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ité pour que tout homme y trouve sa chance d’être
humain
. Tel est le principe. Voyons les faits. La politique, en France, c’es
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le ou non, une idée de l’homme et de la condition
humaine
. Mais on dirait que la politique actuelle l’oublie, et qu’elle ne se
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guer, selon les cas, quelles sont les entreprises
humaines
qui marcheront mieux en les étatisant, et quelles sont celles qu’il f
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it à réduire la surface de la Terre et la vermine
humaine
qui s’y livre à ses vices. La Renaissance croyait plutôt à un nouveau
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si qu’elle a compris que la somme des souffrances
humaines
est devenue si grande, avec notre Progrès, qu’il y a bien plus de gen
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a pensée de l’art et d’une vision plus large de l’
humain
, pour ceux qui se réfèrent à l’Écriture et à ses traductions liturgiq
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dèle de société que je récuse radicalement. Car l’
humain
s’y voit sacrifié non pas même au profit (ici très négatif) mais à la
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fois les écosystèmes naturels et les communautés
humaines
. L’agression s’est produite d’abord en Europe, au xixe siècle puis a
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tat-nation est né de la volonté d’uniformiser les
humains
, d’écraser leurs différences ethniques, culturelles, coutumières, de