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tale dans son ensemble, mais seulement l’attitude
humaine
qu’elle suppose, et qui a rendu possibles ses créations les plus typi
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Je cherche donc à me représenter quelle attitude
humaine
, unique et cohérente, est susceptible d’expliquer ces deux produits e
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venture ou de Quête où s’engage un certain groupe
humain
. Tout cela suggère aussi l’analogie profonde et peut-être éclairante,
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ginelle, l’option fondamentale de toute recherche
humaine
conditionne non seulement les découvertes futures mais encore la natu
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s longtemps divergentes, de deux types d’aventure
humaine
que l’on peut désigner par les termes symboliques, plus que géographi
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’esprit. La première opération signifie en termes
humains
l’Incarnation (la naissance), et la seconde l’Ex-carnation (la mort).
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ut un homme ? (un homme individuel, un exemplaire
humain
pris au hasard) qu’on obtient les réponses les plus révélatrices de l
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a même liaison entre le peu de cas fait de la vie
humaine
, et la négation de la personne, ou simplement de l’individualité. Pou
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ie en général n’entraîne pas le respect de la vie
humaine
. La Bhagavad-Gita, qui n’a rien de bouddhique, enseigne que la mort é
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ation individuelle, et que le but de la recherche
humaine
ne peut pas être le progrès ou l’invention, mais l’identification du
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le même geste de l’Esprit Parole de Dieu et forme
humaine
, indissolublement, dans la Personne du Fils. Ici prend son départ la
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aul a trouvé le secret de l’harmonie des libertés
humaines
, nostalgie séculaire de la sagesse antique. Le génie de l’Apôtre est
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thropologie occidentale. Genèse de la personne
humaine
Comment expliquer le transfert d’un terme dogmatique, concernant D
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t l’évidence : nous parlons tous de la « personne
humaine
», et l’on ne pouvait rien faire de tel avant Nicée. Mais en se borna
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t ainsi que la personne du chrétien imite au plan
humain
la Personne du Christ. (Cette analyse sociologique est homologue — so
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Posons maintenant que le But de toute l’histoire
humaine
vue dans la perspective chrétienne est le suivant : la communauté des
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e Déesse, ne peuvent pas reconstruire une société
humaine
, puisqu’ils n’offrent d’autre salut que dans la fuite mystique ou l’a
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où l’on observe la plus forte densité d’histoire
humaine
. Je parle d’une présence simultanée du plus grand nombre d’expérience
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lle espérance et le nouveau principe de communion
humaine
, tandis que nos sociétés se désagrègent à l’intérieur de cadres sclér
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e société de castes, le principe de la fraternité
humaine
; elle sauvait le meilleur de la Grèce et de Rome en opérant l’intégr
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ation : cela tient à la définition de la personne
humaine
, nous l’avons vu. La personne n’est jamais ici ou là, mais dans un ac
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, plus tard transférée par analogie à la personne
humaine
, c’est-à-dire à l’individu naturel qui reçoit une vocation de Dieu ;
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ui reçoit une vocation de Dieu ; puis à tout être
humain
considéré dans sa dignité. La dialectique particulière qui se constit
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. De même l’antinomie constitutive de la personne
humaine
ne peut être évacuée par aucune médiation théorique. La personne ne s
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er quelque instance supérieure au Parti, fût-elle
humaine
. 40. Ce personnage s’égale aux plus grands, dans leur culte, — en pl
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e l’Occident au temps cosmique comme au temps des
humains
, plaçons maintenant ce double fait : le sens de l’Histoire est caract
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ns archétypiques et mythiques du cours des choses
humaines
, ressenti comme semblable à celui des saisons, de la végétation ou de
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médiéval, l’état civil des hommes et des actions
humaines
n’a cessé de se préciser, tandis que la Fin et le Commencement des te
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ement congénitale entre l’Histoire et la personne
humaine
. Ceci pose un problème encore neuf. Être ou non dans l’histoire
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s parle déjà d’une Histoire « maîtresse de la vie
humaine
et de la politique ». Il s’agit de préparer le Dauphin, son élève, à
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s toujours transparente pour l’actuelle condition
humaine
. Toute autre situation de l’homme moderne, à la limite, conduit au dé
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parlait beaucoup de Hegel et de Marx, de dignité
humaine
et d’efficacité. Pendant ce temps, Jean Monnet créait à Luxembourg la
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de ces plans qui prévoient tout sauf l’essentiel
humain
, parce qu’on les a conçus non comme des directives, mais comme des ca
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ambiguïtés de nos motifs profonds et de nos fins
humaines
sont là. Il y a certes la foi d’Abraham : Colón l’exalte en un passag
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un désir innommé. Qui peut juger ? Toute aventure
humaine
est aussi une erreur ; celle de Colón ne fut pas moins prodigieuse qu
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nant contrepoint de la nature et de la contrainte
humaine
ou mécanique — de la découverte des Autres et de l’invention d’un hom
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? La plupart mettent en jeu des réalités purement
humaines
, de même nature, qui ne se rapportent plus de près ni de loin, aux de
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t gibelins) reflète encore celle du divin et de l’
humain
(au prix des équivoques et des abus que l’on sait) il n’en va plus de
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é de propager dans les domaines de plus en plus «
humains
» un type de dialectique à trois termes qui, finalement détaché de so
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dicalement qu’on ne le fait d’ordinaire la pensée
humaine
et l’Esprit (mind and Spirit). Et ceci ramènerait la pensée sous le r
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ge et pose nos limites, qui sont celles du savoir
humain
, mais elle pose en même temps l’existence de l’idée d’un Ailleurs abs
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er de la technique, et ses effets sur la personne
humaine
. Ces diatribes cent fois répétées contre la « mise en esclavage de l’
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ent d’observations précises sur les répercussions
humaines
, de la technique ? Long cri d’angoisse devant le monde moderne livré
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qui menacent de stériliser ses facultés les plus
humaines
: jugement, choix, goût de différer, fantaisie, besoin d’imprévu, sér
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d’abord alchimiste, mais il termine son aventure
humaine
(conditionnée par les trois dominantes du savoir pur, de la puissance
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i tendait au salut conjoint du cosmos et de l’âme
humaine
, brusquement changent de signe et tournent au fléau en créant le prol
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olétariat industriel, qui a subi tous les « frais
humains
» de l’opération dès ses débuts75. Pour ceux qui en ont tiré bénéfice
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’effort de l’homme pour la soumettre aux volontés
humaines
sera bon, s’il fait partie de l’effort divin dans l’homme ; très mauv
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it craindre que la technique augmente la capacité
humaine
de faire du mal plutôt que du bien, tout en séparant l’homme des ryth
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érés sous leur seul aspect régulateur. Pessimisme
humain
et optimisme naturaliste, l’un et l’autre unilatéraux. 2° L’idée du M
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niste. Taylor a conçu l’ouvrier comme une machine
humaine
entièrement calculable. C’est son système, non la machine, qui asserv
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r la finalité incertaine et suspecte des souhaits
humains
. Ce vertige de l’action naît d’une fatigue mentale ; et cet oubli des
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ds États. L’oubli des buts derniers de l’aventure
humaine
conduit alors à la Technocratie, qui est le gouvernement des moyens s
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cerneront plus que lui. Qu’aura-t-il à offrir aux
humains
libérés pour d’autres rêves et d’autres jeux, c’est-à-dire pour des f
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rra nous empêcher de réaliser enfin ses bénéfices
humains
. Les loisirs. Cette guérison du mal technique par la technique elle-
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nscience fixe enfin l’un des objectifs proprement
humains
de la technique. Ce sont maintenant les moyens à trouver qui devront
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r la difficulté. Ou bien c’est la morale, produit
humain
, qui est « mal » : on revient au néo-manichéisme. Ou bien c’est la Na
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déployé leurs effets que dans les grands espaces
humains
des Amériques et de l’URSS. Là, comme extraites de leur contexte orig
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oissement de sens et d’un élargissement du risque
humain
. Mais il importe ici d’être bien clair quant au sens du mot risque da
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ritable, s’il met un point final au développement
humain
et ne permet plus de choix à la personne. Dans ce sens, le vrai risqu
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des épreuves renouvelées, alertant des ressources
humaines
toujours plus nombreuses et profondes. Prenons un exemple brûlant. La
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dans l’homme ; et plus généralement, de sympathie
humaine
. Il faut beaucoup aimer les gens que l’on voit vivre pour voir en eux
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Europe unie sont convaincus qu’ils servent tout l’
humain
, quand ils luttent, chez eux tout d’abord, contre un nationalisme inv
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veulent plus et qui se défait, garantit la valeur
humaine
de leur action. Pareil combat ne peut être perdu — quelle qu’en soit
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c soit encore tributaire de nos très courtes vues
humaines
. (En fait, il a « gagné » dès que l’homme y croit, depuis 2000 ans à
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osable — il quitterait en esprit cette expérience
humaine
qui depuis deux-mille ans a forgé les destins mais aussi fomenté les