1 1969, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Une longue et vieille histoire (7 juin 1969)
1 r de plus en plus de l’investigation des sciences humaines . Certes, avec Georges Bataille et Pierre Klossowski, il a retrouvé sa
2 1971, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). L’absence d’une « culture nationale », facteur du développement intellectuel (26-27 septembre 1971)
2 dont on connaît l’impact sur toutes les sciences humaines — et pas seulement sur les récents structuralismes français. De Genèv
3 dialogue qui caractérisent à la fois les sciences humaines , le civisme et la vie culturelle en Suisse. Stendhal voyait dans le c
3 1974, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). La révolte des régions : l’État-nation contre l’Europe (mars 1974)
4 -nation, la seule qui exige encore des sacrifices humains , et les obtienne. Toutes ces déclarations traduisent une curieuse anx
5 e nouer des liens, de créer un tissu de relations humaines . Allons au fait : la grande terreur du séparatisme, qui se manifeste
4 1979, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Avez-vous lu Jérôme Deshusses ? (16 mars 1979)
6 nte à ce jour. L’Europe des virus L’activité humaine a déjà détruit le quart des terres cultivables de la planète, mis fin
7 t personne, les deux piliers de la grande famille humaine . » Entre le désordre absolu et la démence, la surpopulation et la bom
8 re de proue de l’Histoire naturelle, « l’Histoire humaine n’aura bientôt plus le choix qu’entre l’horreur de son propre tintama
5 1979, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Le fédéralisme helvétique dans l’Europe d’aujourd’hui (24-25 juin 1979)
9 te, c’est-à-dire de l’air respirable par l’espèce humaine ). Pas question de centralisation dans tout cela, mais d’adaptation ra
6 1982, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). L’amour, les régions et l’Occident (20 août 1982)
10 us en commun cette définition de l’homme vraiment humain  : une personne responsable dans une communauté, et non pas un individ