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espèce d’intelligence, ou d’ironie… Pour de tels
hommes
, certes il n’y a pas deux France ! Ou plutôt elles se mêlent dans un
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essaire au cœur de chacun d’eux. Voilà l’espèce d’
hommes
français que je voudrais croire la plus authentique, et la plus digne
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oyenne. Que ne réserve-t-on l’expression pour les
hommes
qui résument en eux les tendances contradictoires dont le concours fa
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res, la veille encore recouvertes de sable. Peu d’
hommes
aux champs, petits hommes noirs courbés. Et le village vu des dunes t
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uvertes de sable. Peu d’hommes aux champs, petits
hommes
noirs courbés. Et le village vu des dunes tantôt ressemble à un dessi
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crète, que les raisons économiques ? Pourquoi les
hommes
vivent-ils sur des îles ? Quand nous sortons pour une promenade et qu
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us ramène tout physiquement à nos limites. Mais l’
homme
est ainsi fait qu’il désire sans cesse se risquer au-delà de ce qu’il
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eau faire, je ne parviens pas à partager avec les
hommes
de ce village ce qui est essentiel et solide dans ma vie. Le simple f
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e que j’écris que je me vois séparé de beaucoup d’
hommes
, du plus grand nombre. Et d’abord de ceux qui m’entourent, et qui son
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an. Clameur des masses contre le ciel fatal, et l’
homme
se tait là-bas, « ne s’entend plus », dans la multitude en tumulte, t
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ur deux armoires basses, siégeaient une dizaine d’
hommes
. Deux ou trois coiffes de paysannes seulement. Et des enfants autour
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! etc. » C’est fini. L’instituteur s’éponge. Les
hommes
du fond ont applaudi brièvement. Mellouin a même crié : Très bien ! L
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me, que trois types de pièces habitables, pour un
homme
qui attache de l’importance à ce qui l’entoure : appartements et gran
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irage. L’orateur se hisse sur la scène : c’est un
homme
jeune encore, un peu lent d’allure, à la physionomie ouverte et série
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l’autre fois ! » Poussés par leurs voisins, trois
hommes
se lèvent en haussant les épaules pour s’excuser de se mettre en avan
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ntellectuels, les écrivains, les professeurs, des
hommes
distingués et très instruits. Eh bien, il y a aussi des prêtres et de
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r son prochain comme Jésus nous aime. Si tous les
hommes
étaient chrétiens, il n’y aurait plus d’exploitation ni de guerre !…
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r et nous sortons ensemble. Dans la rue noire, un
homme
nous rejoint : c’est celui qui a présidé la réunion. Il veut encore r
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pensez de cette soirée »… Je le regarde. C’est un
homme
simple et solide, on peut lui parler en camarade. — Eh bien, si vous
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pellent le Peuple !… je revoyais cette centaine d’
hommes
dans la salle nue. Leur méfiance ou leur timidité, ou aussi leur fati
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constatation : il est très difficile d’aimer des
hommes
qui ne nous sont rien, qui ne nous demandent rien, qui peut-être ne v
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els bourgeois). Il est très difficile d’aimer ces
hommes
, et cependant ils sont la réalité vivante et présente du « peuple ».
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pos de mon voisin au sortir de la conférence. Cet
homme
trouvait qu’il n’y avait rien à « discuter » dans les paroles de l’or
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ligentes, ou nouvelles. C’est surtout parce qu’un
homme
instruit jouit d’une certaine considération sociale, sait se débrouil
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ntérêts. Cela va de soi. Il est probable qu’aucun
homme
du peuple ne s’est jamais dit cela comme je le dis ici. Mais il me pa
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ence une doctrine analogue. Il est normal que les
hommes
sans culture se trompent sur la nature et sur le rôle de la culture.
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ôle de la culture. Mais il est inquiétant que les
hommes
cultivés, au lieu de s’efforcer, comme ils devraient, de combattre ac
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re 1933 « Si l’on veut réellement conduire un
homme
à un but défini, il faut avant tout se préoccuper de le prendre là où
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secret de tout secours… Pour aider réellement un
homme
, il faut que j’en sache davantage que lui, mais il faut avant tout qu
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r orgueil, de sorte qu’au fond, au lieu d’aider l’
homme
, je cherche à me faire admirer de lui. » Cette remarque de Kierkegaa
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de me représenter l’existence quotidienne de cet
homme
aux prises avec la solitude la plus désespérante, celle que lui crée
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le la politique est encore capable de pousser les
hommes
à des violences. L’héroïsme vrai aujourd’hui n’est plus spectaculaire
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les consommateurs attablés autour de moi. Que les
hommes
sont laids ! Chacun d’eux me frappe par une difformité particulière,
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que ceux du reste de la France. Peut-on aimer les
hommes
qu’on voit ? — Ou bien, au contraire, cette laideur disparaîtrait-ell
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lier de l’intellectuel chômeur. Il semble que cet
homme
-là soit à peu près le seul qui ait à la fois le droit et les moyens d
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-dire un intellectuel chômeur, je devine chez mon
homme
un certain scepticisme : « Chômeur ? Allons donc, cela s’appelait boh
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Paradoxes. — Un intellectuel chômeur n’est pas un
homme
démoralisé par la privation de travail. Au contraire, il peut travail
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ces extérieures sont capables de tuer en certains
hommes
jusqu’à l’activité de la pensée : mon état d’esprit, quand je suis da
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vécu aujourd’hui par une trentaine de millions d’
hommes
ne peut pas être vécu de la même façon par l’intellectuel. Il atteint
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l le met sur un pied d’égalité paradoxal avec les
hommes
qui l’entourent. Il le dépouille des signes extérieurs de son état, d
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ins disent que la Providence est un opium ; que l’
homme
s’endort à imaginer un ordre du monde où sa place serait réservée, al
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nnent aucun compte de moi : voilà la croyance des
hommes
forts, disent-ils. Savoir quelle angoisse d’infériorité se cache sous
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ce (ou du destin). C’est cela seul qui dispense l’
homme
de jouer la comédie de la force pour s’imposer aux autres, ou s’en im
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te il m’apparaît que ce désert est habité par des
hommes
dont la présence m’est plus concrète qu’ailleurs. Ou par une analogie
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qu’elle est une terre réelle, travaillée par des
hommes
réels, leur imposant des conditions de vie précises et qu’il s’agit d
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es en parcelles minuscules. Sur ces parcelles des
hommes
et des femmes travaillent, le buste parallèle au sol. Ces deux observ
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ridicule des parcelles tout autour du village : l’
homme
qui travaille ces bouts de champ grands comme ma chambre doit passer
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à son tour permettrait d’autres progrès. Un seul
homme
ici pourrait influencer leur mentalité, c’est l’instituteur. S’il leu
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des usages de l’île. Dès la quarantaine déjà, les
hommes
et les femmes ont tous le corps plus ou moins déjeté. Cela provient é
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ien ce qui m’arrêterait dès les premiers pas. Ces
hommes
n’ont pas ou n’ont plus coutume de se réunir, d’être ensemble pour ca
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s villageoises. Tout cela s’est dissous quand les
hommes
sont partis pour la guerre, et rien ne s’est refait depuis. Quand on
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qui est bien dans l’harmonie de cette lande où l’
homme
et ses maisons mettent les seules verticales. Existence ramenée à ses
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e à ses deux dimensions premières. Pour la vie, l’
homme
debout et actif, il faut le pain. Pour la mort, l’homme qui se recouc
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debout et actif, il faut le pain. Pour la mort, l’
homme
qui se recouche, il faut la tombe. Il y a toujours quelque grandeur d
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es simples, rudimentaires. Mais quand je vois ces
hommes
et ces femmes accrochés à cette terre pauvre qu’ils grattent lentemen
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ination de l’instinct, au niveau le plus bas où l’
homme
puisse vivre sans misère, sans ambitions, sans rêves, sans tristesse.
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in que j’ai vu qu’ils avaient pris la chèvre. Des
hommes
mariés de 30 et 35 ans, voyez comme ils sont aujourd’hui ! Ils sont v
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très impressionnant de se demander en face de ces
hommes
, à quelques mètres d’eux, quand ils travaillent sur leur parcelle, ce
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tion. C’est par rapport à sa seule vocation qu’un
homme
peut arriver à savoir avec certitude de quoi et de combien il a besoi
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s techniquement possible, c’est d’accorder à tout
homme
, quel qu’il soit, le « minimum vital » qui lui permette d’obéir à sa
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ent vérifiables qui permettraient de répartir les
hommes
grosso modo, selon leurs vocations. Et le minimum qui leur serait acc
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pour une heure, de leur vie. Oui, voilà bien les
hommes
avec lesquels je rêverais d’entreprendre une belle révolution, qui ra
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vain a bien deux fois plus de peine à vivre qu’un
homme
normal, mettons qu’un fonctionnaire (c’était pour le flatter), et cel
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haies, sans chemins creux et sans secrets, où les
hommes
vivent sans calcul ni prudence, dans la misère et dans la communion,
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opprimées et naïves, conduites par des équipes d’
hommes
durs, intellectuels bannis ou petits nobles déclassés ; le triomphe i
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isine avec sa femme et ses deux enfants. C’est un
homme
de quarante ans, aux traits réguliers et sérieux, un peu lent de gest
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ente d’on ne sait quoi. Condition véritable de l’
homme
: il est celui qui agit dans l’attente. Il attend des révélations. C’
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rouve une brève angoisse : quel rapport entre cet
homme
à qui je parle, et le mot « homme » dans ce que j’écris ? Non seuleme
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pport entre cet homme à qui je parle, et le mot «
homme
» dans ce que j’écris ? Non seulement ceux d’ici ne comprendraient ri
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t-il avoir de parler de la « scission » entre cet
homme
et la culture ? N’y a-t-il pas là deux mondes qui n’ont jamais eu de
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ntact, ni jamais de commune mesure ? Mais je suis
homme
aussi bien qu’eux. Et ce que j’écris m’intéresse tout entier, en tant
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e que j’écris m’intéresse tout entier, en tant qu’
homme
. Donc j’ai bien le droit de parler aussi de leurs problèmes. Mais enc
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» dans mon livre, par une série de noms propres d’
hommes
du peuple que j’ai connus, est-ce que mes raisonnements ne paraîtraie
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ait en moi précisément, la présence physique d’un
homme
, confrontée avec les idées que j’avais en tête. Il y a probablement u
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os allées ; et je n’y considère pas autrement les
hommes
que j’y vois que j’y ferais des arbres qui se rencontrent dans vos fo
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par ce biais de ne le point regarder. La vue d’un
homme
de chair et d’os eût porté la déroute en son système. Mais nous, sero
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Gundolf avec une sorte de passion jalouse pour l’
homme
, avec ce même « intérêt personnel » que j’ai senti entrer en cause au
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apparaît au seuil de l’ère moderne comme le seul
homme
qui ait su être utile avec grandeur, dans toutes ses pensées. Mais u
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ous séduire : nous posons nos regards à hauteur d’
homme
. Et nous voyons un monde neuf où la pensée avait perdu, depuis un siè
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libre » fait d’elle-même, cette connaissance de l’
homme
qui ne « connaît » pas en acte, qui se souvient seulement d’avoir con
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Il serait temps d’envisager maintenant comment l’
homme
peut être présent au monde et à soi-même conjointement. Problème du s
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ace des grands individus. La définition même de l’
homme
, ce qu’il a proprement d’humain, c’est cette tension entre les autres
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ions vont se débattre et s’épuiser. Goethe sera l’
homme
en relation avec le monde, la société, et la nature ; mais de cette r
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vigueur et de tendresse réelle », notre réponse d’
homme
à toute la création, longtemps trompée dans son « attente ardente » !
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e originel. Et voilà pratiquement la réponse de l’
homme
: pillage, ruses, destruction, dévoration, le tout accompagné de sent
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une certaine « sympathie » (souffrir avec) que l’
homme
éprouve pour ses victimes : « Je regrette vraiment beaucoup, mais il
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ffisante. Elle est plus juste, et plus digne de l’
homme
que ces vertus de carnassiers que nous partageons, d’ailleurs maladro
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uère plus satisfaisants que nos rapports avec les
hommes
. Mais attention : Si l’homme n’est que nature, il reste dans l’ordre
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s rapports avec les hommes. Mais attention : Si l’
homme
n’est que nature, il reste dans l’ordre naturel en tuant pour assurer
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lui, comme le font tous les autres animaux. Si l’
homme
n’est que nature, mon scrupule est contre nature. Et toute espèce de
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bout du compte. C’est uniquement s’il y a dans l’
homme
une vocation surnaturelle, la mission de restaurer l’harmonie primiti
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m, et du bifteck. Il n’y a que ça de sérieux. » L’
homme
est un animal raisonnable. C’est de plus en plus évident. 22 mai 1
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Dieu » (Spinoza). « Tout l’univers s’adresse à l’
homme
dans un langage ineffable qui se fait entendre dans l’intérieur de so
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ains 8, 20-24). 24 mai 1934 On dirait que l’
homme
n’est pas fait pour durer : la vie étale nous ennuie, c’est ce qui na
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paru sans bruit il y a plus de dix-huit mois. Les
hommes
sont bons ! Du moins certains d’entre eux. Sur le moment, ce qui m’a
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où il est écrit : caisse. Je frappe et entre. Un
homme
penché vers le guichet parle au gérant. Le gérant me fait un signe, e
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oires de fils ingrat, de nièce coureuse, etc. Les
hommes
sont ennuyeux les uns pour les autres, dès qu’ils ont cessé de s’éton
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ltipliées : peu d’aventures dans l’existence d’un
homme
qui cherche à se posséder, plutôt qu’à se fuir dans les hasards. C’es
99
» bourgeois pour simplifier, on croirait que les
hommes
ne peuvent plus arriver à se connaître, tels qu’ils sont, qu’à la fav
100
sont peut-être aussi les plus communs à tous les
hommes
, — comment le savoir, on n’en parle jamais. Le grain de la terre ; et
101
eu »… Qui sait si beaucoup n’aimeraient pas qu’un
homme
parle devant eux de ce qu’ils aiment ou voudraient aimer ? de cette v
102
e cette « lenteur des choses » dont la moitié des
hommes
tire tout ce qu’elle a de contentement ? Je songe à ceux qui voudraie
103
dre social. Un Werther d’aujourd’hui, ce serait l’
homme
qui céderait au vertige du social démesuré, rompant avec son ordre in