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nt la notion chrétienne et la notion antique de l’
homme
; telles, dans une certaine mesure, la notion germanique et la notion
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ervation suivante : au sortir de l’adolescence, l’
homme
devient à la fois moins abstrait et moins sentimental ; cela se marqu
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ntait les chœurs de Schubert après boire — et les
hommes
parlaient lentement, parlaient peu —, c’est le secret de votre bienve
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vous allez me dire que c’est trop facile pour un
homme
retiré du monde depuis si longtemps. Livrons-nous plutôt à une petite
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à lui prendre chacun un bras, une femme pour deux
hommes
— et ce fut bien dans cette anecdote dont Gérard attendait évidemment
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mes sans chapeau couraient vers les voitures, les
hommes
s’inclinaient pour des baise-mains silencieux et mécaniques. Je recon
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racle d’amour qui fasse pousser un grand cri à un
homme
qu’on verrait alors s’agenouiller dans un silence impressionnant et r
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de démesure. Et, de Giorgione, ce « Portrait d’un
homme
» devant lequel il faut se taire pour écouter ce qu’il entend. ii
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duite féconde. Il me semble que la servitude de l’
homme
moderne apparaît ici sous un aspect bien inquiétant : c’est à la sens
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ce : un vrai sourire, adressé personnellement à l’
homme
, — et le mot « affable » reprend ici sa noblesse. Mon voisin qui a la
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États de l’Europe se formule en revendications d’
hommes
d’affaires. Ce qu’on prétend défendre, c’est son droit, ses intérêts.
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demi-juifs — mais laids comme des paysans, beaux
hommes
aux traits lourds. Dans l’ivresse, leurs yeux s’agrandissent. Dans la
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la Lune — lit-on dans les upanishads. — Or si un
homme
n’est pas satisfait dans la lune, celle-ci le libère (le laisse aller
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libère (le laisse aller chez Brahma) ; mais si un
homme
y est satisfait, la Lune le renvoie sur terre en forme de pluie. » Si
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i encombrés d’armoires. Un couloir, la chambre. L’
homme
qui me conduit est le propriétaire actuel. « Monsieur connaît Hölderl
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ciel ni sur la terre. Car enfin, qu’est-ce que l’
homme
? qu’est-ce donc que ce paradoxal mélange de chair et d’âme ? — Parac
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rg s’accorderaient, je le crois, pour répondre. L’
homme
est un point de vue central et médiateur entre les corps et les espri
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res qui peuplent ces villes, là-bas, que le nom d’
homme
ne saurait plus les désigner sans fraude. Un bel assortiment de monst
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az ! Ah ! Diogène, Diogène ! cesse de chercher un
homme
. Tâche plutôt d’en devenir un. — Parmi ces gens d’ici, qui prennent l
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table une servante respectueuse des plaisirs des
hommes
, et peut-être aussi de leurs familiarités. J’étais attablé ce soir-là
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retraite sensuelle. N’est-ce point de cela que l’
homme
des villes a besoin de nos jours ? On parle toujours de son appétit d
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édition cartonnée d’Andersen, mais sans cesse des
hommes
entrent, cherchent une place, ouvrent la fenêtre, ou bien c’est un co
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ers, — et c’est à elle que va ma sympathie ?… Les
hommes
parlent une langue brusque et de mauvaise humeur, les yeux mornes ou
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de salle du château. Une douzaine de domestiques,
homme
et femmes, pénètrent par le fond, s’alignent debout. Les enfants sur
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ratiques, tout l’apprentissage de la conduite des
hommes
, des animaux et des éléments naturels. Pour nous, nous développons un
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u’au sein d’une nature qui, sans cesse exige de l’
homme
la maîtrise et le déploiement de ses instincts ? Ici, pas d’autres em
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maître à serviteur, des rapports personnels de l’
homme
à la nature sous toutes ses formes, animales, végétales, domestiquées
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u’un corps de janissaires tout au plus. Mais ces
hommes
durs, silencieux, et sains, servants des terres conquises par les che
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que la portière. Il fait assez froid. ⁂ Lorsque l’
homme
, cédant à l’évidence des choses ou de l’esprit, comprend enfin qu’il
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’être trouvé. J’ai toujours méprisé le geste de l’
homme
qui, le soir dans sa chambre d’hôtel, ferme sa porte à double tour. A