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vivant. En face de philosophes qui se moquent des
hommes
et ne voient même pas qu’ils n’ont plus de réponses à offrir à leurs
2
’un des prophètes de ce temps, que la raison d’un
homme
n’est pas sa raison d’être : « Cogitor, ergo sum. » (Je suis pensé…).
3
ci pourra paraître orgueil et vanité aux yeux des
hommes
. Ceci n’est rien, en vérité, qu’un acte de soumission et d’espérance,
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e soumission et d’espérance, car ce n’est pas aux
hommes
que nous disons : nous voici. a. « Hic et nunc », Hic et Nunc, Pari
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t que saisie et vécue, c’est-à-dire assumée par l’
homme
. Sortir du paradoxe pour s’évader dans une synthèse quelconque, ratio
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inomies dans un cadre hiérarchique qui préserve l’
homme
du désespoir et lui fournisse un équilibre durable, dont le péché for
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elles ; bien plus, elle crée des conflits là où l’
homme
naturel n’en pouvait distinguer ; et surtout elle impose un choix d’a
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choix d’ailleurs humainement impossible, là où l’
homme
naturel s’abandonnait en paix à ses déterminations physiques et moral
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lons. C’est de la foi vivante. Or, cette foi, nul
homme
n’est capable de la posséder dans la durée ; elle « survient », et ja
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rdre que nous recevons et qui nous meut parmi les
hommes
tels qu’ils sont, — des hommes qui ont besoin d’une politique pour su
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ous meut parmi les hommes tels qu’ils sont, — des
hommes
qui ont besoin d’une politique pour suppléer à leur faiblesse, qui on
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Dieu transcendant. Quel dieu fait de nos désirs d’
hommes
pourrait nous certifier dans le fond de nos âmes un salut qui se rit
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foi, les idoles, les synthèses dans lesquelles l’
homme
cherche sa sécurité, et qui n’ont pas de vérité. ⁂ La plus grande lib
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chrétien, quelle est-elle ? Il se trouve que nul
homme
n’est en mesure de la donner à son frère : c’est la foi. Tout au plus
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rétien, ce sera tout ce qui trouble en vérité les
hommes
et les délivre de leurs tourments mesquins et dégradants ; tout ce qu
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e devant Dieu et les jette nus dans la foi. 2. Un
homme
qui est dans la foi sait bien qu’il n’y a pas à demander de « solutio
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à localiser et beaucoup trop imprécise pour que l’
homme
, faible créature, puisse s’y « fier » et se passer de recettes morale
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nt donc pas reçu une révélation ésotérique, que l’
homme
d’aujourd’hui, sans doute, ne serait pas capable de supporter, d’inte
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r que les rôles se renversent dès qu’on regarde l’
homme
dans la perspective chrétienne. Ce n’est plus l’homme qui pose des qu
20
e dans la perspective chrétienne. Ce n’est plus l’
homme
qui pose des questions, mais c’est Dieu, seul Sujet. Et alors l’homme
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uestions, mais c’est Dieu, seul Sujet. Et alors l’
homme
, enfin, devient responsable3 devant Dieu et devant son prochain, en t
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pensée chrétienne », et qui voudraient donner aux
hommes
une bonne conscience tout à fait inconcevable ; dénoncer tous les cod
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pourtant bien claire. Nous préférons demander aux
hommes
ces ordres que l’on ne peut attendre que de Dieu : parce qu’avec les
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ne peut attendre que de Dieu : parce qu’avec les
hommes
, nous pourrons discuter… 2. « Mais oui ! malgré l’impopularité du
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e de Polyeucte… 2° La vision dialectique jetant l’
homme
dans une situation dramatique ; lui révélant le néant de ses idoles e
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la Promesse invisible, — cette vision donnée à l’
homme
, est la plus propre à créer en lui l’organe d’une haute poésie. 3° E
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le paradoxe n’est pas dans la situation même de l’
homme
devant Dieu, notre foi est vaine et c’est perdre son temps que d’en a
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Barth : « Que Dieu (mais vraiment Dieu) devienne
homme
(mais vraiment homme !) c’est ce qui est affirmé ici et qui ici devie
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mais vraiment Dieu) devienne homme (mais vraiment
homme
!) c’est ce qui est affirmé ici et qui ici devient la vérité vivante,
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vie de tous les jours, — on conçoit que ce brave
homme
s’effare, et vitupère une « théologie » pareillement inconfortable, d
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e perpétuel refus de l’éternité. Dieu dit oui : l’
homme
comprend non, se découvrant soudain plongé dans la négation radicale.
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par la Parole de Dieu : acte de la Parole, que l’
homme
ne peut saisir que dans la foi ; choix de l’élection, c’est-à-dire d’
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risque permanent, c’est alors celui qu’encourt l’
homme
jeté par la révélation de la Parole dans une situation absolument nou
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stes — en philosophie — nous l’ont légué, c’est l’
homme
qui n’a pas de prochain et qui n’est le prochain de personne. Ou enco
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onne. Ou encore, comme le dit Keyserling, c’est l’
homme
pour lequel le prochain est devenu tout simplement « le voisin inévit
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être un conflit véritable — que si c’est un autre
homme
, en face de moi, qui me la pose. Qu’il soit là, proche ou lointain, à
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et dictatoriale qui tient lieu d’ordre dès que l’
homme
renonce à assumer personnellement son risque et celui du « prochain »
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lle figure l’image du rapport véritable entre les
hommes
, mais qu’elle la figure dans l’abstrait, dans le plan même de ce qu’e
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le croit mépriser. Le rapport véritable entre les
hommes
, c’est la communauté des personnes responsables. Mais la communauté n
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résulte que de la somme de leurs altérations. Les
hommes
qui constituent ce groupe ne sont plus des hommes véritablement humai
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hommes qui constituent ce groupe ne sont plus des
hommes
véritablement humains, puisque l’un des pôles de leur être n’est plus
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ontre n’a lieu que dans le je et dans le tu. Deux
hommes
ne se rencontrent pas, spirituellement, à mi-distance l’un de l’autre
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f qui fonde la personne humaine : le rapport de l’
homme
à son Créateur. Le Droit romain a peut-être raison de refuser à mon v
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qu’elle s’enracine dans l’acte qui confère à tout
homme
son être véritable, devant Dieu. 8. Le groupe fasciste n’est que le
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’est surtout répondre au-delà de la question. ⁂ L’
homme
jeté dans la diversité de l’univers, aux aguets des tentations et des
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⁂ Ceci peut définir l’Antiquité : la panique de l’
homme
environné par les voix innombrables de l’univers, et son recours à la
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l’esprit. Mais cet esprit n’est pas le tout de l’
homme
, — l’homme le sait. Et sa dictature n’est pas l’ordre. Elle peut tuer
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Mais cet esprit n’est pas le tout de l’homme, — l’
homme
le sait. Et sa dictature n’est pas l’ordre. Elle peut tuer les bêtes,
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ion. Enfermé maintenant dans ses architectures, l’
homme
se retrouve seul aux prises avec lui-même. Autarchie rationnelle. Il
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e question n’est donné que par la réponse. Mais l’
homme
antique n’a pas en lui de quoi répondre à la Nature : il est lui-même
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e une question que Dieu ne semble pas entendre. L’
homme
antique, c’est Adam dessaisi de sa royauté ; et l’univers antique, c’
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re se révolte en désordre. Elle veut la mort de l’
homme
parce qu’il ne sait plus la faire vivre. L’homme se défend brutalemen
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’homme parce qu’il ne sait plus la faire vivre. L’
homme
se défend brutalement, et plus il se défend, plus il impose à la Natu
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s est donnée. C’est d’abord une réponse faite à l’
homme
. Mais c’est aussi, à travers l’homme désormais restauré dans sa condi
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se faite à l’homme. Mais c’est aussi, à travers l’
homme
désormais restauré dans sa condition éternelle, une réponse à toute l
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cet instant, parce qu’il possède cette réponse, l’
homme
comprend le sens de la question. Et dans l’élan désordonné des êtres
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les fatalités qui régissent le monde, séparé de l’
homme
, et l’homme, séparé de Dieu. Pourtant le dernier mot a été prononcé.
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s qui régissent le monde, séparé de l’homme, et l’
homme
, séparé de Dieu. Pourtant le dernier mot a été prononcé. ⁂ L’effort d
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nt le dernier mot a été prononcé. ⁂ L’effort de l’
homme
pour imposer au monde — mais sans comprendre sa question — un ordre «
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ion — un ordre « humain » — mais sans connaître l’
Homme
— peut être caractérisé dans ses effets bons et mauvais par le mot de
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e, et c’est encore la dialectique antique entre l’
homme
et la nature, mais transposée dans le déchirement personnel. Lutte st
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ons cachées de la Nature. Il arrive alors que cet
homme
, trahissant la mission dont la foi le chargeait, se retourne vers la
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agique, maintenant consommée, il ne subsiste en l’
homme
nulle conscience effective. Seul, le désir qu’il dit avoir de « commu
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ive au gré de l’eau ». Image assez frappante de l’
homme
qui conclut avec le monde une paix honteuse. Il est vrai que Rousseau
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e sort se faisait plus clément, qui conduisait un
homme
aux solitudes naturelles, la conscience de l’« étrangeté » d’un tel c
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rcht qui, chez Goethe, traduit la vénération de l’
homme
en présence de la Nature ; que le mot de awe, qui exprime chez les la
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ître aux Romains : « Tout l’univers s’adresse à l’
homme
dans un langage ineffable qui se fait entendre dans l’intérieur de so
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efus de croire à la réalité tout invisible de « l’
homme
nouveau » — réalité de foi ? ⁂ Seule, l’attitude chrétienne dit « oui
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nde désert ; alors que l’un et l’autre divisent l’
homme
en esprit et en corps, seul l’amour d’espérance, charité de la foi, n
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re anxieux de la créature. En cet amour, enfin, l’
homme
et les choses accèdent au concret de leur existence, assumant leur ra
71
responsabilité. Et ce rapport est orienté vers l’
homme
. Mais, dans l’homme, vers le nouvel homme, vers les prémices de l’Esp
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ce rapport est orienté vers l’homme. Mais, dans l’
homme
, vers le nouvel homme, vers les prémices de l’Esprit. En ce lieu où l
73
vers l’homme. Mais, dans l’homme, vers le nouvel
homme
, vers les prémices de l’Esprit. En ce lieu où la Poésie devient prièr
74
eu où la Poésie devient prière et prophétie, où l’
homme
, environné par le désordre ardent des choses, des plantes éphémères e
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temporain mieux que C. F. Ramuz n’a su replacer l’
homme
dans la perspective biblique de la Création. Il faut lire ce chef-d’œ
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atologiques. 14. « La nature n’a point fait de l’
homme
un être isolé, destiné seulement à cultiver la terre et à la peupler,
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d’autre que ce qui pourrait désespérer l’espèce d’
hommes
qui “se hâte”. » 15. I Pierre 3 :15. Version de Calvin. 16. Et mal
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e tradition nous aurait habitués à admettre que l’
homme
Jésus était aussi le Christ. Ainsi l’histoire, la durée, les dogmes a
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faire en présence du Verbe divin incarné dans un
homme
juif, l’acte de foi impossible à l’homme, celui que Pierre fit lorsqu
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dans un homme juif, l’acte de foi impossible à l’
homme
, celui que Pierre fit lorsqu’il dit à Jésus : « Tu es le Christ, le F
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ttitudes différentes que Dieu adopte en face de l’
homme
. Ils représentent trois activités de Dieu bien distinctes. « Cette po
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’est pas celle dont se distinguent les temps de l’
homme
en dehors de la Parole de Dieu, et qui dépend ici de la distinction p
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encore : c’est Dieu seul qui peut faire passer l’
homme
d’un temps à l’autre, c’est par le « bon plaisir » de Dieu seul que n
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e mes amis, effrayé de son humanisme, a baptisé l’
homme
qui ne veut pas mourir ? » — Il y a des gens qui ont le sens de la ga
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i vous appuyez, précisément, ce jugement-là : « L’
homme
qui ne veut pas mourir. » Moi. — Il y aurait de l’impertinence à aff
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chrétienne. » (Tome III, p. 287.) Et ceci : « Un
homme
ne peut se dépouiller de son humanité. » Par malheur, j’ai oublié la
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? Ou bien l’êtes-vous devenu ? Peut-on dire que l’
homme
de la table rase se soit placé sur le « terrain concret de l’humble b
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rs formules téméraires) je dirais volontiers : un
homme
ne peut se dépouiller de son humanité ; un chrétien ne peut se dégage
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ue je cherchais. Je lus ceci : « Mais il y eut un
homme
d’entre les pharisiens, nommé Nicodème, un chef des juifs, qui vint,
90
ondit : En vérité, en vérité, je te le dis, si un
homme
ne naît de nouveau, il ne peut voir le Royaume de Dieu. Nicodème lui
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le Royaume de Dieu. Nicodème lui dit : Comment un
homme
peut-il naître quand il est vieux ? Peut-il rentrer dans le sein de s
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ondit : En vérité, en vérité, je te le dis, si un
homme
ne naît d’eau et d’Esprit, il ne peut entrer dans le Royaume de Dieu…
93
. J’ai vu… Mais qu’ai-je donc vu ?… J’ai vu que l’
homme
ne peut pas se dépouiller de son humanité, et je le dis, et je l’atte
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devoir, vis-à-vis de cette jeunesse ! J’étais un
homme
religieux, et c’est cela que je suis resté. Je l’affirme solennelleme
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manistes : “Christ n’a pas cru pouvoir sauver les
hommes
autrement qu’en mourant pour eux”. Que pourrions-nous donc faire de p
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e définition de l’auteur du Problème du Bien ! “L’
homme
qui ne veut pas mourir”, c’est exactement ça ! Vraiment, c’est excell
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n’avons qu’une pâle idée. Il affirme qu’il est un
homme
religieux. Il a raison ! La seule religion qui tienne, c’est la relig
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hores mystiques, d’influx spirituel dans le vieil
homme
, de grâce infuse et de radioactivité de l’Évangile ! Mais vous, avez-
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ologie, on pouvait se risquer à discuter avec cet
homme
de nuit, quand il ne s’agit plus d’agir, mais seulement d’agiter des
100
ifs”21 ? Il n’y a pas tant de différence entre un
homme
qui nie l’Expérience, l’Unique — la seule chose nécessaire —, et un h
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ce, l’Unique — la seule chose nécessaire —, et un
homme
qui l’affirme unique, sans cependant pouvoir la vivre, et sachant qu’
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l demeure parmi nous comme le vivant symbole de l’
homme
qui ne peut pas mourir !… Plaise à Dieu que l’angoisse qui tourmente
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!… Plaise à Dieu que l’angoisse qui tourmente cet
homme
depuis sa rencontre nocturne, devienne aussi la nôtre, et nous ferme
104
ur nous, à ce moment, ce que Nicodème et tous les
hommes
reconnaissent qu’ils ne peuvent pas faire, — et c’est pourquoi je pen
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eux qui séparent l’éternel du temporel, Dieu de l’
homme
, la grâce de la nature, et la Révélation de notre raison ? Au point q
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foi au seul moyen de salut qui ait été donné aux
hommes
. Il en va de même du purgatoire, de l’analogia entis, de la grâce inf
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Bossuet : « … Le Sauveur a-t-il voulu laisser aux
hommes
à distinguer par leur propre sens ce qui était la substance de l’inst
108
ture, d’enseigner « objectivement » la vérité à l’
homme
« subjectif ». Et tout en mentionnant la Bible pour mémoire — « ces p