1 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
1 l’amour des progressistes, et un prestige accru. Honte aux hommes de ce temps, le calcul semble juste : l’immoralité phénomé
2 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la honte et l’espoir de l’Europe (janvier 1957)
2 Sur la honte et l’espoir de l’Europe (janvier 1957)ad Mardi 30 octobre 1956,
3 nous répète sans fin que la révolte est écrasée. Honte à nous tous Européens ! Et pas seulement à ceux qui se trompaient et
4 seulement les staliniens mais, disaient-ils sans honte , rentrant de là-bas, les peuples satellites et leurs chefs « adorés »
5 animait les brutes au pouvoir et leurs victimes ! Honte aux politiciens européistes qui ont accepté depuis dix ans tant de pr
6 pe qui aurait seule pu répondre. Je partage cette honte pour avoir toléré trop de mauvais prétextes à ne rien faire, trop de
7 orces à l’appel angoissé de la liberté, éviter la honte éternelle qui accable désormais toute cette génération, la Hongrie ma
8 célébraient leur Octobre à eux). Il semble que la honte que nous éprouvions tous ait empêché toute description du phénomène.
9 Dimanche 11 novembre 1956 L’Europe se tait… Honte à cette Europe silencieuse Et qui n’a pas conquis sa liberté ! Lâches
10 n peut agir. ad. Rougemont Denis de, « Sur la honte et l’espoir de l’Europe (Le point de vue de Ferney) », Preuves, Paris
3 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
11 associer à l’instinct une idée martyrisante ou de honte , dissocier et disperser ses forces, enfin s’affaiblir et se déprimer
12 e ce soit le besoin de repos, ou la crainte de la honte et d’autres suites néfastes, ou bien encore l’amour. Donc, tandis que
13 siècle, qui ne laissent derrière eux que colère, honte et mépris. Casanova aime les femmes, Valmont ne cherche qu’à gagner d