1
s la définissent ou la nient. Car toute idée de l’
homme
est une idée de l’amour. Cette succession pourra surprendre. Des tran
2
temps) n’enferment pas toute la réalité, ni de l’
homme
occidental, ni de l’homme en général. Marx et Freud partageaient malg
3
ute la réalité, ni de l’homme occidental, ni de l’
homme
en général. Marx et Freud partageaient malgré tout avec la société qu
4
rsonne, qui sont les deux réalités que ces grands
hommes
avaient été contraints par leur système, à la fois efficace et fermé,
5
e le Nouveau Testament révèle au cœur de tous les
hommes
, et d’une manière radicalement nouvelle : « Dieu est Amour », répète
6
a personne. — Les relations qu’il définit entre l’
homme
et « son » Dieu sont personnelles. Dieu est personnel. La Trinité est
7
Jésus-Christ étant à la fois « vrai Dieu et vrai
homme
» selon le Credo. D’où suit immédiatement que tout homme converti, re
8
selon le Credo. D’où suit immédiatement que tout
homme
converti, recréé par l’Amour divin, va devenir, dans l’imitation de J
9
amour, auquel on voudrait être uni. Et pour que l’
homme
puisse aimer Dieu et tout d’abord en être aimé, il faut que Dieu soit
10
soit personnel et qu’il soit « tout autre » que l’
homme
. Et enfin pour que l’homme puisse s’aimer lui-même, il faut qu’il y a
11
t « tout autre » que l’homme. Et enfin pour que l’
homme
puisse s’aimer lui-même, il faut qu’il y ait en lui dualité entre l’h
12
-même, il faut qu’il y ait en lui dualité entre l’
homme
naturel et l’homme nouveau, recréé par l’appel qu’il reçoit de l’Amou
13
l y ait en lui dualité entre l’homme naturel et l’
homme
nouveau, recréé par l’appel qu’il reçoit de l’Amour. Cet appel est sa
14
hair » qui, pour l’Apôtre, désignait le tout de l’
homme
(corps, âme, intellect) dans sa réalité, naturelle et déchue. Dans la
15
l’incontinence : « Je pense qu’il est bon pour l’
homme
de ne point toucher de femme. Toutefois, pour éviter l’impudicité, qu
16
el, libertin ou matrimonial), toute attitude de l’
homme
devant l’amour, correspond, qu’on le sache ou non, à une attitude spi
17
es platoniciennes éternellement préexistantes à l’
homme
, des lois cosmiques, ni des catégories de l’Esprit ; mais sont-ils au
18
ies de l’Esprit ; mais sont-ils aussi vieux que l’
homme
et que les circuits de son cerveau, ou bien sont-ils seulement des pr
19
mmoralité ; enfin, ce sont certaines notions de l’
homme
, qu’une élite inconnue de la foule élabore à l’abri de toute sanction
20
et du style qui les définit ; sur la notion de l’
homme
qu’elles impliquent et supposent, nolens volens. Prendre conscience d
21
signe. Je n’ignore pas le fait démographique, un
homme
au mètre carré d’ici quatre-cents ans, si toute l’humanité continue d
22
et peut-être agit-elle déjà sur l’inconscient des
hommes
et des femmes d’aujourd’hui ; mais le phénomène qui nous occupe est a
23
i aurait sa vie à elle, et qui exercerait sur les
hommes
un pouvoir comparable à l’action de la Lune sur l’océan et dans le co
24
ubissent les effets. Prenez un Européen cultivé —
homme
ou femme — formé par la morale bourgeoise, d’ailleurs croyant ou non,
25
seulement étudiée, mais justifiée ! Comment notre
homme
distinguerait-il, dans tout cela, autre chose qu’une immense dépravat
26
ou non à certaines conceptions fondamentales de l’
homme
définies par les grandes religions, par leurs métaphysiques, et par l
27
de les traiter de la manière dont il convient à l’
homme
de traiter la Nature : on ne saurait lui commander qu’en obéissant d’
28
’intitule « Le dernier amant ». Et l’héroïne de L’
Homme
sans qualités de Robert Musil, dit à plusieurs reprises d’elle-même e
29
au jour où Lolita s’échappe, séduite par un autre
homme
d’âge mûr qu’Humbert tuera. À 17 ans, mariée depuis peu avec un jeune
30
de grandir dans une civilisation qui autorise un
homme
de 25 ans à courtiser une fille de 16 ans, mais non pas une fille de
31
directe serait contre nature, répondit Ulrich. L’
homme
qui en serait capable engagerait la créature, désarmée et inachevée e
32
ros et d’Agapè, la lutte entre l’élan qui porte l’
homme
vers l’ange, et le devoir d’aimer les autres, fondement de toute soci
33
pour l’un des chapitres non terminés, ajoute : L’
homme
qui tend à Dieu, selon Adler, est celui qui est privé de sens communa
34
utions de la vie sexuelle », et veulent aider les
hommes
à être mariés, et néanmoins contents. L’homme et la femme n’y sont pl
35
es hommes à être mariés, et néanmoins contents. L’
homme
et la femme n’y sont plus que « porteurs de germe mâle ou femelle » o
36
l’incomparable naissance de l’esprit, celle que l’
homme
connaît dans l’invention d’une pensée… Dans ces nuits-là, le Moi ne r
37
e monde est fugace, fluide : fais ce que veux… Un
homme
ne va jamais si loin que lorsqu’il ne sait pas où il va… Ils étaient
38
autre des sentiments et obsessions que bien peu d’
hommes
et moins encore de femmes ont pu vivre aux États-Unis ; l’un raillant
39
ion demeure mal vu, mais n’en fascine que mieux l’
homme
et la femme du xxe siècle américain, nonobstant les progrès de l’édu
40
n beau livre et parce que son auteur est resté un
homme
libre. Il est normal que l’URSS, au lieu de l’interpréter comme un ho
41
e. Comment comprendre cette démarche, venant d’un
homme
qu’on ne peut soupçonner de lâcheté ? Le peuple russe condamne Paster
42
oman, je me disais : — Tout se passe comme si cet
homme
était retenu dans son pays par une passion secrète et sans doute inte
43
e clandestine, interdite, enlevée à Tristan par l’
homme
qui symbolise le Pouvoir régnant, — la fuite dans la forêt, le second
44
deux avaient la même aversion pour tout ce que l’
homme
contemporain a de fatalement typique, pour son enthousiasme de comman
45
res interdits vraiment redoutables, aux yeux de l’
homme
du xxe siècle, que ceux que la Science et l’Hygiène pourraient faire
46
20. Der Mann ohne Eigenschaften, c’est-à-dire l’
Homme
sans caractères propres, ou mieux, sans particularités : c’est à peu
47
on française de Philippe Jaccottet s’intitule : L’
Homme
sans qualités. 21. Ailleurs, Musil revient sur ce thème : « Un parte
48
es et d’honneurs, un fin lettré, un humaniste, un
homme
comblé des biens de ce monde. L’appeler témoin de la vérité, c’était
49
e cet article : Un témoin de la vérité, c’est un
homme
dont la vie est, du commencement à la fin, familière avec toute espèc
50
t dans le monde. Un témoin de la vérité, c’est un
homme
qui témoigne dans le dénuement, dans la misère, dans l’abaissement et
51
s la misère, dans l’abaissement et l’humiliation,
homme
méconnu, haï, détesté, insulté, outragé, bafoué ; c’est un homme qui
52
haï, détesté, insulté, outragé, bafoué ; c’est un
homme
qui est flagellé, torturé, traîné de prison en prison, et puis enfin
53
, mais à l’existence même d’une vocation reçue. L’
homme
, en effet, qui reçoit vocation, se trouve jeté dans une incertitude i
54
re secrète ou l’esprit qui a parlé ? » En fait, l’
homme
de la vocation se trouve plongé dans une double incertitude et dans u
55
éprouvée ni de raisonnement qui puisse l’aider. L’
homme
engage son action et parie tout sur quelque chose qui lui demeure mys
56
cte de Mozart. Non, ce n’est pas l’animal, mais l’
homme
, et non d’avant, mais d’après la morale. Point de Don Juan ni chez le
57
te inconstance forcenée ? Alors Don Juan serait l’
homme
de la première rencontre, de la plus excitante victoire ? « La nouvea
58
crit le vieux Casanova. Mais déjà ce n’est plus l’
homme
de plaisir qui parle ainsi. La volupté du vrai sensuel commence au-de
59
olies femmes peuvent exercer sur presque tous les
hommes
, n’évoque pas une idée de santé. Mais dans cette furie insolente, dan
60
ituels ? Don Juan serait par exemple le type de l’
homme
qui n’atteint pas au plan de la personne où pourrait se manifester ce
61
tendez : s’il possède vraiment. Don Juan serait l’
homme
qui ne peut pas aimer, parce qu’aimer c’est d’abord choisir, et pour
62
’esprit : il n’y a plus de vérité qui tienne. Les
hommes
se rendent ou tombent dans le doute à la première séduction d’une hyp
63
choses à une amie : « J’ai connu, me dit-elle, un
homme
marié avec lequel ayant été coquette en vain, il me dit en me quittan
64
is la ruine absolue de tout.30 Certes, le Jeune
Homme
d’In Vino Veritas, qui n’a jamais encore aimé, a beau jeu de faire éc
65
la différence qualitative infinie entre Dieu et l’
homme
», qui fait des relations entre l’homme et Dieu un amour essentiellem
66
Dieu et l’homme », qui fait des relations entre l’
homme
et Dieu un amour essentiellement malheureux. Cet amour serait même im
67
un saut. Toute communication directe de Dieu à l’
homme
tuerait l’homme, c’est-à-dire tuerait en lui son pouvoir d’appropriat
68
communication directe de Dieu à l’homme tuerait l’
homme
, c’est-à-dire tuerait en lui son pouvoir d’appropriation subjective e
69
la communication indirecte, voilée, rejoignant l’
homme
là où il existe, dans sa finitude, et lui parlant la langue qu’il ent
70
t à déceler aucun sens vérifiable. En effet, tout
homme
pensant dispose d’un système, plus ou moins « original » mais toujour
71
tielle. Mais voici que cette décision échappe à l’
homme
, donc à l’éthique temporelle et autonome : La décision n’est pas pou
72
et autonome : La décision n’est pas pouvoir de l’
homme
, de son courage, ni de son habileté… mais elle est un point de départ
73
ns l’agent privilégié du progrès spirituel de « l’
homme
supérieur » — toutefois à condition de n’être pas « heureux » : Grâc
74
« heureux » : Grâce à une jeune fille, bien des
hommes
sont devenus des génies, beaucoup des héros, beaucoup des poètes, bea
75
mme porte en elle a éveillé l’enthousiasme chez l’
homme
, à cette femme qui l’a ainsi enthousiasmé, il aurait dû pourtant s’un
76
c’est dans un rapport négatif que la femme rend l’
homme
productif dans l’idéalité. Ainsi comprise, la femme entraîne vers la
77
étien), dont le commandement est d’aimer tous les
hommes
, sans distinction, non par sympathie élective toujours égoïste et « c
78
tégorie kierkegaardienne par excellence désigne l’
homme
isolé par l’esprit, — isolé de la foule, « qui est mensonge ». Et l’o
79
e à son tour que l’expression de l’esprit en tout
homme
. Seul donc celui qui s’est connu et accepté en tant qu’esprit, celui
80
ent !) et s’approfondit. Il est la signature de l’
homme
spirituel, distingué dans la foule anonyme, séquestré par sa vocation
81
Nietzsche « une conception surhumaine qui élève l’
homme
. » Mais combien plus précisément kierkegaardienne tant par l’esprit q
82
umanité antique tiraient leur force du fait que l’
homme
se trouvait à côté de l’homme et qu’aucune femme ne pouvait élever la
83
force du fait que l’homme se trouvait à côté de l’
homme
et qu’aucune femme ne pouvait élever la prétention d’être pour l’homm
84
mme ne pouvait élever la prétention d’être pour l’
homme
l’objet de l’amour le plus proche et le plus haut, ou même l’objet un
85
nse que c’est par la femme aimée de passion que l’
homme
s’élève, à condition cependant qu’il ne l’épouse pas. Dans ses moment
86
e attribuée aux chevaliers-poètes provençaux, ces
hommes
magnifiques et ingénieux du gai saber à qui l’Europe est redevable de
87
it à deux possibilités ou puissances rivales en l’
homme
: l’érotisme sexuel et l’amour. Or, ni la passion érotique d’un Byron
88
e, et dont les signes annoncent et expliquent à l’
homme
fait sa vie et ses combats.41 » Et voici les relations entre le myth
89
t-ce peut-être parce que la barbarie rendrait les
hommes
plus malheureux qu’ils ne le sont ? Hélas, non ! Les barbares de tous
90
tion d’une femme qu’il veut séduire : « Ah ciel !
Homme
, qui es-tu ? » le Don Juan de Tirso de Molina répond : « Qui je suis
91
an de Tirso de Molina répond : « Qui je suis ? Un
homme
sans nom. » Cet homme sans nom, sans passé ni lendemain, c’est l’un d
92
répond : « Qui je suis ? Un homme sans nom. » Cet
homme
sans nom, sans passé ni lendemain, c’est l’un de ces cavaliers sortis
93
a nuit, sous le masque, hors la loi ou sacré, « l’
homme
sans nom » vient d’ailleurs comme un ange, passe, étreint, dit le mot
94
e bonheur, la liberté, l’amour. La durée. — Tout
homme
qui obtient ce qu’il désire, ou qui va l’obtenir, veut la durée : rie
95
sont guère que revendications déterminées dans l’
homme
par son « emploi » social ou son éthique utilitaire. N’y a-t-il donc
96
s le défi du Libertin à tout ce que le commun des
hommes
tient pour vrai, nécessaire et sacré ? Lorsque les croisés se heurtè
97
mpie, n’est pas démon, ne provoque ni Dieu ni les
hommes
. Il n’est pas révolutionnaire, et n’est pas non plus grand seigneur.
98
’Occident . 50. L’Amour et l’Occident 51. L’
homme
politique opportuniste et joueur relève du type donjuanesque. À l’aut
99
na Anna ait cédé à Don Juan, prenant (ou non) « l’
homme
inconnu » pour son fiancé, à la faveur de l’obscurité. Mais c’est Don
100
c’est leur manière « de s’offusquer du désir de l’
homme
. » Plusieurs, mariées, lui ont confié « qu’elles tenaient la libido d
101
-rimés. « Car j’y excelle ! » annonça-t-il. Peu d’
hommes
m’ont donné l’impression que le problème religieux existait dans leur
102
et son mystère. Peu d’instinct religieux chez cet
homme
, alors que le christianisme, l’Église et l’Évangile furent ses consta
103
u, sans mystique ni mystère ? Ne serait-il pas un
homme
tout à fait plat, réduit à quelques partis pris éthiques ? Ce débat n
104
utait de l’existence de Dieu. Mais il croyait à l’
homme
individuel, et cette croyance est née de la synthèse du christianisme
105
rouve ces discussions sur la croyance ou non d’un
homme
célèbre, multipliées et prolongées après sa mort dans notre siècle. E
106
ire : « Je ne crois pas ! » quand l’État contre l’
homme
invoquera les nécessités de l’Histoire ? Il n’est pas de vraie foi sa
107
uite perpétuelle de Don Juan ! Ici l’artiste et l’
homme
se confondent, dans la même impatience des « redites », car c’est ain
108
— quand un seul suffit bien au malheur d’un seul
homme
ou à la passion d’un personnage romanesque. Dans quelle mesure peut-o
109
la même tradition : mais quand son père mourut —
homme
libéral et bon, et par bien des traits de caractère moins « viril »,
110
tionnelle des gnostiques et même de saint Paul, l’
homme
consiste en un corps physique, un corps psychique, un corps mental ou
111
notre xviie siècle se devait de ne pas poser). L’
homme
antique peut atteindre la grandeur parce qu’il possède la mesure au s
112
élémentaire, définie par la loi, par son astre. L’
homme
chrétien au contraire, l’homme qui doit être surpassé, vit dans la dé
113
, par son astre. L’homme chrétien au contraire, l’
homme
qui doit être surpassé, vit dans la démesure, et lorsqu’il « veut pre
114
res et incohérence. Que l’on considère en effet l’
homme
moderne, l’homme sans mesure naturelle : s’il ne retrouve pas de loi
115
e. Que l’on considère en effet l’homme moderne, l’
homme
sans mesure naturelle : s’il ne retrouve pas de loi interne et de ten
116
nous stimuler, mais ne nous détermine jamais… Cet
homme
indiscret est distrait, et sa distraction vient de l’intérieur… Il ne
117
d’illustrer. Ainsi, selon Kierkegaard, le premier
homme
qui s’avisa de défendre la religion mériterait-il d’être appelé Judas
118
je crois bien que Kassner est à peu près le seul
homme
que j’aie connu dont je ne puisse imaginer qu’il ait dit ou écrit une
119
llent son ton de voix), tout en lui, l’œuvre et l’
homme
, évoquait la présence d’une maîtrise achevée, comme infaillible. D’où
120
on zen, la question dernière, peut-être, pour les
hommes
auxquels la Langue a été donnée. C’est cette question que le 23e des
121
est le But à l’infini. Le but, la flèche et l’
homme
Kassner avait sans doute pris connaissance du zen par le fameux pe
122
dra le sens. Mais la flèche, dans ce cas, c’est l’
homme
.91 Relisons maintenant Herrigel, ce philosophe allemand qui est al
123
ndividu et le sens final92. J’en reviens donc à l’
homme
que j’essaie de décrire par le biais d’une vision particulière que j’
124
vraie force créatrice, de l’acte même qui relie l’
homme
à sa vision, à l’infini ; donc du « pouvoir de transformer » par exce
125
es sur les mots Alleinheit (état d’isolement de l’
homme
spirituel, de l’Individu kierkegaardien) et All-Einheit (unité tout-e
126
évitable, pour mal engagé qu’il soit, porte sur l’
homme
et sa définition. S’il est vrai que l’Orient nie le moi, qui est une
127
gie et de la philosophie, et toujours opposée à l’
homme
naturel, animal plus ou moins raisonnable et simple exemplaire de l’e
128
e de l’espèce. Pour saint Paul, le vrai moi est l’
homme
nouveau, « appelé » par un Dieu personnel, donc créé par une vocation
129
et il ne tombe pas sous le sens comme le « vieil
homme
», puisque sa vie « nouvelle » est à la fois dans le monde et hors du
130
rinitaire : il s’appliquera de mieux en mieux à l’
homme
nouveau, à l’ens sibi suscité par l’esprit dans l’individu naturel. P
131
objectives » l’opposition paulinienne des « deux
hommes
en moi » : le naturel tyrannisant (et tyrannisé par la loi) et le spi
132
e et qui lui dit : — Je suis toi-même ! Mais si l’
homme
sur la Terre a maltraité son moi, au lieu de la Fravarti, c’est une a
133
sme véritable, ne demande pas d’abord ce qu’est l’
homme
, mais qui es-tu ? Toute réalité dernière est personnelle. Le vrai moi
134
ntre le moi « phénoménal », c’est-à-dire contre l’
homme
naturel, exemplaire animal transitoire et « aveugle », enveloppe obsc
135
même pour le bouddhisme originel. Qu’est-ce que l’
homme
? Un ensemble transitoire d’agrégats matériels et de formations menta
136
l’amour est le premier moteur non seulement de l’
homme
mais du monde, c’est son action qui configure l’idée du moi que nous
137
de l’énergie. « C’est l’amour dominant qui fait l’
homme
… L’homme est absolument tel qu’est l’amour dominant de sa vie : selon
138
gie. « C’est l’amour dominant qui fait l’homme… L’
homme
est absolument tel qu’est l’amour dominant de sa vie : selon (cet amo
139
a forme de son amour.107 » Les trois notions de l’
homme
que l’on vient d’évoquer nous apparaissent alors comme autant de modè
140
es trois partent d’une dualité sans laquelle ni l’
homme
ni l’amour ne seraient même concevables. Il ne s’agit ici ni du duali
141
rincipes préexistants ; ni tout à fait des « deux
hommes
en moi » dont la lutte fait gémir saint Paul ; mais, préalablement à
142
’école chrétienne Dans une vue chrétienne de l’
homme
, l’amour de soi est le rapport positif entre l’individu et le vrai mo
143
t pas son plein sens. Dans l’amour de soi-même, l’
homme
naturel s’ouvre à l’action du vrai moi spirituel et se laisse transfo
144
s sa tri-unité, que l’amour spirituel crée dans l’
homme
la personne. Si la plus haute valeur de l’Occident chrétien n’est pas
145
une fuite hors du moi naturel. Désormais le vieil
homme
est jugé : n’ayant pu l’entraîner avec elle vers son bien et l’animer
146
déisme et les soufis ont proposé des notions de l’
homme
et de l’amour homologues aux notions chrétiennes, mais comme transpos
147
france du désir est pour un instant apaisée… et l’
homme
perçoit dans le plaisir sa propre nature essentielle, qui est la joie
148
… Ce n’est pas le plaisir mais le désir qui lie l’
homme
et qui est un obstacle à son progrès spirituel.120 » Et encore : « Ce
149
car en accomplissant l’action sans attachement, l’
homme
obtient le but suprême. (III, 19.) Notre propre devoir, si humble qu’
150
xpansion, de l’atome élusif, des corps vivants, l’
homme
d’Occident ne cherche pas seulement à dévoiler ses lois secrètes, mai
151
que fidèle, c’est son corps même, et l’enfer de l’
homme
sans foi ni connaissance c’est également son corps même. » (Cit. par
152
) Le moi posé, quelle est la voie de l’amour en l’
homme
? L’expérience méditée — et que j’espère banale (au sens propre), dan
153
apparition. Ils se mêleront et combineront dans l’
homme
achevé. 1. La vision intuitive. — Cette forme de l’amour est l’acte
154
part des adultes ont cessé de le sentir ; mais un
homme
qui se connaît bien et les femmes surtout savent cela : une certaine
155
ignifier l’amour, c’est parce qu’elle est, chez l’
homme
, autre chose que l’instinct. Dans la mesure où, sans perdre l’instinc
156
élève l’érotique au niveau de signification où l’
homme
spirituel doit atteindre avec l’ensemble de ses facultés.) La sexuali
157
s quatre fonctions coexistent dans la vie de tout
homme
normal, mais l’une, en général, est dominante, plus fortement actuali
158
é, ce vertige accompagne en silence la pensée des
hommes
d’aujourd’hui et leur action. Le miracle est qu’il y ait des formes !
159
, et dirent, pour l’éprouver : Est-il permis à un
homme
de répudier sa femme pour un motif quelconque ? Il répondit : N’avez-
160
us pas lu que le Créateur, au commencement, fit l’
homme
et la femme et qu’il dit : C’est pourquoi l’homme quittera son père e
161
homme et la femme et qu’il dit : C’est pourquoi l’
homme
quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme, et les deux
162
t plus deux, mais ils sont une seule chair. Que l’
homme
donc ne sépare pas ce que Dieu a joint (Matt., XIX, 3-6). Vous avez a
163
iples lui dirent : Si telle est la condition de l’
homme
à l’égard de la femme (interdiction de divorcer, sauf pour cause d’in
164
leur mère ; il y en a qui le sont devenus par les
hommes
; et il y en a qui se sont rendus tels eux-mêmes, à cause du royaume
165
parfum. Le pharisien se dit en lui-même : Si cet
homme
était un prophète, il connaîtrait de quelle espèce est la femme qui l
166
nt de fréquenter de préférence ; or ce sont les «
hommes
de mœurs impures » que saint Paul ordonne à ses disciples non seuleme
167
fonder une Église, pour imposer une doctrine de l’
homme
, et pour épurer sans relâche ses petits groupes de militants locaux,
168
u judaïque, et tentés par la gnose naissante. Les
hommes
étant ce qu’ils sont, lâches et vulgaires, facilement entraînés « à t
169
te ou sinon, « c’est comme si elle était rasée… L’
homme
ne doit pas se couvrir la tête, puisqu’il est l’image de la gloire de
170
e de Dieu, tandis que la femme est la gloire de l’
homme
. En effet, l’homme n’a pas été tiré de la femme, mais la femme de l’h
171
ue la femme est la gloire de l’homme. En effet, l’
homme
n’a pas été tiré de la femme, mais la femme de l’homme… C’est pourquo
172
n’a pas été tiré de la femme, mais la femme de l’
homme
… C’est pourquoi la femme, à cause des anges, doit avoir sur la tête u
173
torité dont elle dépend ». C’est une honte pour l’
homme
de porter de longs cheveux, mais une gloire pour la femme, « parce qu
174
e de grandeur, comparative. Près de 3 milliards d’
hommes
vivent aujourd’hui. Ils seront 6 milliards en l’an 2000. S’ils devaie
175
nt de 7 milliards d’hectares, il y aurait donc un
homme
tous les dix mètres vers l’an 2260. Puis un homme par mètre carré ver
176
homme tous les dix mètres vers l’an 2260. Puis un
homme
par mètre carré vers 2400. Moins de cent ans plus tard, ils se touche
177
elles le mariage a été institué : … pour amener l’
homme
à se contenter d’une seule femme, et pour nous donner des enfants : m
178
s yogis professent que le spasme sexuel, pour les
hommes
, en raison de la perte de liqueur séminale, est un des principaux fac