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ncés depuis des siècles pour ou contre la liberté
humaine
en soi, on en vient vite à ne plus savoir si elle existe ou non, si e
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matérielle et morale. Où trouvera-t-il le groupe
humain
qui lui offrira une protection et défendra ses intérêts ? La famille
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rrive ici à la plus grande, à la plus typiquement
humaine
des libertés que nous pouvons perdre : La liberté de la pensée
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habeas corpus. Il découvre soudain que la liberté
humaine
par excellence, comme l’a dit récemment Ignazio Silone, c’est le droi
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t nous envier à cet égard. Il semble que l’esprit
humain
, dans tous les temps, n’ait point imaginé une seule liberté que les E
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ette maladie même est-elle plus proche de l’idéal
humain
que le collectivisme « culturel » dicté par les bureaucrates russes,