1 1948, Suite neuchâteloise. I
1 l’étranger. Non qu’il y pense toujours, mais les hommes qu’il fréquente la voient en lui d’abord, l’en tiennent pour responsa
2 1948, Suite neuchâteloise. II
2 nant, se passe, lié à toute l’histoire des autres hommes  ; et sans lequel il n’y aurait jamais de plénitude du présent. Dans l
3 1948, Suite neuchâteloise. IV
3 appeler par Newton « le plus chrétien de tous les hommes  », vir omnium christianissimus. Mon trisaïeul, le Procureur général,
4 t conduit, en d’autres temps, vers une carrière d’ homme politique ou d’homme de loi, dans un style dignified à l’anglaise. Le
5 s temps, vers une carrière d’homme politique ou d’ homme de loi, dans un style dignified à l’anglaise. Le ministère pastoral l
6 nneur protestant, il était au plein sens du mot l’ homme engagé, celui qui ne revendique rien pour soi, tout pour « la Cause »
7 ce n’est de sa vie — l’une des très rares vies d’ homme que j’ai connues de près, qui commandât mon absolu respect.   Au-delà
4 1948, Suite neuchâteloise. V
8 cessera de me plaire : sur ces lieux où jadis des hommes dont je descends exercèrent leurs droits de seigneurs, je garde encor
5 1948, Suite neuchâteloise. VI
9 pas des vivants ; et je ne cite que ceux dont un homme cultivé, dans toute l’Europe, connaît au moins le nom. Nous n’avons r
6 1948, Suite neuchâteloise. VIII
10 ression. Le vers fameux de Valéry : « Honneur des Hommes , Saint Langage ! » serait la devise de cette croisade, dont le succès