduisait au silence les réseaux d’information, l’
homme
se trouverait incapable de refaire l’industrie, et désarmé devant la
216
ique en soi est neutre, outillage au service de l’
homme
, de tout l’homme, du bon et du mauvais en lui. Mais en fait le mauvai
217
eutre, outillage au service de l’homme, de tout l’
homme
, du bon et du mauvais en lui. Mais en fait le mauvais a des chances d
218
r globalement par rapport aux fins dernières de l’
homme
. C’est pourquoi je suggère d’envisager le problème de l’informatique
219
s, elle apparaît comme un élan de libération de l’
homme
ou d’une classe opprimée ; aux yeux des seconds, elle se ramène au re
220
que bouleversantes, au hasard et aux dépens de l’
homme
. Je constate, par exemple, quelque chose comme un refus d’imaginer, d
221
uvoir connaître les conséquences lointaines sur l’
homme
, la société et la nature, de nos innovations technologiques, je propo
222
d’informer, de donner une forme. » Exemple : « L’
homme
est l’information suprême et comme la vivante synthèse des forces cré
223
dangereux d’augmenter les pouvoirs matériels de l’
homme
, qu’il va mettre bien sûr au service de ses passions de puissance sur
224
rdinateur se distingue radicalement de celle de l’
homme
en ceci qu’elle n’est pas l’histoire d’un individu enregistrée dans s
225
ne capacité dix fois supérieure à la mémoire d’un
homme
» ne veut absolument rien dire, pour peu que l’on pense à Proust ou à
226
ent le cas pour la musique. On nous apprend que l’
homme
peut absorber normalement 80 000 informations par jour, alors qu’on l
227
ous prépare, c’est la saveur même de la vie que l’
homme
n’aura plus le temps de goûter et qu’on ne pourra lui rendre, même au
228
ommunication de ce qui est déjà commun à tous les
hommes
, de tout ce qui peut donc s’exprimer dans ses « langages » d’informat
229
de la production d’oxygène dans l’atmosphère. Les
hommes
adaptés depuis une ou deux décennies aux réseaux d’informations qui l
230
réduisait au silence les réseaux d’information, l’
homme
se trouverait incapable de refaire l’industrie et serait désarmé deva
231
ique en soi est neutre, outillage au service de l’
homme
, de tout l’homme, du bon et du mauvais en lui. Mais en fait le mauvai
232
eutre, outillage au service de l’homme, de tout l’
homme
, du bon et du mauvais en lui. Mais en fait le mauvais a des chances d
233
moire : à force de tout confier à l’ordinateur, l’
homme
vide sa mémoire, ne l’entretient pas et alors, comme un muscle non en
234
cevable le contenu des ordinateurs était perdu, l’
homme
des générations suivantes ne serait plus capable de reconstruire l’in
235
stes. On est ainsi en droit de se demander si les
hommes
adaptés depuis une ou deux décennies aux réseaux d’informations qui l
236
supportables, parce qu’ils seront des semblants d’
hommes
instruits, au lieu d’être des hommes instruits. Ce texte est suffisa
237
semblants d’hommes instruits, au lieu d’être des
hommes
instruits. Ce texte est suffisamment clair et résume mon point de vu
238
ir un monument visible à la gloire de l’unité des
hommes
, conduisit à la division de leurs langages. Il convient de laisser au
239
r. S’il se soumet, il court le risque d’obéir aux
hommes
plutôt qu’à Dieu. S’il sort, c’est avec amertume, et l’Église qu’il f
240
venons d’esquisser enveloppent une doctrine de l’
homme
. Au conflit qui oppose l’unité et la division dans le plan de l’Églis
241
ignale la naissance même de l’hellénisme. C’est l’
homme
de la tribu qui se met à réfléchir « pour son compte », et qui, de ce
242
ir, il se prive de toute inspiration créatrice. L’
homme
n’est plus qu’une fonction sociale, un « soldat politique », dirait-o
243
fs locaux, leurs hiérarchies, leurs assemblées. L’
homme
qui se convertit et s’incorpore à l’un de ces groupes y trouve d’autr
244
ait : la vocation qu’il a reçue de l’Éternel. Cet
homme
d’un type nouveau n’est pas l’individu grec, puisqu’il se soucie dava
245
ilosophes chrétiens pour désigner la réalité de l’
homme
dans un monde christianisé. Car cet homme est, lui aussi, à la fois a
246
té de l’homme dans un monde christianisé. Car cet
homme
est, lui aussi, à la fois autonome et en relation. Ainsi, le mot pers
247
même Dieu, qui, par la vocation qu’il envoie à l’
homme
, distingue cet homme de tous les autres et le remet en relations conc
248
la vocation qu’il envoie à l’homme, distingue cet
homme
de tous les autres et le remet en relations concrètes avec ses sembla
249
ls ne sont plus contradictoires. Ce qui libère un
homme
est aussi ce qui le rend responsable vis-à-vis d’autrui. En retour, c
250
on. Nous avons retrouvé, dans cette doctrine de l’
homme
, les mêmes structures que dans la doctrine de l’Église universelle es
251
nt et le soldat politique trop ligoté. Elle est l’
homme
intégral, dont les deux autres termes ne désignent que des maladies.
252
groupe ; et l’individualisme, l’impérialisme d’un
homme
isolé. De même que l’État cesse d’être un vrai État dès qu’il se veut
253
n vrai État dès qu’il se veut souverain absolu, l’
homme
cesse d’être un homme intégral dès qu’il absolutise sa liberté. Le fé
254
se veut souverain absolu, l’homme cesse d’être un
homme
intégral dès qu’il absolutise sa liberté. Le fédéralisme part des gro
255
tite congrégation, on se connaît, on sait à quels
hommes
et à quels problèmes publics on a affaire. Si l’on se trouve en oppos
256
ur un ordre nouveau du monde. (La « religion de l’
homme
» que certains nous proposent est une contradiction dans les termes,
257
se construire dès maintenant. (La « religion de l’
homme
», ou du surhomme, est encore à créer, et le temps presse !). Chargée
258
pirituelle. Ainsi, dans le premier numéro : Deux
hommes
se trompent insondablement : celui qui affirme que la morale est suff
259
e sujet de ces énoncés, ou bien au contraire si l’
homme
se les approprie, comme sa chose et son bien, qu’il possèderait sans
260
je m’avance, ce chemin qui commence à mes pas. L’
homme
de la foi ne suit sa voie qu’en la frayant, « sentier étroit », dit l
261
e garantie, puisque le vrai chemin, qui conduit l’
homme
à Dieu, part toujours d’une personne sans précédent. Post-scriptum
262
squ’au Dernier Jour. C’est le sens qui concerne l’
homme
intérieur, un sens qui vise des événements bien réels mais qui ne s’a
263
oi : La décadence d’une société commence quand l’
homme
se demande : que va-t-il arriver ? au lieu de se demander : que puis-
264
ander : que puis-je faire ? Car la fonction de l’
homme
dans l’univers n’est pas de deviner l’avenir, mais de le faire. ⁂ La
265
isent qu’on a fait erreur sur l’essentiel : sur l’
homme
, ses besoins et ses fins, qui ne sont pas du tout le profit des États
266
n’ont pas trouvé le temps d’y réfléchir. ⁂ Trois
hommes
séparés non seulement par des siècles, mais par des formes de croyanc
267
où nous vivons, désormais tout est fait de main d’
homme
. Qu’il s’agisse des paysages ou des villes, des machines qui les conf
268
ar les mythes et les contes, et ce sont eux que l’
homme
technique a réalisés de mieux en mieux depuis un siècle. C’est du rêv
269
u vol d’Icare est le récit d’un rêve que tous les
hommes
ont fait une nuit ou l’autre, y compris Léonard qui décrit et dessine
270
autre, y compris Léonard qui décrit et dessine un
homme
volant et de grands oiseaux mécaniques répandant sur nos nuits brûlan
271
tupéfiant encore, c’est le refus général, par les
hommes
politiques et les économistes « sérieux », de regarder en face les co
272
s industriel. Voilà qu’il faut maintenant que les
hommes
prennent conscience — mauvaise conscience — des dangers de réussir le
273
de destruction de la Nature et du même coup de l’
homme
qui en vit, rend ces désastres probables à court terme. C’est l’aveni
274
tés de base — communes, régions — où la voix de l’
homme
en tant que citoyen puisse se faire entendre, enfin fédération des ré
275
s tard, allait s’approprier notre définition de l’
homme
libre parce que responsable et réciproquement, mais sans voir que cel