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erreurs égoïstes. Celles-ci ne sont pas « trop »
humaines
— rien ne l’est trop — mais pas assez.) À vrai dire, l’homme moderne
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t-à-dire pour se spiritualiser, s’il veut devenir
humain
au plein sens de ce terme. Car dans le monde de l’esprit, tout est fo
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iens. Car il est un agent permanent de la réalité
humaine
, telle que nous la vivons quand nous vivons vraiment, dans notre état
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ce monde, non sa divinité. Et cependant, nous les
humains
, nous pouvons perdre toutes ces choses, qui sont notre héritage d’« e
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ocale et plus pénétrante que celle de nos morales
humaines
. Une illusion commune et presque inévitable nous porte à croire que c
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inévitable nous porte à croire que certains actes
humains
sont malfaisants en soi et constituent le mal. Celui-ci prend alors u
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par l’homme pour agir sur la réalité. Mais dans l’
humain
, par où va-t-il entrer ? L’homme seul, dans toute la Création, peut d
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s âmes, devient presque invisible à la conscience
humaine
. Un vice, c’est une vertu désorbitée ou réduite à l’insignifiance. C’
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e les mauvais anges qui descendirent se mêler aux
humains
enseignèrent à ceux-ci des artifices de magie et d’artisanat, les pro
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r au xxe siècle existait en puissance dans l’âme
humaine
depuis la formation de la première société ; et il existera sans aucu
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triomphe ne vaut pour eux la moindre des réalités
humaines
qu’ils ont tuées. « … car ils ne savent ce qu’ils font. » 21. Le
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e, mais de la religion en général comme phénomène
humain
, cause et produit de toute communauté vivante. Je parle d’un instinct
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ion du droit ; dépenses sans limites ; sacrifices
humains
; déguisements ; cortèges ; déchaînement de passions collectives ; di
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s la définition même de l’homme en tant qu’il est
humain
. Nous avons été optimistes par principe, et presque par savoir-vivre,
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de New York, en éclairant sans condition tous les
humains
. Regardez-là : cette déesse est abstraite, mais elle n’en est pas moi
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r elle est le signe primordial de notre condition
humaine
. L’homme est libre, et cela signifie qu’il est placé à chaque instant
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re soit au martyre soit au rétablissement de lois
humaines
: dans ces deux cas il reste libre, non pas au nom de la Liberté abst
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clats qui rendraient manifestes la vérité du cœur
humain
, ses abîmes et ses miracles. Soyez nice, dit la bourgeoisie. Pour êtr
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l estime en effet que la Règle d’or des relations
humaines
, dans tous les ordres, fut donnée par cette phrase de l’Évangile : «
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ique se résume dans une « technique des relations
humaines
» enseignant aux humains comment se faire des amis, gagner le monde —
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technique des relations humaines » enseignant aux
humains
comment se faire des amis, gagner le monde — et perdre son âme ?
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au cœur même de nos idéaux et de nos vérités trop
humaines
, dans les religions que nous confabulons en dehors de la foi révélée.
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elles-mêmes les critères de toute vérité purement
humaine
, et décrétant qu’il n’est plus d’autre vérité. Or aux yeux de ceux qu
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a mesure et le sens des fins dernières de l’œuvre
humaine
. L’individu s’égare dans ces vastes rouages, il s’y sent partout en e
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res. Dans ces villes se sont entassées des masses
humaines
informes, noyant et dissolvant les groupes organisés autour de petite
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.) Alors le vertige de Babel s’empare de l’esprit
humain
. Comme tout vertige, il naît de l’incapacité de supporter des altitud
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aîtrez à ses fruits. S’il est vrai que tout ordre
humain
repose sur l’alliance, et si l’alliance primordiale du mariage n’a pa
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t ordre, quel qu’il soit, qui mérite l’épithète d’
humain
. 52. La Passion Je parlerai maintenant de l’amour même, non pl
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suffisent à déterminer l’atmosphère d’un ensemble
humain
comme celui que l’on nomme Occident. Et les minimes altérations qui s
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r l’intensité même des paradoxes qui sont l’amour
humain
dans sa réalité magnifique et désespérée. Considérez cette métamorpho
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mais il est lié intimement aux fonctions les plus
humaines
de l’homme, à ses pouvoirs de création dans tous les ordres, à ses ju
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que par une flagrante indigence dans les rapports
humains
fondamentaux. En présence de cet affadissement, l’on serait tenté de
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e céleste, le gage inaliénable de toute confiance
humaine
. L’imagerie populaire de l’archange peut passer pour une histoire pie
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nos fautes » m’indiquent le sens du seul progrès
humain
non équivoque26. Le sommet de la sainteté n’est pas dans la certitude
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es États atteints de gigantisme, où les relations
humaines
, du fait des grandes distances, des masses et de l’anonymat, ne sont
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communautés, dans les cités qui gardent la mesure
humaine
. Là, le voisin peut parler au voisin et l’individu se faire entendre.