1 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
1 froyable accident. Une épreuve pareille n’est pas humaine , elle n’a aucune valeur pour la vie normale de l’homme. Et ils le dis
2 reconnais la réalité et la nécessité de conflits humains . Mais il y a d’autres solutions que la guerre. Faire valoir toutes le
3 seau plus que vous ne le croyez ! Dans la réalité humaine , l’exaltation des différences aboutit à la guerre, forcément. Moi. —
4 eux pour l’entreprise de glorification des forces humaines , purement humaines, que représente l’hitlérisme ? Ne trouverait-il pa
5 se de glorification des forces humaines, purement humaines , que représente l’hitlérisme ? Ne trouverait-il pas vingt raisons d’a
6 grand danger serait de lier sa foi à des valeurs humaines périmées. C’est pourquoi la lutte que poursuit la chrétienté allemand
7 qui nous oblige à dépouiller enfin tout l’élément humain de nos religions. Il fallait cette épreuve du feu pour les chrétiens
8 s ce « cri », cette clameur instantanée de 40 000 humains dressés d’un seul élan. « Une ère nouvelle commence ici… » Non, ce n’
9 ecrets « d’ordre » à tout prix, au prix même de l’ humain … À croire que ceux-ci créent celle-là… Mais ce serait trop beau dans
10 du monde comme opposants. J’admire cette faculté humaine d’accepter le fait accompli, fût-il le plus artificiel, et incommode,
11 ntraire une situation devant laquelle le jugement humain se dérobe avec une sorte de honte ou de révolte. Car le jugement huma
12 une sorte de honte ou de révolte. Car le jugement humain ne saurait voir que des raisons de se taire, d’attendre encore, de mé
13 t de l’homme est déclaré, Dieu n’ait retrouvé des humains . 21 juin 1936, nuit Fête du solstice d’été. — Dans la nuit noi
2 1938, Journal d’Allemagne. Les jacobins en chemise brune
14 ticier, du pur des purs, qui s’abat sans scrupule humain sur les ennemis de la nation : toujours, il faut « faire vite », déjo
15 justifie que par la guerre. Hors de toute volonté humaine , bonne ou mauvaise. On me dira sans doute qu’il est trop tard. Désesp