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a surface des choses pour renaître au centre de l’
homme
. Et désormais, de tous les événements qui paraissent autour de nous,
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soit réduite à se faire aimer par son cygne. Quel
homme
voudrait d’une femme pareille ? Un mari. Vous lui avez répondu ?… L
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ister de chaque être, et non sa classification, l’
homme
de chair et non pas son concept. Le peintre. Pardonnez-moi, je ne co
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en dire et se comporte en moraliste, non point en
homme
de sens. Au contraire, celui qui la considère dans son existence prop
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de « mesure réelle » ? Le mari. Il y a ainsi des
hommes
qui croient n’avoir aucune éthique, aucune philosophie, aucune religi
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sujet d’une part et un objet de l’autre, entre un
homme
et une femme, par exemple. Si le sujet n’a dans l’esprit qu’une carte
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eux encore, quelle différence voyez-vous entre un
homme
qui n’a pas de carte postale dans l’esprit, et n’en a jamais eu, et u
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postale dans l’esprit, et n’en a jamais eu, et un
homme
qui n’a plus de carte postale dans l’esprit parce qu’il l’a complètem
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? Le mari. Je vous réponds sans hésiter. Le seul
homme
qui n’a pas une carte postale au fond de sa vision, c’est celui qui,
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qu’ils ne savent pas de quoi vous leur parlez. L’
homme
du bourg est ainsi fait : tout ce qu’il ne comprend pas lui paraît at
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éressant : le vôtre. Le cas peut-être unique de l’
homme
qui soutient vos théories sur la relativité de la beauté physique, et
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absolument d’une autre essence que la beauté de l’
homme
seul et de la femme seule, elle les anéantit et les remplace une fois
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Troisième dialogue sur la carte postale L’
homme
sans ressemblance L’agent publicitaire. Vous connaissez, Monsieur
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nos grands magazines : The Man of Distinction, l’
homme
distingué. Je suis venu solliciter l’honneur de vous photographier po
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ous, je vous prie, et causons. Qu’appelez-vous un
homme
distingué ? L’agent. Voici la liste de ceux qui ont bien voulu poser
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imple. On incite le lecteur à penser : si Mr. X.,
homme
distingué, boit ce whiskey, je deviendrai distingué en le buvant auss
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deviendrai distingué en le buvant aussi. Copiez l’
homme
distingué et vous vous distinguerez… Eh bien, cette petite phrase com
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n faire bénéficier bon gré mal gré. X. Ainsi vos
hommes
de distinction seront devenus des hommes de la vulgarité, des cartes
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insi vos hommes de distinction seront devenus des
hommes
de la vulgarité, des cartes postales en couleurs montrant les modèles
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la ne l’empêchait pas de rester l’empereur, et un
homme
parfaitement distingué. X. On affirme, en effet, qu’il était fort po
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st la seule qualité que je connaisse qui rende un
homme
à la fois distingué et conforme au modèle admis. Encore ne suis-je pa
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but de l’héroïsme… À propos, dans votre galerie d’
hommes
distingués, avez-vous aussi des héros ? L’agent. Nous sommes fiers d
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plutôt vers les sportifs, les stars et les grands
hommes
d’affaires. X. En un mot, ceux qu’on peut imiter. Pendant la guerre,
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tait encore une contradiction. Car le héros est l’
homme
du grand courage, mais le plus grand courage cesse aussitôt de l’être
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puisqu’il se produit justement à l’instant où un
homme
se voit privé de toute assurance exemplaire, jeté dans un destin sans
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l aurait lui-même produite. S’il existe, il est l’
homme
qui ne ressemble à rien, par conséquent l’homme invisible en tant que
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l’homme qui ne ressemble à rien, par conséquent l’
homme
invisible en tant que personne, inaperçu en tant qu’individu, ou peut
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. Attaque trop simple, et je garde le point. Tout
homme
connu vous fera remarquer qu’il se sent méconnu dans son dessein prof
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lui que vous irez voir parce qu’on le proclame un
homme
en vue, et ce héros que personne ne peut voir pour les raisons que je
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aquelle on peut lire ces mots : Le Solitaire. Cet
homme
-là ne croyait pas au bonheur, mais au salut. Il ne croyait pas à la m
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élanger toutes choses impunément. Voyez-vous, cet
homme
Kierkegaard, c’était le type même de l’inadapté, du rebut social, de
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n du droit ne se pose plus. C’est l’attitude de l’
homme
qui a vu quelque chose, ou simplement qui a cru voir, et qui voudrait
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ouver sa vision et la faire pressentir à d’autres
hommes
. Une vision ne se transmet pas, c’est le contraire d’une carte postal
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sous un angle de vision quelconque. Je dis que l’
homme
qui a vu quelque chose doit parler la langue des prophètes et compose
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sser le risque d’être obscur. Passe encore pour l’
homme
de Patmos, qui avait vu la fin de notre Histoire : l’ampleur de sa vi
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vient avec le premier doute… Petites visions des
hommes
de peu de foi, visions de la fin de nos courtes passions : la possess
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vague d’une consolation2 gratuite. Il y a dans l’
homme
moderne un besoin de vérifier qui n’est plus légitime dès l’instant o
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ste une anxiété plus sérieusement troublante. « L’
homme
sans ombre » rôdait depuis longtemps dans les régions obscures de la
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misso, lui, s’en étonnera. Tel est le calcul de l’
homme
sans ombre. Surprendre ce Français, c’est passer au soleil : c’est do
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roduisit dans la conscience moderne le mythe de l’
homme
qui a perdu son ombre, sous les traits pathétiques et naïfs du célèbr
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ortune. Il croit surtout qu’elle seule assure à l’
homme
une dignité. C’est un bourgeois, de la plus dangereuse espèce : le bo
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ence ?) Schlemihl est donc le type classique de l’
homme
qui perd le contact social. L’or même ne suffit pas à rétablir tous l
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s, il n’a pas d’ombre ! » Que reste-t-il à un tel
homme
? Le suicide ? Rien n’est plus loin de sa pensée. Sa vision du monde
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iffèrent-ils essentiellement des états d’âme d’un
homme
sain ? Ne sont-ils pas plutôt de simples fixations d’état qui, normal
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sains après l’amour ? Durant quelques moments, l’
homme
éprouve une sensation de vide, de légèreté et en même temps de lourde
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folie de la persécution.) Il arrive aussi que cet
homme
se sente trop lucide, perçant toutes choses à jour, et lui-même, d’où
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nt : « On ne peut comparer la Liquor Vitae dans l’
homme
à autre chose qu’à une ombre sur la paroi, laquelle (ombre) vient de
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e ombre sur la paroi, laquelle (ombre) vient de l’
homme
et se forme d’après lui : telle est aussi la Liquor, qui est microcos
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de plus noble dans le corps tout entier et dans l’
homme
». Je la rapproche alors de ce Selbst ou Soi-même dont parle Chamisso
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e serait-ce point pour la raison qu’en beaucoup d’
hommes
la créativité paraît avoir son siège dans le seul sexe, que la pudeur
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e là ? Ne serait-ce point pour cette raison que l’
homme
cherche à le dissimuler comme quelque chose de sacré, et que les fds
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vre en marchant vers lui à reculons ? Mais chez l’
homme
qui parvient à la conscience de sa mission spirituelle, le centre de
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ret « sacré » étant le lien de la créativité de l’
homme
, celui qui a perdu son ombre se promène parmi les hommes avec l’angoi
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celui qui a perdu son ombre se promène parmi les
hommes
avec l’angoisse de voir révélée au grand jour non son secret, mais ju
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ement ou de quelque autre sorte, il n’est plus un
homme
créateur. À l’inverse, la chasteté (corporelle et spirituelle) rénove
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chasteté (corporelle et spirituelle) rénove en l’
homme
son élan vers le monde. Elle le porte au-devant de tout, comme un peu
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sa peau » partagent les richesses du désir. Et l’
homme
a retrouvé son ombre. Suite et fin de la fable Peter Schlemihl
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llemand que d’avoir su élever les faiblesses de l’
homme
, et quelques-unes de ses plus folles illusions, à la hauteur du mythe
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s l’ombre de Chamisso ? Une ombre qui a perdu son
homme
, cette fois, mais non pas ses charmes profonds. C’est le siècle prése
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Chamisso « laisse deviner sa destinée tragique d’
homme
incomplet et sans patrie ». Voici quelques souvenirs curieux sur le g
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me, dirions-nous aujourd’hui. Le qualificatif « d’
homme
ayant perdu son ombre » fut trouvé par M. de Rubulles qui, le voyant
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proche de son terme. Quand le désir s’empare d’un
homme
, il arrive qu’il le rende muet. Il arrive même que le désir se manife
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te tout d’abord par ce mutisme. À tel point que l’
homme
ne retrouvera l’usage de la parole qu’avec le « terme » où l’esprit s
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bauché vulgaire gémit d’avoir perdu la volupté. L’
homme
du désir : il ne peut aimer qu’indéfiniment. Il n’aime que cela : reg
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cte de Mozart. Non, ce n’est pas l’animal, mais l’
homme
, et non d’avant, mais d’après la morale. Point de Don Juan ni chez le
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te inconstance forcenée ? Alors Don Juan serait l’
homme
de la première rencontre, de la plus excitante victoire ? « La nouvea
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crit le vieux Casanova. Mais déjà ce n’est plus l’
homme
du plaisir qui parle ainsi. La volupté du vrai sensuel commence au-de
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olies femmes peuvent exercer sur presque tous les
hommes
, n’évoque pas une idée de santé. Mais dans cette furie insolente, dan
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ituels ? Don Juan serait par exemple le type de l’
homme
qui n’atteint pas au plan de la personne où pourrait se manifester ce
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tendez : s’il possède vraiment. Don Juan serait l’
homme
qui ne peut pas aimer, parce qu’aimer c’est d’abord choisir, et pour
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’esprit : il n’y a plus de vérité qui tienne. Les
hommes
se rendent ou tombent dans le doute à la première séduction d’une hyp
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choses à une amie : « J’ai connu, me dit-elle, un
homme
marié avec lequel ayant été coquette en vain, il me dit en me quittan
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éprouve alors le besoin de se faire confirmer. Un
homme
en communion active avec les hommes qui l’entourent ne songerait pas
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confirmer. Un homme en communion active avec les
hommes
qui l’entourent ne songerait pas à rechercher la gloire. Car la gloir
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est ce que donne la foule qui fait la gloire d’un
homme
.) La gloire antique était virile, comme le don. Alexandre exemplaire,
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reste sous l’empire de la comparaison. Beaucoup d’
hommes
n’imaginent pas qu’on puisse avouer sa vanité, ou bien ils croient qu
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rgueil, ils croient que c’est par vanité… Je suis
homme
: donc vaniteux, naïf, retors, orgueilleux, etc. Quel avantage à fein
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ent. — Un faible enfant pourrait le dénouer ! — L’
homme
le plus fort ne pourrait pas le dénouer, et il faudrait alors l’épée
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e logique de la matière est abolie pour peu que l’
homme
se manifeste. Serait-ce un pur lieu de l’esprit ? Oui, car à l’instan
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elles de l’esprit ; et des dieux irrités contre l’
homme
, c’est-à-dire d’un esprit coupable. Regardons bien ce paysage imagina
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corps, une eau, une branche et un rocher. C’est l’
homme
coupable, environné des emblèmes de sa peur et de sa convoitise, embl
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t ici à des événements intérieurs. Tout tient à l’
homme
et tout illustre une des structures fondamentales de son être. Tantal
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té sont ici comme des signes de la Grâce, dont un
homme
chercherait à s’emparer par subterfuge, afin de s’assurer un empire t
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ils de Dieu. Au lieu du Père livrant son Fils aux
hommes
pour qu’ils le tuent, mais aussi pour qu’ensuite ils revivent par la
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nt par la consommation de son corps spirituel, un
homme
tue lui-même son fils, et donne sa chair aux dieux pour qu’ils en meu
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ieux, Tantale se voit refuser celle du commun des
hommes
. Sa jalousie se réfléchit dans la frustration du désir. Et son défi a
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que. C’est autant dire que dans le monde païen, l’
homme
reste seul avec lui-même et se ferme aux interventions d’une transcen
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ice de Tantale. C’est son orgueil et sa dignité d’
homme
: il se révolte contre tout, sauf soi. C’est pourquoi rien ne change
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i rien ne change autour de lui. Considérons ici l’
Homme
du Désir, Tantale symboliquement réduit, dans la légende, à sa faim,
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de, à sa faim, à sa soif et à sa peur. Il est cet
homme
qui, dans chacun de nous, préfère le désir même douloureux, d’avoir é
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. À la limite, et dans la logique d’un mythe où l’
homme
s’identifie à l’une de ses tendances, celui qui gagne est donc toujou
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ne s’agit que d’une mauvaise farce, indigne d’un
homme
de sens. Le fiscal Knol se sent prêt à pleurer de colère. Pasvogel, l
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nouveau Testament n’en demande pas davantage à l’
homme
pour le faire hériter de son royaume : il demande un instant de foi.
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c’est-à-dire qu’elle s’annule de soi-même. Si un
homme
croit pouvoir s’autoriser du mérite de ses œuvres, il ne pleurera pas
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ssitôt, comme la branche chargée de fruits. Si un
homme
veut la Vie éternelle par seule crainte de mourir à cette vie tempore
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ondition, elle imagine des idées qui détruisent l’
homme
, l’on rencontre sans trop d’effroi l’idée de l’homme détruit ; l’idée
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me, l’on rencontre sans trop d’effroi l’idée de l’
homme
détruit ; l’idée de l’homme qui pense cette idée, détruit ; l’idée qu
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d’effroi l’idée de l’homme détruit ; l’idée de l’
homme
qui pense cette idée, détruit ; l’idée que vous, et qui pensez, un jo
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à tout jamais dans un futur indéfini. Ainsi de l’
homme
, ainsi de l’humanité. Pourtant un jour, tel jour ordinaire, l’homme m
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humanité. Pourtant un jour, tel jour ordinaire, l’
homme
meurt. Pourquoi suis-je donc ici à remuer ces choses ? Il est vrai qu
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ien plutôt qu’il ne nous avertit de son but. Si l’
homme
savait un jour ce qu’il en est de son destin et de sa liberté, s’il v
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’empire de ce monde ? À l’Ecclésiaste ou au Jeune
Homme
? Le sage ne rallierait pas avec moins d’envie le débauché, dont il f
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menace, mais aussi de l’incapacité où se trouve l’
homme
à penser concrètement sa fin ? D’où vient qu’imperceptible encore au
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n, ni rien. Elle ne peut être en soi pensée, et l’
homme
en elle reste à peu près dénué de réalité, jusqu’au jour où la Fin le
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st pas le jouet du vertige. Le temps vient où les
hommes
n’auront plus à se défendre, mais seulement à se révéler tels qu’ils
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où qu’ils soient. Plus d’évasions spirituelles. L’
homme
fuyant la Terre où le diable sévit, se réfugie sur les hauteurs et dé
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acilement glisser, tout se trouver changé, et les
hommes
poursuivre leur discours, pénétrant dans l’horreur sans mémoire ? Il
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et mieux. Il entendait par « chair » le tout de l’
homme
, intelligence et belle âme comprises. Et ce n’est point que nous aimi
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justification, leur être. Voici l’instant où les
hommes
s’aperçoivent que leurs efforts et leurs soucis se tournaient vers ce
110
n Voici le principe du second jugement. Chaque
homme
poussé à la limite de son expression, et chaque homme forcé à l’extré
111
e poussé à la limite de son expression, et chaque
homme
forcé à l’extrémité de son choix, cria le « terme » de sa vie, la pro
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antes heureuses, par l’effet de quelque pitié. Un
homme
vint, comme viennent les somnambules, le corps en paix, mais le visag
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l d’une angélique hilarité. Et nous sûmes que cet
homme
était très grand.) Troisième jugement ou le pardon Toute chose
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ortaient à leur surface l’Arche de Paix, mais les
hommes
qui voulaient encore la danse pour danser furent noyés : ils allèrent
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l’Esprit dans l’âme des enfants, l’eau-mère. Et l’
homme
s’y noie et y meurt de douleur, il est noyé par l’amertume non par l’
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le prix du Royaume, un don pur. 9. — Ainsi pour l’
homme
deux fois né, mort par l’eau et le sel dans la danse, mais ressuscité