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e la vie végétale, mais de la vie animale et donc
humaine
aussi. Jusqu’à nos jours, depuis le singe ou depuis le jardin mythiqu
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erare parendo. Mais à mesure que cet impérialisme
humain
se fait moins respectueux des dieux et surmonte moins difficilement l
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nt ans, ce ne sera plus assez pour une population
humaine
toujours plus dense et toujours plus dévorante. L’ensemble des terres
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dogme l’expansion indéfinie à n’importe quel coût
humain
et naturel, et pour unique article de foi la croyance en l’éternelle,
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brement son avenir personnel et celui de l’espèce
humaine
— et il y est contraint du seul fait qu’il en a, pour la première foi
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ssi le sens originel : l’aménagement des rapports
humains
dans la cité, la polis grecque. Le problème le plus urgent et concret
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livre, est celui-ci : « Définir de nouveaux Buts
humains
— de nouvelles finalités — pour remplacer la seule poursuite de la cr
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n budget qui ne prendrait pas en compte les coûts
humains
et les destructions naturelles, et qui ne ferait pas figurer aux dépe
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politique, au sens large de stratégie de l’espèce
humaine
. Tous les grands dilemmes que je viens d’énumérer comportent un enjeu
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assurer les équilibres entre nature et industrie
humaine
: songez à la défense du Léman, ou au problème des centrales thermonu
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libéraux : elle doit être au service de finalités
humaines
que les économistes spécialisés n’ont pas plus qualité que d’autres p