1 cette mesure même, il se peut qu’il cesse d’être humain . Car l’homme n’a d’existence proprement humaine que lorsqu’il partici

2 re humain. Car l’homme n’a d’existence proprement humaine que lorsqu’il participe à la transformation du monde. Autrement, il e

3 re ces deux exigences : l’abîme entre les mérites humains et la grâce, l’abîme entre l’imitation et l’acte, l’abîme entre la re

4 de l’éternité ! « Il suffit d’un courage purement humain pour renoncer le temps afin de gagner l’éternité : car je la gagne et

5 arole reçue d’ailleurs, une rupture de tout drame humain que nous pussions prévoir, désirer et décrire ; une rupture et une vi

6 us, elle n’est encore qu’une forme de l’agitation humaine . Pour le chrétien seul elle signifie une transformation effective. Ou

7 trad. française dans les Éléments de la grandeur humaine (NRF). 7. « Le prophète se lève et tombe avec sa mission » (Karl Bar

8 engage quelque chose de son être, c’est l’amitié humaine qui se détruit. ⁂ Telle est l’inquiétude des masses. Elle n’est pas d

9 lle règne innommée et panique partout où l’amitié humaine n’a jamais rien noué, rien engagé, rien sacrifié, là où elle n’a pas

10 t arbitraire, ou s’il ne mise que sur l’indignité humaine  ? Et si la propagande et la publicité qui ont pris la place des lieux

11 ic plus étendu, l’avance nécessaire, le gage tout humain dont certains lecteurs ont besoin, pour se risquer à découvrir un gén

12 nflexible, à la conscience la plus sobre de notre humaine condition. On dirait qu’il incite ses héros à pratiquer contre la vie

13 ers cet instant le saint des saints de la réalité humaine , le lieu de la pureté, si la « pureté du cœur », comme le veut Kierke

14 e libération qui est la jouissance spécifiquement humaine . De l’autre côté, on trouvera une économie de force ou de pensée susc

15 e, d’où cette zone où l’homme marche sur de l’art humain en toute sécurité et en plein automatisme (exemple : les grandes vill

16 risque, né du caractère ordonnateur de l’activité humaine . Ainsi dans l’organisation du travail. La machine tend à détruire l’a

17 quelque sorte renoncer au sens même de l’activité humaine  ; mais, d’autre part, la domination de la machine serait le résultat

18 l s’affirme en acte. Quand on parle de solidarité humaine , de valeur humaine, c’est à une société de personnes que l’on pense.

19 . Quand on parle de solidarité humaine, de valeur humaine , c’est à une société de personnes que l’on pense. L’homme n’atteint l

20 éclatante, inoubliable, paradoxale, de la société humaine , qui lui permet de se dépasser elle-même. L’homme concret, l’homme vi

21 ous paraît spécifique de l’effort et de la pensée humaine . La pensée créatrice est donc l’acte le plus pur et le plus humain. M

22 créatrice est donc l’acte le plus pur et le plus humain . Mais comment va se présenter à nos yeux ce qui n’est pas immédiat à

23 s favorable à l’édification de toute construction humaine , même et surtout rationnelle. Mais si nous rejetons toute médiation e

24 oute médiation entre l’acte et ses manifestations humaines , nous ne saurions écarter la réalité des résistances à cette activité

25 de l’acte. Étant orientée vers l’acte, la tension humaine ne saurait donc considérer toute médiation que comme une résistance à

26 rsonnalisme. Dans les divers ordres de l’activité humaine , l’acte instantané ne fera briller son éclair que bien rarement. Les

27 dente ; mais dans tous les domaines de l’activité humaine la pensée dichotomique maintiendra cette volonté : libérer la personn

28 t l’influence qu’exerce ce seuil sur toute la vie humaine et, probablement, sur la vie en général. Cela est d’autant plus néces

29 élogique, hésite à faire la part de l’orientation humaine qui s’exprime par une affirmation croissante de la discontinuité expl

30 s qui leur sont communs : primauté de la personne humaine , respect de la vérité et lutte contre la tyrannie de l’argent. Louis

31 défenseur de cet idéal permanent de la Révolution humaine , vous passerez bientôt pour fasciste. On dit que les mots n’ont plus

32 t ou à « la Vie », ou à la solidarité de l’espèce humaine , malgré tout. Pourtant c’est bien ici le peuple « raisonnable » qu’on

33 ralement, c’est ce qui règle le jeu des relations humaines et les opinions politiques). Le marxisme traite tout cela de nuances

34 statisticien, ou au contraire de l’homme le plus humain  ? Sera-t-elle fondée sur la réalité telle qu’elle est vécue et voulue

35 mieux cesser de penser. Que penserais-je, ici, d’ humain , d’actif ? Ici où je suis sans prochain, à cette heure ou mes frères

36 comparer les situations… À cause de la solidarité humaine , probablement. — (Voilà pourquoi l’on trouvera sans doute, indiscret,

37 e diable ait jamais pu concevoir pour dresser les humains les uns contre les autres. Et qui, ou quoi, pourrait nous en guérir ?

38 — Nous comptons sur l’effort des hommes les plus humains . C’est peu, dites-vous. Mais rien d’autre n’est vrai… 6 mai 1935 La

39 bre dans un peuple ne pouvait exprimer qu’un fait humain élémentaire. J’étais déçu de le voir se réduire à quelque chose d’aus

40 Elle en épouse la géographie physique mais aussi humaine . Elle quitte à tout propos la route nationale pour des chemins second

41 lus balourds, enfin je ne sais quelle supériorité humaine , quel luxe d’énergie ou d’invention qui, s’ils les possédaient vraime

42 sé », et comme « aliéné » de ce qu’il y a de plus humain en lui. À la découverte de « cette aliénation de soi », qui selon Mar

43 it de transformer en tant que l’on est proprement humain (c’est-à-dire en tant que l’on obéit à l’Esprit, pour Paul, et en tan

44 des choses, on change automatiquement la réalité humaine . Obligé par ses adversaires à proclamer la primauté du matériel, Marx

45 gnage en faveur du fait accompli d’une révolution humaine . Le chrétien converti commence donc par la fin que visait l’espérance

46 e la croyance marxiste renvoie sans cesse le fait humain total dans un avenir indéfini, et n’engage que certaines dispositions

47 ême parfois l’abandon de tous biens et d’intérêts humains très chers. Mais je demande à ces chrétiens « changés » s’ils ont un

48 it se manifester sur tous les plans de l’activité humaine , y compris le plan politique, ils ne répondront pas au défi du marxis

49 a puissance concrète. Réalité ou non de la pensée humaine isolée du domaine pratique, c’est querelle de pure scolastique » (Mar

50 arx ne prétendait nullement négliger les facteurs humains personnels, sans quoi le matérialisme ne serait pas « dialectique ».

51 circonstances et de la modification de l’activité humaine , ou transformation personnelle, ne peut être rationnellement comprise

52 c’est aussi un acte d’humilité ; car toute parole humaine sur Dieu est nécessairement inadéquate en soi, et ne peut être qu’un

53 un régime communiste.) Que reste-t-il dans l’être humain d’absolument irréductible à toute transformation sociale ? La mort ph

54 là précisément qui paraît le plus décisif, à vues humaines , s’agissant d’un homme appelé au ministère de la Parole. Ce qui est v

55 tils ou Juifs convertis, donc l’Église — héritage humain , d’autre part, de cette notion de la mesure « totalitaire » qui devai

56 que la mesure cesse d’être transcendante, devient humaine , contingente et partielle, et n’étant plus totale, se veut encore tot

57 lle d’un christianisme qui se met au service de l’ humain (j’entends bien de l’humain purifié, « divinisé » par les efforts de

58 e met au service de l’humain (j’entends bien de l’ humain purifié, « divinisé » par les efforts de la religion s’ajoutant à ceu

59 me ce Retour éternel paraît exclure toute liberté humaine , il se met à prêcher l’amor fati, l’adhésion volontaire et joyeuse à

60 soit mort, atteste ce fait capital que la pensée humaine ne peut être irrémédiable. Tous les autres, sauf Empédocle et Nietzsc

61 l’existence. Kierkegaard déconsidère le sérieux «  humain  », par l’ironie de l’éternité. L’éternité, pour lui, est une ironie s

62 franchement s’avouer que de se comparer aux seuls humains que le métier ou notre rang social nous met en mesure d’approcher. L’

63 ! (Été à Paris). Impossibilité du libre-échange humain . — Considération irritée et décevante des « gens » en général — quand