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int ? Et venant de l’auteur du Songe, d’un de ces
hommes
qui « descendirent » du front dans notre paix lassée, ne prend-elle p
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x-mêmes, sans le secours des lecteurs ? Quand les
hommes
se comprendront-ils individuellement ? » Que M. Breton donne des « re
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avec évidence. Van Gogh fut une proie du génie. L’
homme
tel que nous le peint Paul Colin, est peu intéressant. On en a connu
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vant le spectacle d’une œuvre qui ne dut rien à l’
homme
, d’une œuvre de pur génie. Vincent Van Gogh, génie sans talent. c.
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oniqueur scientifique, « Prix Goncourt », curieux
homme
. Il se livre à des travaux de précision : il calcule un plan, un poèm
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oland le Camisard, ce « Tarramagnou », ce « petit
homme
de la terre », qui va susciter un formidable mouvement de protestatio
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s imposent », dit un héros de Mauriac. C’est un «
homme
seul » qu’a peint « par le dedans » M. Jean Prévost, en un saisissant
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en un saisissant raccourci psychologique. « Tout
homme
normal est fait de plusieurs fous qui s’annulent », écrit-il. Ce fou
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incessant d’oiseaux de la mer ? » « Quel est cet
homme
dont l’âme fait des signes solennels ? » Une voix lente aux méandres
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es financiers, des industriels. Il y a encore les
hommes
politiques, mais on a si souvent l’impression qu’ils battent la mesur
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lles. Toute la jeune littérature décrit un type d’
homme
profondément antisocial, glorifie une morale résolument anarchiste. C
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« C’est peut-être que je suis médiocre entre les
hommes
». C’est plutôt qu’il est trop attaché encore à se regarder chercher,
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: Certes ce ne seront ni les lois importunes des
hommes
, ni les craintes, ni la pudeur, ni le remords, ni le respect de moi n
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eraient vite l’âge de la pierre, à la condition d’
homme
la plus nue ; la plus éloignée de celle qui permet le surréalisme. 1
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elle qui permet le surréalisme. 10. Une équipe d’
hommes
solides suffirait à restaurer une élite, efficace. (Je vois Jean Prév
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èmes de l’auteur de Tragiques et de Vous êtes des
hommes
. p. « Pierre Jean Jouve : Paulina 1880 (NRF, Paris) », Bibliothèque
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ne lira pas sans plaisir ce livre où l’on voit un
homme
appeler en vain le vent du large, parmi des gens qui craignent de s’e
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que. Tirer des lignes droites, est le propre de l’
homme
. Toutes les civilisations fortes l’ont osé. Créer un espace architect
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ment à cette parfaite expression du triomphe de l’
homme
sur la Nature. Architecture : « tout ce qui est au-delà du calcul… Ce
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la psychologie à la volée », et donc connaître l’
homme
dans l’élan qui fait sa véritable unité. Je me borne à signaler encor
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es violences, qui composent la séduction de cet «
homme
de la Renaissance », pour quelques descriptions des prairies espagnol
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, et le fait jouer bien maladroitement son rôle d’
homme
… « Captif de sa propre jeunesse. » C’est ici un autre sujet du roman,
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(février 1927)ad L’on aime que, pour certains
hommes
, écrire ne soit que le recensement passionné de leur vie, ou l’aveu d
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connaît assez pour savoir ce qui est en lui de l’
homme
même, ou de l’amateur distingué, — et ne peut pas nous tromper là-des
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)af M. Edmond Jaloux offre l’exemple rare d’un
homme
que son évolution naturelle a rapproché, dans sa maturité, des jeunes
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une certaine discrétion, cet air de rêverie d’un
homme
qui en sait long… Et, certes, il faut être un peu mage pour porter ta
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rencontrer chez les jeunes écrivains français un
homme
qui ait à ce point le sens de l’époque, une vision si claire et si tr
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in, brutal : mais faisons-lui confiance, voici un
homme
d’aujourd’hui, presque sans pose, et décidé à mépriser le bluff. al
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ses 20 ans, d’une aventure qui aurait pu être… Un
homme
médite à côté du corps de son ami suicidé pour une femme qu’ils ont a
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tographie morale, mais une sorte de synthèse de l’
homme
et de l’homme dans son œuvre, qui est peut-être plus vraie que le vra
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le, mais une sorte de synthèse de l’homme et de l’
homme
dans son œuvre, qui est peut-être plus vraie que le vrai, je veux dir
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monde moderne : on y voit s’affronter en quelques
hommes
d’action les forces caractéristiques du temps — argent, races — et se
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poétique. Mais cette fois tout est concrétisé en
hommes
, en meurtres, en décrets. Qu’il décrive la vie intense et instable de
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Sherwood Anderson, Mon père et moi et Je suis un
homme
(janvier 1929)ax Le critique se sent désarmé et légèrement absurde
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face d’un récit comme celui d’Anderson : voici un
homme
qui raconte sa vie avec une émouvante simplicité et il faudrait avoir
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du passage où il rappelle qu’il écrit la vie d’un
homme
de lettres. En réalité, on ne le voit pas encore apparaître sous cet
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ur l’époque. Anderson est avant tout un poète, un
homme
qui aime inventer et que cela console des nécessités modernes, dégrad
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si je m’approchais tout à coup par-derrière d’un
homme
ou d’une femme quelconque, et disais “houu !” il ou elle se secouerai
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is pour lui faire endosser le blâme, mais comme l’
homme
nommé Ford, de Détroit, a contribué davantage que n’importe quel autr
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graphie que son désir constant était que tous les
hommes
vivant sous lui conservassent la virilité et le respect de soi était
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Sherwood Anderson : Mon père et moi et Je suis un
homme
(Kra, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève,
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uoi, cet air dangereux et tendre que prennent les
hommes
en liberté. Mais ils ne sont jamais méchants, et seulement aux derniè
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jet de l’épopée qu’est Maldoror — la révolte de l’
homme
contre son Créateur — et il analyse les principaux thèmes de l’œuvre
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de démesure. Et, de Giorgione, ce « Portrait d’un
homme
» devant lequel il faut se taire pour écouter ce qu’il entend. 3.
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duite féconde. Il me semble que la servitude de l’
homme
moderne apparaît ici sous un aspect bien inquiétant : c’est à la sens
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ce : un vrai sourire, adressé personnellement à l’
homme
, — et le mot « affable » reprend ici sa noblesse. Mon voisin qui a la
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États de l’Europe se formule en revendications d’
hommes
d’affaires. Ce qu’on prétend défendre, c’est son droit, ses intérêts.
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-à-dire de s’en libérer. Ainsi la France conçut l’
homme
rationnel ; Empédocle, au contraire est celui qui passe toutes les me
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demi-juifs — mais laids comme des paysans, beaux
hommes
aux traits lourds. Dans l’ivresse, leurs yeux s’agrandissent. Dans la
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la Lune — lit-on dans les upanishads. — Or si un
homme
n’est pas satisfait dans la lune, celle-ci le libère (le laisse aller
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libère (le laisse aller chez Brahma) ; mais si un
homme
y est satisfait, la Lune le renvoie sur Terre en forme de pluie. » Si
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dire de sa critique qu’elle pose le problème de l’
homme
dans sa totalité, et c’est je crois l’éloge de choix. Mais de ce prob