1 1972, Les Dirigeants et les finalités de la société occidentale (1972). « Un monde fini »
1 e la vie végétale, mais de la vie animale et donc humaine aussi. Jusqu’à nos jours, depuis le singe ou depuis le jardin mythiqu
2 erare parendo. Mais à mesure que cet impérialisme humain se fait moins respectueux des dieux et surmonte moins difficilement l
3 nt ans, ce ne sera plus assez pour une population humaine toujours plus dense et toujours plus dévorante. L’ensemble des terres
2 1972, Les Dirigeants et les finalités de la société occidentale (1972). « La religion du Progrès »
4 dogme l’expansion indéfinie à n’importe quel coût humain et naturel, et pour unique article de foi la croyance en l’éternelle,
3 1972, Les Dirigeants et les finalités de la société occidentale (1972). « L’homme se voit contraint de choisir librement son avenir »
5 brement son avenir personnel et celui de l’espèce humaine — et il y est contraint du seul fait qu’il en a, pour la première foi
6 ssi le sens originel : l’aménagement des rapports humains dans la cité, la polis grecque. Le problème le plus urgent et concret
7 livre, est celui-ci : « Définir de nouveaux Buts humains — de nouvelles finalités — pour remplacer la seule poursuite de la cr
8 n budget qui ne prendrait pas en compte les coûts humains et les destructions naturelles, et qui ne ferait pas figurer aux dépe
4 1972, Les Dirigeants et les finalités de la société occidentale (1972). « Gagner le monde ou sauver son âme »
9 politique, au sens large de stratégie de l’espèce humaine . Tous les grands dilemmes que je viens d’énumérer comportent un enjeu
10 assurer les équilibres entre nature et industrie humaine  : songez à la défense du Léman, ou au problème des centrales thermonu
11 libéraux : elle doit être au service de finalités humaines que les économistes spécialisés n’ont pas plus qualité que d’autres p