1 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
1 lle désespère, elle touche le fond de la détresse humaine . C’est un vieux pasteur un peu ivrogne, un vieil ours intraitable, to
2 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). L’Âme romantique et le rêve (23 mars 1937)
2 lturel et littéraire. « Toute époque de la pensée humaine , dit en débutant notre auteur, pourrait se définir, de façon suffisam
3 tisme déborde les limites assignées à la personne humaine dans sa réalité. Il y fallait toutes les ressources d’un esprit bien
3 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Veille d’élection présidentielle (14 novembre 1940)
4 ce, mais un synonyme de santé civique, de volonté humaine et de liberté chrétienne. Non seulement d’espoir, mais de force. h.
4 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Santé de la démocratie américaine (17 janvier 1941)
5 e ces communications publiques : un ton familier, humain  ; des faits, et non pas de vagues et solennelles déclarations de prin
5 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (fin) (18-19 mai 1946)
6 ste du monde se charge de rétablir un équilibre «  humain  », sur les modèles récemment présentés par MM. Hitler et consorts. ⁂
6 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Troisième lettre aux députés européens : L’orgueil de l’Europe (17 août 1950)
7 les vivants, vous êtes les députés d’une aventure humaine qui tente à travers vous, dans l’angoisse et l’espoir, le risque et l
8 in, et malgré tant de crimes, l’honneur de l’être humain . Mais cette beauté, ce bonheur, cet honneur, et cette conscience inqu
7 1953, Journal de Genève, articles (1926–1982). Aller et retour (21 mai 1953)
9 nt assuré que tous les animaux, ainsi que la race humaine , dégénéraient en Amérique ; que les chiens même perdaient la faculté
10 ens. C’est à nous de relever l’honneur de la race humaine et d’enseigner la modération à ces frères trop sûrs d’eux-mêmes. L’Un
8 1963, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Le Dieu immanent, qui s’annonce à leur cœur » (9-10 novembre 1963)
11 jugeons point de la fonction de Dieu dans la vie humaine par la croyance ou l’incroyance des hommes, mais par les signes de sa
9 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Non, notre civilisation n’est pas mortelle ! » (30-31 août 1969)
12 aille. Le progrès est l’augmentation des risques humains , c’est-à-dire des possibilités de choix laissées à chaque individu. L
13 fait la statuaire grecque avec ses dieux à formes humaines , l’architecture médiévale avec les voûtes romanes et les flèches goth
14 d’en sortir. C’est-à-dire de créer un ordre plus humain  : par quoi je veux dire plus divin. Et ne me demandez pas si je crois
10 1973, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Denis de Rougemont, l’amour et l’Europe » (3-4 mars 1973)
15 e qui se termine ainsi : « … la moitié du malheur humain se résume dans le mot d’adultère ». Je craignais que cette observatio
16 s d’un besoin « fou » de transcender la condition humaine , trop humaine. Rien n’a fait plus de mal que la passion, ni créé plus
17 « fou » de transcender la condition humaine, trop humaine . Rien n’a fait plus de mal que la passion, ni créé plus de beauté, en
18 ent. Je pense que le couple, fondement du rapport humain le plus total, survivra sans trop de mal à nos modes intellectuelles.