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rien ne peut remplacer cela pour nous. Nous avons
honte
devant eux. Nous sentons que nous ne sommes jamais allés jusqu’au bou
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les Pages de journal d’André Gide.) Cette fausse
honte
ou cette mauvaise conscience, cette crainte de « trahir » en servant,
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-on que la dictature en est seule responsable. La
honte
n’en retombe pas sur des hommes « libres » !) À lire les revues et le
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ur nouvelle — elle date de 1935 — ou cette fausse
honte
à l’endroit du matérialisme « grossier » ne sont là que pour rassurer