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lon l’expression de l’Italien. Or qu’est-ce qu’un
homme
décidé à tenir bon ? C’est un homme qui a conscience de ses raisons d
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’est-ce qu’un homme décidé à tenir bon ? C’est un
homme
qui a conscience de ses raisons de vivre. Ce n’est pas l’homme le mie
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onscience de ses raisons de vivre. Ce n’est pas l’
homme
le mieux armé, mais celui dont le moral est le plus solide. Quand on
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danger, armons-nous ! » L’instinct ancestral de l’
homme
, c’est de parer à la violence par une violence du même ordre. Cette s
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perd son assurance. Représentons-nous cela : deux
hommes
se battent. Ils sont apparemment en divergence absolue ; en réalité,
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u nom desquelles on veut réglementer le tout de l’
homme
, quand il s’agit en vérité des solutions et des doctrines d’un seul p
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ti, d’une seule tendance, et la plus animale de l’
homme
. Seule a le droit d’être totalitaire la vérité totale, qui n’appartie
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is siècles d’individualisme, de divinisation de l’
homme
, nous ont conduits à une dissolution presque totale de la société. No
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nome et pourtant solidaire. Celui que j’appelle l’
homme
total. Je ne sais si nous réussirons, mais nous aurons du moins sauvé
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le répéter — c’est mon delenda Carthago : Là où l’
homme
veut être total, l’État ne sera jamais totalitaire. 1. Conclusions
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ute nouvelle. La vie de Nicolas Quel fut cet
homme
, en vérité ? Et peut-on le comprendre, hors de son temps ? Il naquit
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e ou pour les ordres. Mais non, parvenu à l’âge d’
homme
, il s’engage dans les bandes armées qui guerroyaient alors contre les
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-il pas écrit, comme il le répétera souvent : « L’
homme
ne vit pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bou
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visite : unanimes dans l’admiration devant cet «
homme
de Dieu » fruste et biblique.) Il n’est pas jusqu’aux princes des con
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r cette espèce de vénération que lui vouèrent les
hommes
du xve siècle. Mais on peut craindre aussi que l’essentiel de la per
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ée, et mieux : un sentiment, de la foi du « pieux
homme
frère Claus ». Nous en sommes forcément réduits à des approches tâton
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nts qui permettront peut-être de mieux situer cet
homme
par rapport à son temps tout d’abord, mais aussi par rapport à notre
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était encore extérieurement unie, — voilà bien l’
homme
que tous à leur manière peuvent saluer comme l’ancêtre commun, et j’a
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es ne diffèrent pas essentiellement de nous. Tout
homme
porte en soi les microbes de toutes les maladies imaginables. Et cet
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pas suffisant de n’accuser que la méchanceté des
hommes
: c’est l’esprit même de la culture moderne, et son défaut de sagesse
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ble : il est d’une part d’économiser du travail d’
hommes
par les machines, et donc de créer du loisir ; d’autre part, d’élever
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s voir. Il est admis, dans notre société, que les
hommes
de la pensée n’ont rien à dire d’utile aux hommes de l’action, aux ca
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hommes de la pensée n’ont rien à dire d’utile aux
hommes
de l’action, aux capitaines de l’industrie ou de la guerre. Le divorc
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devient confus. Plus rien n’est à la mesure de l’
homme
individuel. Quand nous regardons en arrière, nous nous disons : les i
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ar une vue générale, par une notion générale de l’
homme
et des buts de sa destinée, ils pouvaient créer une belle vie ! Mais
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vie mauvaise, antihumaine. C’eût été le rôle des
hommes
de la pensée que d’avertir les hommes d’action. Ils avaient là une ch
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le rôle des hommes de la pensée que d’avertir les
hommes
d’action. Ils avaient là une chance et un devoir vital. Or, ils ont p
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ire. Dès que la pensée se sépare de l’action, les
hommes
se trouvent séparés les uns des autres. Chacun, dans sa spécialité, s
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n tous pays. Au cours des siècles précédents, les
hommes
d’une même société s’entendaient sur le sens de certains mots fondame
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et la radio atteignent chaque jour des millions d’
hommes
, et c’est tout un domaine du langage que l’écrivain ne contrôle pas,
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Leurs conseils, leurs appels ne portent plus. Les
hommes
échangent des paroles en plus grand nombre que jamais, et ne se disen
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le se détruit, quand elle n’est plus le don qu’un
homme
fait à un homme, et qui engage quelque chose de son être, c’est l’ami
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uand elle n’est plus le don qu’un homme fait à un
homme
, et qui engage quelque chose de son être, c’est l’amitié humaine qui
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bordent le cadre, c’est autant dire pour tous les
hommes
vraiment humains. L’appel des peuples reste insatisfait. Il continue
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essayer sur nous d’abord. À la recherche de l’
homme
réel … Sur quel principe pourrions-nous rebâtir un monde qui soit
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us rebâtir un monde qui soit vraiment à hauteur d’
homme
? Un monde où la pensée, la culture et l’esprit soient de nouveau cap
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: politiciens ou intellectuels, tous ont oublié l’
homme
dans leurs calculs, ou bien se sont trompés sur sa nature. Ils ont pe
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me les plus sincères, aboutissent au malheur de l’
homme
. Dans ce monde qui a perdu la mesure, le seul devoir des intellectuel
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: leur seul pouvoir — c’est donc de rechercher l’
homme
perdu. Or l’histoire nous apprend que l’homme ne trouve sa pleine réa
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r l’homme perdu. Or l’histoire nous apprend que l’
homme
ne trouve sa pleine réalité et sa mesure qu’au sein d’un groupe humai
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trop vaste ni trop étroit. Il n’est pas bon que l’
homme
soit seul ; il n’est pas bon non plus que l’homme soit foule. Le mond
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homme soit seul ; il n’est pas bon non plus que l’
homme
soit foule. Le monde rationaliste et libéral supposait que l’humanité
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’humanité n’était qu’un assemblage d’individus, d’
hommes
qui avaient surtout des droits légaux, et très peu de devoirs naturel
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irs naturels. L’individu rationaliste, c’était un
homme
in abstracto, privé d’attaches avec le sol, la patrie et l’hérédité.
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avec le sol, la patrie et l’hérédité. C’était un
homme
libéré des servitudes et des tabous de la tribu, mais en même temps p
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rivé de relations concrètes. Or la communauté des
hommes
se fonde d’abord sur des relations charnelles et concrètes. C’est pou
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us avons assisté depuis une trentaine d’années. L’
homme
isolé, dans un monde trop vaste, ne se sent plus porté au sein d’un g
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du et de la collectivité. Il s’agit de voir que l’
homme
concret n’est pas le Robinson d’une île déserte, ni l’anonyme numéro
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les. Rester soi-même au sein d’un groupe, être un
homme
libre et pourtant relié, c’est l’idéal de l’homme occidental. N’allon
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homme libre et pourtant relié, c’est l’idéal de l’
homme
occidental. N’allons pas dire que c’est une utopie ! Car ce problème
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e l’Église primitive. Le chrétien primitif est un
homme
qui, du fait de sa conversion, se trouve chargé d’une vocation partic
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l’introduit dans une communauté nouvelle. Voilà l’
homme
que j’appelle une personne : il est à la fois libre et engagé, et il
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t avant tout des maladies de la personne. Quand l’
homme
oublie qu’il est responsable de sa vocation envers ses prochains, il
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tion envers lui-même, il devient collectiviste. L’
homme
complet et réel, c’est celui qui se sait à la fois libre d’être soi-m
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tion qui le relie à ses prochains. C’est pour cet
homme
réel qu’il faut tout rebâtir. Cependant, nous avons montré que c’est
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endant, nous avons montré que c’est justement cet
homme
-là qui a le plus de peine à subsister ou à se former dans le monde mo
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former dans le monde moderne. Car supposez qu’un
homme
se sente une vocation et décide de la réaliser. Il se trouve en prése
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e l’Histoire obéit à des lois contre lesquelles l’
homme
ne peut rien. Conception très lugubre, mais commode, car elle justifi
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certains coups décisifs : ce sont précisément les
hommes
de science qui, les premiers, cessent d’y croire. Ils ont reconnu, de
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objectives, de lois absolument indépendantes de l’
homme
, n’était qu’une illusion rationaliste. Qu’il me suffise de rappeler i
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l’esprit démissionne. Toute action créatrice de l’
homme
normal inflige un démenti aux lois et fait mentir les statistiques. A
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publicité ne sont exactes que dans la mesure où l’
homme
n’est qu’un mouton ; elles sont fausses et inexistantes dès qu’un hom
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on ; elles sont fausses et inexistantes dès qu’un
homme
redevient conscient des vrais besoins de sa personne. Il n’y a de loi
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rsonne. Il n’y a de loi, répétons-le, que là où l’
homme
renonce à se manifester selon sa vocation particulière. Si j’insiste
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l’épuisement général. Cela ne se fera que si des
hommes
solides, informés par une expérience séculaire entreprennent, dès mai
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ent, d’études précises, de calculs réalistes. Ces
hommes
ne peuvent guère exister et travailler que dans les pays neutres. Et
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qu’il se forme ici des équipes de fédérateurs, d’
hommes
qui comprennent enfin que l’heure est venue pour nous autres Suisses,
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s sur une erreur profonde quant aux pouvoirs de l’
homme
et à ses fins terrestres. En appelant et préparant de toutes nos forc
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mbat spirituel est aussi brutal que la bataille d’
hommes
, mais la vision de la justice est le plaisir de Dieu seul. » c. «
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il nous faut, ce sont des pessimistes actifs. Des
hommes
qui pensent et qui agissent conformément à la maxime du Taciturne : «
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ventions humaines peuvent être employées contre l’
homme
; que l’aviation n’a nullement transformé les conditions de notre bon
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élémentaires, que le sérieux des gouvernants, des
hommes
d’affaires, des penseurs officiels et des bourgeois moyens, a refusé
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cent ans d’envisager ? Pourtant, les plus grands
hommes
du dernier siècle furent unanimes à prévoir le destin qui maintenant
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mal parce qu’ils croyaient au bien fait de main d’
homme
. « Mea culpa » des militaristes, qui n’ont pas su imaginer un autre b
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réel. Avouer ses fautes est une libération dont l’
homme
sort toujours retrempé. Avouer les fautes de ceux qu’on aime et dont
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e chose, ce sera grâce à l’action personnelle des
hommes
qui auront su répudier les illusions flatteuses de l’ère bourgeoise.
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azar de l’Europe, quelques dizaines de milliers d’
hommes
tiennent encore, montant la garde aux derniers sommets libres, autour
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oient débattues dans nos Grands Conseils, par des
hommes
qui parfois ignorent tout de la réalité de l’Église, corps du Christ.
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er j’opposerai cette déclaration prophétique d’un
homme
dont la pensée me paraît plus actuelle que jamais, Alexandre Vinet. «
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a rester le lieu où les justes rapports entre les
hommes
sont ordonnés par la Parole et par l’Esprit. Si l’on se remémore les
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nos « milieux ecclésiastiques », mais à tous les
hommes
d’où qu’ils viennent, qui ont faim et soif de vérité, sans le savoir
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« nous a permis de lui parler tout simplement, d’
homme
à homme »… Je reste persuadé, pour ma part, que nous devons plutôt p
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a permis de lui parler tout simplement, d’homme à
homme
»… Je reste persuadé, pour ma part, que nous devons plutôt parler d’
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dé, pour ma part, que nous devons plutôt parler d’
homme
à Dieu, et que nous ferions bien de nous pénétrer de cette vérité fon
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chromosomique, immunisée et psychanalysée, chaque
homme
étant continuellement révisé, testé et remis au point à l’aide de piè
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clergés n’auraient en somme plus rien à dire aux
hommes
, aux femmes et aux enfants quant à leur existence quotidienne dans la
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spirituelle, qui est à mon sens : de rappeler à l’
homme
son but final, sa destination ultime, sa vocation. Car les règles et
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urs, édictait les canons de la morale, éduquait l’
homme
pour les y ajuster, tandis que les chercheurs libres, les hérétiques
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ersée : l’Église n’est plus là pour prescrire aux
hommes
leur mode de vie, d’autres s’en chargent. Elle est là pour mettre en
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érésie, si c’en est une de croire que le but de l’
homme
transcende tout conditionnement et tout asservissement automatique à
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être (je n’en suis pas sûr), mais en tout cas les
hommes
qui « croient », au sens chrétien du mot, vont entrer en dissidence d
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e, une civilisation, dans les relations entre les
hommes
, ou même entre deux êtres, si frustes qu’ils soient. Reconnaître que
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ion générale du genre humain, de vocation de tout
homme
en tant qu’homme, et qui serait, selon l’Évangile, l’appel et la puis
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enre humain, de vocation de tout homme en tant qu’
homme
, et qui serait, selon l’Évangile, l’appel et la puissance de l’amour.
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se rejoindront en Dieu, mais il y a un chemin par
homme
! — comment savoir si je le découvre ou si je l’invente en le suivant
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bien mal compris la définition de la personne : l’
homme
chargé par la vocation même qui le distingue de la communauté, d’une
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terais, paraphrasant Teilhard de Chardin : chaque
homme
n’est pas appelé à faire de grandes choses, c’est vrai, mais, par sa
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i-même, ajouterais-je.) Aux fidèles enfin, à tout
homme
qui me demanderait : « Comment savoir ? Comment déceler ma vocation,
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ut avoir de précédent, parce qu’il n’y a pas deux
hommes
pareils, donc pas deux chemins pareils allant d’un homme à Dieu. Mais
100
areils, donc pas deux chemins pareils allant d’un
homme
à Dieu. Mais je pressens que les objections les plus gênantes qu’on p