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lyste Lacan, tend à substituer des structures à l’
homme
, et ne tient aucun compte de la personne, « pauvre trésor » raillé pa
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ir en tirer la conclusion que si Dieu est mort, l’
homme
aussi. Mais qu’est-ce à dire ? Si c’était vrai, qui serait là pour le
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Les structuralistes, en ce point, déclarent que l’
homme
n’existe pas, n’est qu’illusion, « constituée » au xviiie siècle. Le
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cué. Il n’y a donc plus rien du tout, ni Dieu, ni
homme
, ni sujet, ni drame, il n’y a plus que des livres — mais pourquoi sig
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rouve que le phénomène de la mort de Dieu et de l’
homme
n’est en fait qu’une manière de parler, ou plus exactement : d’écrire
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ales nucléaires. D’où l’impression générale que l’
homme
ne peut rien sur l’évolution générale, que les États font tout, que l
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uté œcuménique de Taizé en est l’exemple). Mais l’
homme
ne vit pas de l’esprit seulement. Il faut recréer des communautés de
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e que nous croyons qu’il faut faire confiance à l’
homme
et que le bonheur ne vient pas à ceux qui ne l’appellent pas de toute
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qu’elle se dépasse, parce que nous voulons que l’
homme
fasse usage des machines et des inventions que nul ne peut et ne doit
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» européens qui ont sans doute orienté l’action d’
hommes
politiques tels que De Gasperi, Robert Schuman, Paul-Henri Spaak, pou
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ment réorienter toute l’aventure occidentale de l’
homme
, afin d’éviter les désastres écologiques, civiques et génétiques auxq
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n du travail qui est en réalité une division de l’
homme
, comme l’avait annoncé Kropotkine ; la montée universelle de la délin
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é, qui est le vrai référentiel de l’œuvre. Pour l’
homme
d’Europe, qu’il le sache ou non, le référentiel absolu, c’est la pers
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t latin de persona, terme juridique définissant l’
homme
par son rôle dans la cité, après avoir désigné le masque porté par un
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, qui allait fonder la conception chrétienne de l’
homme
. En déclarant qu’ils confessaient Jésus-Christ comme « vrai Dieu et v
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nfessaient Jésus-Christ comme « vrai Dieu et vrai
homme
» à la fois, les Pères du concile de Chalcédoine ont posé le premier
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e formatrice de l’Europe parce qu’elle engendre l’
homme
européen, à partir de l’extraordinaire création qu’a été le concept d
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concept de personne, cette notion théomorphe de l’
homme
et anthropomorphe de Dieu. Voilà pour l’origine, « technique » en que
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humain, par Augustin d’abord, lequel estime que l’
homme
, étant fait à l’image de Dieu, est lui aussi une personne ; puis par
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ut le Moyen Âge. Homologue du « vrai Dieu et vrai
homme
», de la Deuxième Personne divine, la personne humaine est devenue la
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tension de l’individu naturel et de ce qui dans l’
homme
« passe infiniment l’homme » comme dit Pascal : le transcendant. Une
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el et de ce qui dans l’homme « passe infiniment l’
homme
» comme dit Pascal : le transcendant. Une nature investie par une voc
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nature investie par une vocation, une notion de l’
homme
qui implique la transcendance de l’homme par rapport à lui-même. Cert
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ion de l’homme qui implique la transcendance de l’
homme
par rapport à lui-même. Certes, les siècles ont ajouté à cette formul
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ux notions grecques d’individu, d’autonomie, et d’
homme
mesure de toutes choses ; aux notions romaines d’organisation et d’in
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u est mort, et que cela signifiait la « mort de l’
homme
», et donc de toute identité, de toute personne. Or, ce n’est là qu’u
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une métaphore. Ce qui peut provoquer la mort de l’
homme
, c’est la mort d’une Nature tuée par l’homme, et qui nécessairement e
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de l’homme, c’est la mort d’une Nature tuée par l’
homme
, et qui nécessairement entraînerait dans sa perte l’espèce humaine. C
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ntraînerait dans sa perte l’espèce humaine. Car l’
homme
ne peut rien contre Dieu, tout contre l’homme. Quand on nie Dieu, com
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r l’homme ne peut rien contre Dieu, tout contre l’
homme
. Quand on nie Dieu, comme la plupart des écoles de pensée modernes, e
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tructuralistes ; quand on répète que la mort de l’
homme
s’ensuit « logiquement » ; quand on nie le sujet, et qu’on répond com
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traction politicienne ? Ceux qui prétendent que l’
homme
n’est qu’une illusion, que le sujet n’existe pas, même dans le discou
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’aliénation… de quoi ? Contre l’exploitation de l’
homme
par l’homme, disent-ils. Mais ce serait l’exploitation d’une illusion
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de quoi ? Contre l’exploitation de l’homme par l’
homme
, disent-ils. Mais ce serait l’exploitation d’une illusion par une ine
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de la personne, et en son nom. L’aliénation de l’
homme
ne saurait désigner que ce qui compromet sa possibilité de se mouvoir
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t dans la personne, si bien qu’il peut relier des
hommes
de toute la terre, la vie communautaire concrète est proximiste, c’es
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t aux exigences constitutives de la personne. Les
hommes
ne sauraient être unis par l’imposition uniforme d’un même corpus de
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un homme d’État, ses successeurs ne sont que des
hommes
de l’État. » Quand nous avons commencé à parler de régions, nous les
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dix-millionième de gramme en suffit pour tuer son
homme
par un cancer. Et les centrales nucléaires en produiront des tonnes a
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éside dans une mauvaise gestion de la Terre par l’
homme
. L’homme pollue, scalpe, écorche et défigure la Terre. Il épuise les
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s une mauvaise gestion de la Terre par l’homme. L’
homme
pollue, scalpe, écorche et défigure la Terre. Il épuise les ressource
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« l’Enfer où damnés sont bouillus » (Villon).] L’
homme
est en train de faire mourir la Terre sensible. C’est une sombre hist
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des origines pour « faire leur unité » — comme l’
homme
émerge de l’enfance pour « faire sa puberté » — et ils accèdent à la
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réalité possible, comme le proclament beaucoup d’
hommes
politiques de droite et de gauche avec l’appoint d’André Malraux, l’É
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ures d’accueil à l’action, à la participation des
hommes
et des femmes en tant que citoyens. Comme l’écrivait Alexandre Marc d
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ses prétentions totalitaires et autarciques : des
hommes
et des groupes décident de reprendre en main leurs destins, à l’échel
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uicide du genre humain ; — ou bien, des groupes d’
hommes
qui se veulent libres et responsables trouveront, propageront et appl
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dimensions modérées, accordées aux pouvoirs de l’
homme
, aux prises de sa pensée et de sa main vers la répartition aussi larg
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attitudes mentales, morales et spirituelles de l’
homme
moderne, dont l’économie en général et les budgets en particulier ne
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ns son besoin de communication et de communion, l’
homme
des villes devient spectateur, non plus acteur de la vie publique, ha
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rum (devenu parking). Recréer une communauté où l’
homme
puisse de nouveau participer et recouvrer sa dimension communautaire,
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e l’on dénonce. Si dans les dimensions énormes, l’
homme
meurt de froid, dans un mini État-nation, ce serait plutôt d’asphyxie
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mplique et favorise un changement d’attitude de l’
homme
face à la société, un changement de mentalité et un changement de fin
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ussi de la pollution ; meilleurs rapports entre l’
homme
et sa terre, l’homme et sa ville, l’homme et les groupes, réajustés d
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; meilleurs rapports entre l’homme et sa terre, l’
homme
et sa ville, l’homme et les groupes, réajustés dans le concret, sur l
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entre l’homme et sa terre, l’homme et sa ville, l’
homme
et les groupes, réajustés dans le concret, sur le terrain ; tout cela
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e les tremblements de terre ne dépendent pas de l’
homme
, tandis que les États-nations sont nés de nos œuvres… Par ailleurs je