1 1953, La Confédération helvétique. Note de l’auteur
1 rement M. Charles Burky, professeur de géographie humaine à l’Université de Genève, pour les suggestions et critiques dont il m
2 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
2 stoire : le siècle où elle créera l’ordre le plus humain que le monde ait encore vu ». Cet ordre, synthèse du vieux fédéralism
3 il a fallu, mais ils se sont montrés généreux et humains  ». Il appliqua lui-même ces principes, au lendemain de sa victoire. L
3 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
4 ires. Elle est davantage l’histoire de la liberté humaine .  Et certes, le tableau que nous venons d’esquisser des institutions
4 1953, La Confédération helvétique. Institutions et aspirations économiques
5 siècles, nous trouvons une première « constante humaine  » de la Suisse avec les Markgenossenschaften (corporations forestière
6 pens de l’agriculture. Quels ont été les facteurs humains de cet essor, que rien ne faisait prévoir dans la nature des choses ?
7 ’est dire qu’elles ont été créées par les efforts humains plutôt que données par la nature. Il en va de même pour l’évolution d
5 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
8 aturelles ou acquises, ont produit deux attitudes humaines assez différentes dans le domaine de l’éducation et de la pédagogie.
6 1953, La Confédération helvétique. La vie religieuse
9 collective, dans un certain sens de la solidarité humaine , dans l’équilibre des institutions qui en résultent, — dans la paix h
7 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
10 rative. Le respect de la dignité et de la liberté humaine . Là encore, il est remarquable que l’« appartenance de la Suisse à t