1 olution de toute l’histoire : la découverte par l’ homme occidental qu’il atteignait un seuil réellement décisif et qu’il touc

2 inge ou depuis le jardin mythique des origines, l’ homme n’avait fait que répondre tant bien que mal aux durs défis de la Natu

3 ithique, c’est-à-dire le premier dialogue entre l’ homme et la Terre interrogée — labourée, fécondée, cultivée —, l’initiative

4 . Vingt millénaires d’un effort sans relâche de l’ homme contre le destin que la Nature lui imposait ont finalement permis che

5 la finitude de l’espace et des ressources dont l’ homme dispose sur la Terre. 135 millions de kilomètres carrés de terres vie

6 si bien qu’un beau jour, vers l’an 2450, tous les hommes se toucheront. (On pourra nourrir tout le monde, m’assure un spéciali

7 euve, et demeure presque aussi scandaleuse pour l’ homme moderne qu’à l’époque où Malthus le premier l’a formulée, dans le seu

8 eur dans la multiplication des objets offerts à l’ homme . Les livres de deux porte-paroles récents de cette tendance optimiste

9 u’ils ont bien raison de le faire ! Ah ! l’habile homme  ! De la fenêtre du vingtième étage d’un gratte-ciel, il tend son livr

10 mais d’une espèce d’allergie de la Nature et de l’ homme naturel aux produits de notre industrie. Ces sept plaies sont la poll

11 x, des sols et des aliments, et la pollution de l’ homme par le bruit, par le stress urbain (ou densité excessive de la popula

12 « L’ homme se voit contraint de choisir librement son avenir » Une certitude s

13 s dire : pour la première fois dans l’histoire, l’ homme d’aujourd’hui se voit contraint de choisir librement son avenir perso

14  : comment rétablir et servir l’équilibre entre l’ homme , la Société et la Nature. Nous sommes socialisés par le danger commun

15 nomie n’a pas sa fin en soi, mais au service de l’ homme , et qu’elle servira l’homme quand elle s’ordonnera non plus au seul p

16 mais au service de l’homme, et qu’elle servira l’ homme quand elle s’ordonnera non plus au seul profit individuel ni à la seu

17 che d’une politique d’équilibre dynamique entre l’ Homme , la cité et la Nature, enfin substituée au dogme unique de la croissa