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crire que des fragments. Le « journaliste » est l’
homme
sans lendemain. 5 avril 1939 Ce chef d’État offre, dit-on, d’év
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différentes, mais non pas l’acheté et le vendu. L’
homme
qui agit (achète ou vend) est défini par son action, revêt un rôle, d
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revêt un rôle, devient une persona ; tandis que l’
homme
qui subit un acte (qu’il soit acheté ou vendu) se voit assimilé par l
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tige ». Curieuse dramatisation ! À mesure que les
hommes
perdent leur personnalité, c’est la matière qui s’en voit revêtue.
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i, l’émigré, l’excité, le belliciste, et pire : l’
homme
dépourvu de tact, que disait-il ? La France aime tant la paix qu’elle
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ur le soulagement général — ce qui ferait taxer l’
homme
de la rue de cynisme ou de lâcheté. Faut-il penser qu’ils sont plus c
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e toute réalité, à toute époque de l’histoire des
hommes
, est apparue comme une réalité sans précédent, à ceux du moins qui os
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seule différence. Et voilà notre chance aussi. L’
homme
n’est pas fait pour vivre en état de guerre, au sens moderne de l’exp
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e de Kant qui croyait voler mieux dans le vide… L’
homme
n’est pas fait pour vivre sans menaces, sans résistances, sans vigila
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s grand de la cité, mais les raisons de vivre des
hommes
qui l’habitent. Ce n’est pas la somme de leurs soucis et de leurs pla
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rien ne dépend de nous. C’est notre liberté. Les
hommes
sont à la soupe. Nous dînerons dans une heure au café du village. Une
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hargneuse et fouaillée de jurons, précipitant des
hommes
mal réveillés vers des attentes inexplicables sous la pluie. Mangeail
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perdus, récupérés à la volée, c’est tout ce que l’
homme
dans le rang peut constater, si toutefois la fatigue lui laisse la fa
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e heures du matin, après l’alarme. La plupart des
hommes
le ressentent ; presque aucun n’oserait l’avouer. On croit que la poé
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Couché dans l’herbe grasse, écrasé par son sac, l’
homme
observe l’avant-terrain par-dessous la visière d’acier régulièrement
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. Le vent siffle à travers les trous du casque. L’
homme
tire la toile de tente qui couvre ses épaules et cherche à la caler s
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de deux sapins pleureurs, et je constate que mes
hommes
ont cessé de creuser leur trou de mitrailleuse : ils préfèrent s’enfu
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icle sur mes joues glacées et sur mon casque. Les
hommes
me regardent sans bouger, ne rient même pas. J’entends cette phrase g
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it notre vie ? Il faudrait essayer de répondre. L’
homme
n’est pas né pour faire n’importe quoi, sans rien comprendre. À quelq
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ici commencent les tranchées de la guerre, et des
hommes
meurent. Pourquoi cette guerre, pourquoi ces morts ? D’abord, et tech
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compte de vos heures et vous découvrirez que tout
homme
rêve une bonne part de sa vie. Mais il arrive aussi que certains rêve
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risent notre opinion. Début de mars 1940 L’
homme
au poignard enguirlandé. — Découvert un autre antidote : l’exposition
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fièvre et de sa nouvelle aventure. Pourquoi les
hommes
les plus vivants de cette époque où la vie s’exaspère ont-ils fait à
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? Mais non, le romantisme est littéraire, et ces
hommes
ont le regard net, accoutumé à taxer le réel avec une dure exactitude
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orte qui figure à leurs yeux le train normal de l’
homme
. Leur œuvre illustre la vision de l’Ecclésiaste, ce grand maître du v
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riture : un imaginatif, mais sans excitation ; un
homme
qui prend les choses telles qu’elles sont, ni vulgaires ni belles en
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l faut pour faire du grand art, pour composer des
hommes
et des paysages dans une architecture théologique, c’est à peu près c
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et des bateaux, toute une nature à la mesure de l’
homme
, portant les marques de l’usage, et dominée par quelques Alpes qui so
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s d’Alpe. Ce qu’il peint, lui, c’est la terre des
hommes
, vue par les yeux de qui l’habite et l’utilise, et non point des « pa
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romantique » ou « aventurier » ou mieux encore «
homme
de la Renaissance ». Rappelons alors que ce guerrier fut bon époux, e
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isage aigu de malade, peint avec la véracité d’un
homme
qui sait exactement ce que vaut une vie d’homme devant Dieu. 9 mar
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n homme qui sait exactement ce que vaut une vie d’
homme
devant Dieu. 9 mars 1940 Il nous est né hier une fille que nous
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ons ! » murmurait en passant devant le 5e étage l’
homme
qui était tombé du 10e). De nouveau, cette attente épuisante… Je m’am
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vis-à-vis de mon peuple ! Je ne suis qu’un petit
homme
du commun ! si je perds mon prestige, je perds tout ! Vous, monsieur
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près de la frontière Rappelé à la troupe. Les
hommes
gonflés à bloc crient : « À Stuttgart ! » La Hollande écrasée. Je tra
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n conquérant. La confrontation stupéfiante de cet
homme
et de cette ville était peut-être nécessaire pour faire comprendre au
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sais qu’il peut y apparaître dans un instant des
hommes
qui me tireront dessus. Je n’ai même plus mon pistolet, que je déposa
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un spirituel Anglais de mes amis. Pour combien d’
hommes
le billet du Clipper ou d’un petit paquebot américain n’est-il pas le
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eut mourir. J’ai vu la France toute pareille à un
homme
qui vient de tomber sur la tête. Il se relève, se tâte, et ne sait pa
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aradoxe du siècle où tout est fait pour réduire l’
homme
à l’anonyme, pour le priver du sentiment de sa vocation, de sa différ
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omme elles sont belles dans ce pays ! » Quant aux
hommes
, nègres exceptés, je leur trouve des visages plutôt informes, mal fin
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Peu ou point de chemins marqués, nulle trace de l’
homme
dès qu’on s’éloigne des grandes pistes cimentées. On m’avait mis en g
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ble que ce continent, mystérieusement, refuse à l’
homme
son intimité. Rien d’étonnant si l’idéal du paysan américain est de s
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clamée par une milliardaire au dessert : « Si cet
homme
-là (c’est Franklin-D. Roosevelt que les républicains désignent de la
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e les républicains désignent de la sorte), si cet
homme
-là est réélu, je n’ai plus qu’à remplir ma cave de conserves, car je
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un découpage de ciel mat, tout est fait de main d’
homme
sur table rase, imbriqué, condensé, superposé, pour un usage massif,
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à la foule de Times Square. Je n’avais vu tant d’
hommes
ensemble qu’en Allemagne, lors des grands discours du Führer. Nous ét
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nversations des voisins dans un bar, coudoyer des
hommes
déformés ou épais, des femmes malades ou trop vernies, — Times Square
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r la sensation directe du monde tel que le crée l’
homme
privé de l’Esprit, l’une des entrées de la Voie Négative et du Désert
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st retiré. Ce n’étaient pas « les péchés » de ces
hommes
et de ces femmes, ni les miens, dont nul ne peut juger et qui peut-êt
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. Vous dites et il dit ce qu’il y avait à dire. L’
homme
à lunettes est sûr que tout ira bien, votre plan lui paraît « fascina
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acte le plus sérieux du monde, le plus digne de l’
homme
, le plus adulte ! 16 janvier 1941 « Highbrow ». — Les critique
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erez dans la Cinquième Avenue, et vous verrez des
hommes
en bottes. Ce n’est pas le temps de bâtir. C’est le mauvais temps du
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’est toujours par une crise, par une chute, que l’
homme
se voit jeté dans la réalité de l’existence, c’est-à-dire dans le tem
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aura sa revanche, comme la Femme sur le monde des
hommes
. ⁂ Suramérique. — Ce terme pourrait désigner le continent américain
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Unis, la terre soit vierge, et qu’elle impose à l’
homme
tous les vertiges de l’imagination sur table rase. Et le mélange des
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nge, plus jeune et plus ancienne qu’aucune autre.
Homme
infime, ivre d’existence pure et seule, tombé du ciel comme un aéroli
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u ? Tu as compris simplement que l’existence de l’
homme
qui peut se lever, qui peut marcher, est un miracle. Tu te lèves et t
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Si le détail est laid, voyez l’ensemble. Pour un
homme
qui est seul, Manhattan est sublime. Il n’y a qu’à s’oublier dans l’é
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t-on me servir encore ? Au fond de la salle, deux
hommes
et une femme attablés causent et boivent. L’un des hommes m’ayant rem
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t une femme attablés causent et boivent. L’un des
hommes
m’ayant remarqué, je l’entends dire : « Voilà le diable ! » Ils se re
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des hautes études 11. Cela ne fait pas vivre son
homme
plus d’un mois, mais cela fait vivre un peu de culture française.
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surcroît. Où trouver un pays qui ne harcèle pas l’
homme
, et qui lui laisse le loisir d’être humain, au lieu de le forcer sans
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connaît d’autres désastres que ceux qu’organise l’
homme
lui-même : la guerre et la révolution. Seul pays dont tous les manuel
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ture dont ils jouissent est le climat normal de l’
homme
. Ils ont raison, s’ils n’oublient pas toutefois que ce climat « norma
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d’une mission universelle. Pendant des siècles, l’
homme
a pu y consacrer son ingéniosité à faire des arts, des armes et des l
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ensemble du genre humain, des normes idéales de l’
homme
, le luxe même. La France, disposant des énergies que libère une natur
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sant des énergies que libère une nature amie de l’
homme
, se trouve placée par cette nature même au rang de grande puissance d
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vail lui-même est jeu. Tous les prétextes que les
hommes
se donnent pour en sortir, un jour ou l’autre, me paraissent hypocrit
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inges établirent la célébrité, ce qui distingue l’
homme
du singe, ce n’est pas l’intelligence mais la mémoire. Faute de mémoi
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a Fondation Rockefeller : c’est l’un des quelques
hommes
qui savent tout ce qu’on invente et tout ce qu’on est en train de rec
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des chiens aux singes — se rapprochant ainsi de l’
homme
, ce qui n’est pas sans inquiéter, surtout en Russie soviétique. On pr
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mesure et production. — Une armée de 9 millions d’
hommes
a été formée en moins de deux ans. Soixante millions d’hommes et de f
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formée en moins de deux ans. Soixante millions d’
hommes
et de femmes — près de la moitié de la population — participent à l’e
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ion. À partir d’un certain moment, la gloire d’un
homme
confère de l’importance à la moindre opinion qu’il exprime — par posi
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e qu’embrasse mon regard, tout est fait de main d’
homme
sauf les mouettes. Qu’on ne me parle plus des lois économiques et de
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réalités d’un monde tout artificiel que nous, les
hommes
, avons bâti selon nos caprices, nos passions et nos raisons folles. S
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ors. Dans un fumoir, à droite, en contrebas, deux
hommes
en veste de chasse et deux jeunes femmes très blondes boivent des whi
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us sans ralentir. Une femme en jaune, suivie d’un
homme
. Comme ils s’approchent, on voit qu’elle tient la bride d’une main, e
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ssent, remontent… Paraît dans la porte du fond un
homme
en veste de chasse qui tient des verres de whisky à la main. Deux fem
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sseoir un peu à l’écart de notre groupe. Un autre
homme
apporte un plateau. On le renvoie chercher des verres et des bouteill
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nt. Nous aurons peu pensé, pendant la guerre. Les
hommes
politiques de ce temps ne sont pas plus hardis que leurs prédécesseur
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uand elle est au contraire l’état dans lequel les
hommes
éprouvent le plus grand mal à pousser leurs efforts au maximum. La gu
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ange et qui l’intimidait : le regard sérieux de l’
homme
et de la femme du peuple, ce jugement précis et humain, bien plus ins
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n peut bien dire que Ford, par exemple, qui est l’
homme
le plus riche d’Amérique, est loin d’être le plus puissant puisque to
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de. Politicien rusé autant qu’honnête, gros petit
homme
à la face de clown, Fiorello, la Fleurette ou le Chapeau, comme le pe
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es se préparent à parler du message de Noël aux «
hommes
de bonne volonté », répétant sans scrupules avec M. Romains une grave
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sur la terre, bonne volonté (de Dieu) envers les
hommes
». Est-il besoin de la bombe, et des grèves, et de la famine européen
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me de l’Europe, pour que nous comprenions que les
hommes
ont fort peu de bonne volonté ? La plupart sont involontaires. Ils ne
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pidité des transports, par exemple. Combien peu d’
hommes
d’aujourd’hui vivent leur temps et se trouvent pratiquement en mesure
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évrier 1946 Vers le milieu du xxe siècle, les
hommes
firent en sorte de réduire à peu de chose les avantages que la machin
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eux que l’Europe, si j’y reviendrai jamais ! Et l’
homme
est né pour circuler, non pour s’enraciner comme une victime des dieu
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sa pleine mesure, toute la Terre promise à tout l’
homme
! Début d’avril 1946 La Guardia Field dans une matinée bleue, c
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ons aux appareils plus délicats que les sens de l’
homme
. Cette belle crise radio-poétique s’étant heureusement dénouée dans l
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turiers, mais je voudrais pouvoir compter sur des
hommes
prêts à maîtriser l’aventure désormais probable, face à la démesure u
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de lui comme un défi manifestant la vocation de l’
homme
: le fond de la réalité n’est pas l’ordre mais le chaos. Voilà qui ét
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ise les Européens, la police politique traque les
hommes
libres sans que personne ose dire pour quoi ni protester, et ce n’est
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’il y en a, seront maintenues ou reposées par les
hommes
qui auront su, pour leur compte, s’équilibrer dans le chaos, aussi lo