1
messes de salut sont seuls capables de donner à l’
homme
une vision réaliste de son sort terrestre, et le sobre courage d’avou
2
uteur à succès choyé par les « femmes du monde »,
hommes
de toutes les fortunes et bonnes fortunes, et traversant la vie dans
3
ture n’est qu’un luxe, elle n’a pas à nourrir son
homme
. Et l’on cite M. Duhamel, qui est médecin. Voire ! Outre que les cas
4
éation artistique requiert toutes les forces d’un
homme
, et s’accommode très mal de la dispersion de ses efforts. Comme, d’au
5
nes : poésie, roman, philosophie et sciences de l’
homme
. Il était temps qu’un ouvrage d’ensemble reprenne l’étude du phénomèn
6
à cause de la constante circulation d’idées et d’
hommes
qui s’est établie dans ce pays entre le gouvernement et la population
7
es de la paix. » Plusieurs dizaines de millions d’
hommes
entendaient cette prière, pouvaient s’y joindre. j. « Religion et v
8
ge immobile Vers le milieu du xxe siècle, les
hommes
firent en sorte de réduire à peu de chose les avantages que la machin
9
ons aux appareils plus délicats que les sens de l’
homme
. Cette belle crise radio-poétique s’étant heureusement dénouée dans l
10
peuple aujourd’hui, plus de deux-cents-millions d’
hommes
et de femmes, mais par-delà tous les accents locaux, les intérêts et
11
s députés de la conscience la plus inquiète que l’
homme
ait jamais prise de son destin et des chances de le surmonter. Les dé
12
rnier recours, soulevé par la passion de tous les
hommes
, et pas seulement ceux de notre continent, pour qui le nom d’Europe a
13
ujourd’hui, sont confondues avec les chances de l’
homme
. Personne n’est assez grand pour répondre au défi d’un tel destin. Gr
14
e et l’indifférence ; et devant vous, le rire des
hommes
d’acier ! Si vous me dites que c’est prématuré, je vous supplierai de
15
rince de Hesse. « Non, mes amis ! », dit le grand
homme
. Et tous de pleurer à l’envi. Paul Claudel, informé par un ami commun
16
reste du genre humain créé pour son utilité. Des
hommes
, admirés comme de grands philosophes, ont positivement attribué à ses
17
ccepter la libre discussion, le libre échange des
hommes
, des œuvres et des idées. Et voilà qui n’a l’air de rien, mais qui éq
18
nt sans lequel il n’est point d’entente entre les
hommes
, je veux dire un langage commun. On a reconnu l’expression qui revien
19
ition pacifique. Une compétition pacifique entre
hommes
également convaincus : si cette offre est aussi valable pour d’autres
20
alistes de l’esprit ne peuvent rien apprendre aux
hommes
de l’Est : ceux-ci n’enverront pas non plus leurs opposants… D’autres
21
que problèmes. À l’extérieur, elle voit quelques
hommes
forts : un Tito, un Adenauer. C’est vers eux que s’en vont ceux qui p
22
tant que je n’aurai pas fait tout ce que peut un
homme
libre pour hâter le jour de la vengeance du peuple hongrois et du châ
23
esprit, c’est un criminel en puissance : c’est un
homme
qui approuve, excuse et justifie, les massacres de Budapest ; qui tro
24
’aise. Je veux certes la mettre à l’aise, et tout
homme
doit le vouloir avant tout, mais ce n’est pas un article qui pourrait
25
jurons de refuser, dorénavant, de saluer du nom d’
homme
un communiste quelconque, qui n’aurait pas d’abord abjuré publiquemen
26
e quelque chose, qu’il s’agit d’un talent et d’un
homme
. Ses confrères communistes le savent aussi — et le font bien voir… Ho
27
le juge moins qu’il ne juge un régime qui ôte à l’
homme
le courage d’être lui-même, et le rabat au mutisme sans espoir, seule
28
cède d’une confiance intuitive dans l’accord de l’
homme
et du monde, et suppose une foi dans leur fondement commun, « fondeme
29
a vie humaine par la croyance ou l’incroyance des
hommes
, mais par les signes de sa présence dans l’existence de l’homme en ta
30
r les signes de sa présence dans l’existence de l’
homme
en tant qu’être psychique. » Et la norme de l’éthique, qui est l’Amou
31
prière, acte de recueillement dans ce qui fonde l’
homme
et le transcende. Et la foi, qui « se porte sur Dieu » comme sur le f
32
e transcendance tout extérieure de Dieu, tenant l’
homme
dans sa dépendance, donc dans une relation passive, tandis que le Chr
33
st des évangiles a été « le premier à révéler aux
hommes
la vérité de leur expérience de Dieu, en les ramenant du Dieu transce
34
u des philosophes qui sera d’un grand secours à l’
homme
d’aujourd’hui. (Paragraphe sur « l’éducation chrétienne », p. 231.) O
35
ptocommuniste, ni contestataire farfelu. C’est un
homme
sérieux et ouvert, doué d’esprit critique mais capable de s’enthousia
36
ge de moralité et de caractère qu’il porte sur un
homme
dont il connaît personnellement la pensée et les mobiles. Il n’est pa
37
ntraire à éloigner de la solidarité nationale des
hommes
comme Denis de Rougemont, qui ne sont pas eux-mêmes objecteurs, qui n
38
ne peut contester, et qui rassure valablement des
hommes
qui acceptent leur service non dans l’indifférence ou l’ignorance, ma
39
iversité qui soit digne de ce nom. Vers quoi va l’
homme
? une mutation tant physique que spirituelle ? Je n’en sais rien. Je
40
i, par les nationalistes, à la guerre de 1914. Un
homme
politique français a déclaré : « Le pouvoir personnel finit toujours
41
le suis en ce qui concerne les effets de ce que l’
Homme
, indépendamment de la nature, a développé dans cette civilisation. Je
42
pé dans cette civilisation. Je ne crois pas que l’
homme
devient esclave des machines ; il est esclave de certaines de ses ten
43
ances qui prennent les machines comme paravent. L’
homme
n’est pas esclave de sa voiture, il est esclave de sa vanité sociale
44
rdité. Ce qu’il nous faut, c’est un contrôle de l’
homme
. » Les gens disent : « Nous sommes envahis par les machines. » Je leu
45
ciété elle-même, mais la personne, c’est-à-dire l’
homme
, à la fois libre et responsable, traduction simple de cette phrase my
46
sur ce problème dans L’Aventure occidentale de l’
homme
. J’ai essayé de montrer que la notion de révolution n’est rien d’aut