1 ié du seul instant où tu l’aurais aimé Et les humains leur nombre dans la pluie Autour de toi les visages qui fuient —

2 t à fonder quelque chose de neuf, de concret et d’ humain . Petits purs, conformistes à rebours, qu’ils aillent grossir les rang

3 l’état social actuel l’empêche atrocement d’être humain . Seule cette revendication perpétuelle de l’humain contre l’inhumain

4 umain. Seule cette revendication perpétuelle de l’ humain contre l’inhumain portera toujours en elle-même une garantie révoluti

5 ra au contraire la revendication universelle de l’ humain contre tout ce que l’homme invente pour se mettre à l’abri du risque

6 assement, tout ce qui fonde la dignité proprement humaine . Où est le remède ? Les auteurs de Jeune Europe n’hésitent pas à le v

7 ous suspendons toutes nos constructions à un fait humain central, la personne — telle que nous la définirons tout à l’heure —

8 e conflit, étendu à tous les ordres de l’activité humaine  : politique, économique et culturel. Telle est la base de notre ordre

9 té réelle et créatrice, partant, de toute dignité humaine . ⁂ Pour faire sentir tout de suite le concret d’une telle doctrine, v

10 cause de la machine, mais parce qu’aucun contrôle humain , aucune doctrine totale et transcendante ne pouvait intervenir au xix

11 e, et assuré, en fonction cette fois d’une mesure humaine , le minimum de vie matérielle qui permet à la personne de courir sa c

12  » permanente de la révolution, c’est la personne humaine telle que nous l’avons définie. 5° Dans « l’Ordre nouveau », les inst

13 ussi de sa miséricorde. Il n’y a pas de communion humaine hors l’unanime attente trébuchante, hors la Promesse accordée à notre

14 agement des activités, de la durée, des créations humaines . Tout ordre terrestre suppose une conception de l’homme, tel qu’il es

15 par cette révélation, sauvé. Ainsi l’homme n’est humain que dans un paradoxe ; il est perdu lorsqu’il se croit sauvé, il est

16 e sait perdu. Je dis que seul ce paradoxe le fait humain  : car si l’homme peut se voir perdu, c’est qu’il croit, c’est qu’il e

17 t agir, c’est donc attester sa dignité proprement humaine . La foi seule est un acte absolu ; le croyant seul, véritablement hom

18 erviront de critères : d’une part, elle est seule humaine , au sens évangélique du terme ; d’autre part, elle est intenable. Ell

19 d’autre part, elle est intenable. Elle est seule humaine , parce que seule elle pose la question dernière du destin de l’homme,

20 is jamais un système politique ni aucune synthèse humaine n’aura de droit sur nous en tant que personnes, en tant que vocations

21 ctrinales : affirmation des droits de la personne humaine , toujours supérieurs à ceux de l’État, qui doit normalement leur être

22 n acte20, tel est donc le fait spirituel, le fait humain par excellence auquel l’Ordre nouveau rattache d’une façon immédiate

23 nquête permanente et approfondie sur la condition humaine telle que la déterminent le capitalisme et l’esprit bourgeois, — le l

24 etzschéisme, une certaine foi en l’acte seulement humain , qui figure, pour un chrétien, l’illusion dernière de l’orgueil. Mais

25 , une communauté « spirituelle », au sens le plus humain d’ailleurs, du terme ? L’homme des villes se jettera donc dans l’aven

26 eut être réellement adopté et assimilé par la vie humaine  ; il reste pour elle un paradoxe étrange et effrayant », s’écrie Carl

27 rtyr9 d’avoir défendu contre tous l’impossibilité humaine du témoignage, — n’a-t-il point, par sa mort justement, témoigné de l

28 1 et non conceptuel. Nous sommes ici dans l’ordre humain , dans la totalité, et non dans l’ordre scientifique, qui est celui du

29 ilosophie de l’organique peut trouver ses mesures humaines et sa justification spirituelle. C’était placer le critère de l’espri

30 nnaît d’autres arguments que les parties du corps humain , les plantes, les aigles, un tesson, des ulcères, des rochers, deux e

31 nne, comme des cas. Ainsi elles laissent perdre l’ humain , elles sortent du concret, — du drame. 25. M. Spaier, dans la Pensée

32 e de position occasionnelle en faveur d’une cause humaine , de la patrie, ou même des Éthiopiens. Notons d’abord qu’une pareille