1 1950, Lettres aux députés européens. Troisième lettre
1 ui les peuple aujourd’hui, plus de 200 millions d’ hommes et de femmes, mais par-delà tous les accents locaux, les intérêts et
2 s députés de la conscience la plus inquiète que l’ homme ait jamais prise de son destin et des chances de le surmonter. Les dé
3 rnier recours, soulevé par la passion de tous les hommes , et pas seulement ceux de notre continent, pour qui le nom d’Europe a
4 ujourd’hui, sont confondues avec les chances de l’ homme . Personne n’est assez grand pour répondre au défi d’un tel destin. Gr
2 1950, Lettres aux députés européens. Cinquième lettre
5 e et l’indifférence ; et devant vous, le rire des hommes d’acier. Si vous me dites que c’est prématuré, je vous supplierai de