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sur deux armoires basses siégeaient une dizaine d’
hommes
. Deux ou trois coiffes de paysannes seulement. Et des enfants autour
2
! etc. » C’est fini. L’instituteur s’éponge. Les
hommes
du fond ont applaudi brièvement. Mellouin a même crié : Très bien ! L
3
s éclairage. L’orateur se hisse sur la scène : un
homme
jeune encore, un peu gros et lent d’allure, physionomie ouverte et sé
4
e l’autre fois ! Poussés par leurs voisins, trois
hommes
se lèvent en haussant les épaules pour s’excuser de se mettre en avan
5
ntellectuels, les écrivains, les professeurs, des
hommes
distingués et très instruits. Eh bien, il y a aussi des prêtres et de
6
r son prochain comme Jésus nous aime. Si tous les
hommes
étaient chrétiens, il n’y aurait plus d’exploitation ni de guerre !…
7
, et nous sortons ensemble. Dans la rue noire, un
homme
nous rejoint : c’est celui qui a présidé la réunion. Il veut encore r
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pensez, de cette soirée… Je le regarde. C’est un
homme
simple et solide, on peut lui parler en camarade : — Eh bien ! si vou
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llent le peuple… » ; je revoyais cette centaine d’
hommes
dans la salle nue. Leur méfiance ou leur timidité, ou aussi leur fati
10
constatation : il est très difficile d’aimer des
hommes
qui ne nous sont rien, qui ne nous demandent rien, qui peut-être ne v
11
els bourgeois). Il est très difficile d’aimer ces
hommes
, et cependant ils sont la réalité vivante et présente du « peuple ».
12
pos de mon voisin au sortir de la conférence. Cet
homme
trouvait qu’il n’y avait rien à « discuter » dans les paroles de l’or
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ligentes, ou nouvelles. C’est surtout parce qu’un
homme
instruit jouit d’une certaine considération sociale, sait se débrouil
14
ntérêts. Cela va de soi. Il est probable qu’aucun
homme
du peuple ne s’est jamais dit cela comme je le dis ici. Mais il me pa
15
ence une doctrine analogue. Il est normal que les
hommes
sans culture se trompent sur la nature et sur le rôle de la culture.
16
ôle de la culture. Mais il est inquiétant que les
hommes
cultivés, au lieu de s’efforcer, comme ils devraient, de combattre ac
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écembre 1933 Si l’on veut réellement conduire un
homme
à un but défini, il faut avant tout se préoccuper de le prendre là où
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secret de tout secours… Pour aider réellement un
homme
, il faut que j’en sache davantage que lui, mais il faut avant tout qu
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r orgueil, de sorte qu’au fond, au lieu d’aider l’
homme
, je cherche à me faire admirer de lui. Cette remarque de Kierkegaard
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es en parcelles minuscules. Sur ces parcelles des
hommes
et des femmes travaillent, le buste parallèle au sol. Ces deux observ
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ridicule des parcelles tout autour du village : l’
homme
qui travaille ces bouts de champ, grands comme ma chambre, doit passe
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à son tour, permettrait d’autres progrès. Un seul
homme
ici pourrait influencer cette mentalité, c’est l’instituteur. S’il le
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des usages de l’île. Dès la quarantaine déjà, les
hommes
et les femmes ont tous le corps plus ou moins déjeté. Cela provient é
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ien ce qui m’arrêterait dès les premiers pas. Ces
hommes
n’ont pas ou n’ont plus coutume de se réunir, d’être ensemble pour ca
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s villageoises. Tout cela s’est dissous quand les
hommes
sont partis pour la guerre, et rien ne s’est refait depuis. Quand on
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qui est bien dans l’harmonie de cette lande où l’
homme
et ses maisons mettent les seules verticales. Existence ramenée à ces
27
e à ces deux dimensions premières. Pour la vie, l’
homme
debout et actif, il faut le pain. Pour la mort, l’homme qui se recouc
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debout et actif, il faut le pain. Pour la mort, l’
homme
qui se recouche, il faut la tombe. Il y a toujours quelque grandeur d
29
es simples, rudimentaires. Mais quand je vois ces
hommes
et ces femmes accrochés à cette terre pauvre, qu’ils grattent lenteme
30
ination de l’instinct, au niveau le plus bas où l’
homme
puisse vivre sans misère, sans ambitions, sans rêves, sans tristesse.
31
pour une heure, de leur vie. Oui, voilà bien les
hommes
avec lesquels je rêverais d’entreprendre une belle révolution, qui ra
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vain a bien deux fois plus de peine à vivre qu’un
homme
normal, mettons qu’un fonctionnaire (c’était pour le flatter), et cel
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haies, sans chemins creux et sans secrets, où les
hommes
vivent sans calcul ni prudence, dans la misère et dans la communion,
34
opprimées et naïves, conduites par des équipes d’
hommes
durs, intellectuels bannis ou petits nobles déclassés, le triomphe im
35
isine avec sa femme et ses deux enfants. C’est un
homme
de quarante ans, aux traits réguliers et sérieux, un peu lent de gest
36
e claire est la première conquête spirituelle des
hommes
angoissés par le mystère d’une nature hostile et mouvante. La parole
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lle est devenue trop ancienne et facile, laisse l’
homme
sur un sentiment de déception et d’indicible appauvrissement. Le mond
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an de l’humanité. Et tandis que dans sa panique l’
homme
primitif s’était tourné vers la raison libératrice, au terme des époq
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ice, au terme des époques appauvries de mystère l’
homme
sceptique se rejette avec passion vers les « aspects nocturnes » de s
40
orthodoxie, d’une dernière crainte de confondre l’
homme
et Dieu. Troxler esquive non sans adresse la difficulté et le choix :
41
maladies une vue nouvelle sur les structures de l’
homme
, peut-être pouvons-nous demander à la biographie des romantiques quel
42
« Sous quelque angle qu’on veuille l’examiner, l’
homme
trouve en lui une blessure qui déchire tout ce qui vit en lui, et que
43
llustre une relation profonde et constante dans l’
homme
: celle qui existe entre le recours à l’indicible et la fuite devant
44
implistes, bien sûr — de certaines attitudes de l’
homme
en face de son destin et de sa personne. Le national-socialisme appar
45
Si le détail est laid, voyez l’ensemble. Pour un
homme
qui est seul, Manhattan est sublime. Il n’a qu’à s’oublier dans l’éne
46
un découpage de ciel mat, tout est fait de main d’
homme
sur table rase, imbriqué, condensé, superposé, pour un usage massif,
47
nversations des voisins dans un bar, coudoyer des
hommes
déformés ou épais, des femmes malades ou trop vernies, Times Square,
48
r la sensation directe du monde tel que le crée l’
homme
privé de l’Esprit, l’une des entrées de la Voie négative et du Désert
49
st retiré. Ce n’étaient pas « les péchés » de ces
hommes
et de ces femmes, ni les miens, dont nul ne peut juger et qui peut-êt
50
e qu’embrasse mon regard, tout est fait de main d’
homme
, sauf les mouettes. Qu’on ne me parle plus des lois économiques et de
51
réalités d’un monde tout artificiel que nous, les
hommes
, avons bâti selon nos caprices, nos passions et nos raisons folles. S
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ors. Dans un fumoir, à droite, en contrebas, deux
hommes
en veste de chasse et deux jeunes femmes très blondes boivent des whi
53
us sans ralentir. Une femme en jaune, suivie d’un
homme
. Comme ils s’approchent, on voit qu’elle tient la bride d’une main, e
54
ssent, remontent… Paraît dans la porte du fond un
homme
en veste de chasse, qui tient des verres de whisky à la main. Deux fe
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sseoir un peu à l’écart de notre groupe. Un autre
homme
apporte un plateau. On le renvoie chercher des verres et des bouteill
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ur-là, les glorieux highways aboutiront enfin à l’
Homme
. 10. Au bord du lac du même nom, dans le nord de l’État de New Yor
57
hait à définir cette conception fondamentale de l’
homme
que l’on baptisait la personne — l’homme « à la fois libre et respons
58
ale de l’homme que l’on baptisait la personne — l’
homme
« à la fois libre et responsable » que l’on opposait d’une part à l’i
59
rt à l’individu sans devoirs, et d’autre part à l’
homme
collectiviste, au soldat politique sans droits. Mais puisqu’il s’agis
60
tre par les États, nous n’étions qu’une poignée d’
hommes
de bonne volonté, remarquablement dépourvus de moyens matériels, pres
61
conseil classique : augmenter les exportations. L’
homme
de la rue s’étonne de voir cette farce rééditée chaque jour avec tant
62
’elle a pu réunir, sous le signe de l’Europe, des
hommes
aussi divers que le dirigiste André Philip, le libéral Giscard d’Esta
63
que. Il n’est point d’ordre politique qui serve l’
homme
, s’il n’est orienté dès le départ par une vision libératrice et fasci
64
tion, presque invisible, d’un très petit nombre d’
hommes
qui ont su voir juste… » Il venait de découvrir l’Europe, ses limitat
65
Athènes, c’est la découverte de l’individu, de l’
homme
distingué du troupeau, et prenant mesure de lui-même par une rupture
66
ui les sous-tendent et les grandes doctrines de l’
homme
et de la société qui se sont dégagées peu à peu de ce complexe, d’une
67
de l’Occident, nous trouvons le grand secret de l’
homme
européen : c’est un homme dialectique, dialogique, ne pouvant espérer
68
ns le grand secret de l’homme européen : c’est un
homme
dialectique, dialogique, ne pouvant espérer d’atteindre à l’équilibre
69
santes par des réactions toujours renouvelées, un
homme
donc condamné au choix perpétuel, et donc à la prise de conscience, e
70
qui provoquent à la création. Voilà pourquoi cet
homme
européen s’est révélé, au cours du dernier millénaire, plus créateur
71
illénaire, plus créateur qu’aucune espèce d’autre
homme
produite par les familles connues de la planète. Il ne pouvait faire
72
derniers mille ans. Mais comment expliquer que l’
homme
du ive siècle, par exemple, en qui s’était déjà formée la synthèse h
73
é certains des caractères les plus marquants de l’
homme
du xixe ou du xxe siècle ? Cela ne prouve-t-il pas que j’aurais oub
74
comme en Amérique (où l’on pense réellement qu’un
homme
en vaut un autre), on voit aussitôt la passion s’atténuer ou disparaî
75
mme une extension progressive de la maîtrise de l’
homme
sur lui-même et le monde… Toutes ces définitions, et vingt autres pos
76
de techniques ésotériques qui ne concernent pas l’
homme
de la rue, ni l’industriel ou le banquier. Jadis centrale, la situati
77
le son le plus authentique : « Que servirait à un
homme
de gagner le monde, s’il perdait son âme ? » ⁂ J’admets ici, comme hy
78
suffisante. Une mitrailleuse ne sert à rien, si l’
homme
qui la reçoit refuse de s’en servir, parce qu’il ignore ce qui est en
79
e se confondent aujourd’hui avec les chances de l’
homme
. C’est pourquoi nous voulons sauver l’Europe. Non point pour l’oppose
80
e la liberté, qui ont fait la vraie grandeur de l’
homme
européen, et pour sauver en face de la terre des masses, et de la ter
81
la fatalité, une Europe qui demeure la terre des
hommes
. 12. Ici cependant, point de malentendu ! Ne nous laissons jamais t
82
Je me rendors. Le thé est là, et de nouveau trois
hommes
en blanc près de la table. Je leur demande du sucre. Ils sourient et
83
s courons admirer ceux qui vénèrent les vaches. L’
homme
qui connaît ses dieux se conçoit dans leur ordre et sans autres probl
84
out ceci s’ouvrant sur la rue, à quelques pas des
hommes
vautrés dans les boutiques, des passants à pieds nus qui circulent sa
85
ux brillent dans les portes sombres. Çà et là, un
homme
prie, accroupi contre un mur. Il règne dans tout le quartier une espè
86
s les roches noires et plates du bord de mer, des
hommes
assis en groupe écoutent une lecture à haute voix. Accroupi sur un ba
87
nt ouvert sur ses genoux un gros in-quarto relié.
Homme
encore jeune, massif, de peau très noire, aux gros yeux blancs, série
88
i rien vu de plus touchant, ni jamais un groupe d’
hommes
plus dignes et candides dans l’acte d’entendre un poème. Plus tard, c
89
sol d’un bâton. Derrière lui se pressaient trois
hommes
plus petits, l’un sur les talons de l’autre, le premier très gros et
90
heval surgissant du sommet de l’occiput. Le saint
homme
déployait son importance, les trois suiveurs semblaient vouloir montr
91
ans semer la mort à chaque instant, cette foule d’
hommes
en blanc qui marchent en tous sens entre les deux trottoirs, quand il
92
n guide me retient par la manche : lieu sacré. Un
homme
, sur le seuil, fait un signe. Je ne comprends pas. Je passe le porche
93
nduisent à une terrasse surélevée d’un mètre. Des
hommes
assis sur le rebord, jambes pendantes, me regardent. Au pied de l’arb
94
et un autel, chargé de fleurs et d’offrandes. Un
homme
prie debout, puis se tourne à demi en remuant les lèvres vers l’autre
95
vec le dieu, tournant le dos aux passants. Et ces
hommes
en prière contre un mur. Et ces saints demi-nus, traversant à grands
96
arsis. Stephen déplore la condition présente de l’
homme
occidental, tourmenté comme on sait par mille complexes, sexuels surt
97
l’humour, ni même celui de l’originalité, étant l’
homme
du Karma, et d’une caste. La suppression des castes, admise en droit,
98
indi ou en anglais.) Mais à table, c’est un autre
homme
. Souriant et détendu, curieux de tout, connaissant bien les écrivains
99
ce que l’on m’a dit de lui et ce que j’ai vu de l’
homme
, pendant une entrevue « banale », et c’est son prix. Nehru est un bra
100
rouverait-il encore ce mystère primitif qui lie l’
homme
à ses dieux comme une ombre à la nuit ? Ne trouverait-il pas au contr
101
eux, tel que j’ai cru le pressentir : celui de l’
homme
entre le mythe et la personne. Les autres sont assez connus. Des mill
102
t pour des centaines de personnes à Bombay.) Neuf
hommes
sur dix sont illettrés, dans un régime officiellement démocratique. L
103
Les Suisses sont plus réellement moyens que « l’
homme
moyen » des autres peuples, support ou résultat fictif des statistiqu
104
s reste en général fidèle à son métier. Dire d’un
homme
qu’il a fait beaucoup de métiers est un éloge banal en Amérique (ou v
105
lui a dit : « Je préférerais donner ma fille à un
homme
de Winterthour plutôt qu’à quelqu’un de Nidwald » (canton voisin). En
106
çais ou de l’Anglais, et ce sont pourtant de tels
hommes
qui donnent à un pays ce qu’on appelle son visage, visage bientôt « t
107
longuement agissantes et soudain décisives que l’
homme
moyen ne peut pas exprimer, bien qu’il en vive, — ou faut-il dire pré
108
e précisément parce qu’il en vit ? Et ce sont des
hommes
d’exception qui les révèlent dans leurs œuvres, même s’ils croyaient
109
ns idéales ou nostalgies. Condition du « grand
homme
» en Suisse Dans un film naguère célèbre, Orson Welles assurait qu
110
ait dire que la Suisse n’a produit rien de grand,
hommes
, idées ou objets, comme l’Italie a produit Dante, la France Pascal et
111
’une bonne culture générale. Le statut du « grand
homme
» en Suisse le condamne à demeurer à peu près invisible. Comment veut
112
i ait jamais entendu ce nom-là ; en revanche, les
hommes
importants qu’on lui indiquera sont inconnus hors du canton. La Suiss
113
ation d’innombrables compartiments. Si bien que l’
homme
de poids y sera surtout local. Il sera le grand homme d’une vallée, d
114
e de poids y sera surtout local. Il sera le grand
homme
d’une vallée, d’une cité, plus rarement d’un canton, presque jamais c
115
s’oppose à toute prédominance d’un canton ou d’un
homme
qui le représente. D’où les conséquences qu’on a vues dans le domaine
116
its compartiments. Que fera dans ces conditions l’
homme
de talent ou d’ambition ? Il a trois possibilités : essayer de se ren
117
prétendre à composer un portrait-robot du « grand
homme
suisse moyen » (expression en elle-même contradictoire) il me paraît
118
Jacob Burckhardt à sa manière fut aussi un grand
homme
invisible ; refusant de succéder à Ranke dans la chaire d’histoire de
119
excellé furent presque tous, à des titres divers,
hommes
utiles au sens le plus noble et penseurs engagés dans une communauté
120
idu, entre l’individu et la communauté, entre les
hommes
, entre les peuples et nations, entre des entités moralement définies.
121
re des entités moralement définies. Le salut de l’
homme
ou sa santé, plutôt que sa définition, préoccupent les meilleurs espr
122
adical détruisant toute « analogie de Dieu » en l’
homme
, calviniste par son sens civique et communautaire, mais kierkegaardie
123
role de Dieu, Jung recherche ce qui se passe en l’
homme
, selon les mythes universels. L’un veut amener l’individu à l’obéissa
124
érétiques. Pour Barth, Dieu est le vis-à-vis de l’
homme
, le Tout Autre. Pour Jung, Dieu est une réalité psychique. Le théolog
125
Barth les rejetterait. Le dialogue entre ces deux
hommes
n’était même pas concevable, et de fait il n’a pas eu lieu. Leurs dis
126
ils atteignent l’universel. Au fond de son trou l’
homme
de Disentis, de Goeschenen, de Viège, entre les hautes parois de sa p
127
s Alpes comme Horace-Bénédict de Saussure que ces
hommes
s’illustrèrent et apprirent à voir grand, c’est en s’expatriant pour
128
urope », c’est la formule parfaite. Ainsi, pour l’
homme
de culture en tant que tel, le stade national est sauté. Cas unique,
129
s large du terme. Avant de chercher à quel type d’
homme
correspond une telle politique, et quel type d’homme elle entend prép
130
me correspond une telle politique, et quel type d’
homme
elle entend préparer ou éduquer, constatons qu’elle traduit une forme
131
t se constituaient les premières définitions de l’
homme
comme individu distinct, et de la cité ou auto-nomie (littéralement a
132
et même Seigneur Jésus-Christ, vrai Dieu et vrai
homme
… fils unique en deux natures, sans confusion (ni) séparation. L’union
133
ase de notre analyse, plaçons une conception de l’
homme
analogue au modèle bipolaire posé par le concile de Chalcédoine. La p
134
us servir de module. La personne humaine, c’est l’
homme
considéré dans sa double réalité d’individu distinct et de citoyen en
135
ême dont l’exercice le relie à la communauté, cet
homme
se constitue dans la dialectique des contraires. Et ce caractère va s
136
re à tous les groupes qu’il formera avec d’autres
hommes
, ses semblables. Ces groupes devront être, à leur tour, à la fois aut
137
d’enracinement et de mobilité… La situation de l’
homme
qui veut à la fois sa vie privée et une vie sociale est homologue à l
138
es, j’entends selon qu’elles intéressent tous les
hommes
de toutes les régions, certains hommes de toutes les régions, certain
139
t tous les hommes de toutes les régions, certains
hommes
de toutes les régions, certains hommes de certaines régions, tous les
140
, certains hommes de toutes les régions, certains
hommes
de certaines régions, tous les hommes de quelques régions, ou d’une s
141
s, certains hommes de certaines régions, tous les
hommes
de quelques régions, ou d’une seule. Je conviendrai que le nombre des
142
re notamment par le chiffre élevé des suicides. L’
homme
des ensembles à bon marché, trop serré avec d’autres chez soi, et qui
143
alimenter la pensée des sociétés et de dicter aux
hommes
ces “images de comportement” dont Bertrand de Jouvenel a si justement