1 d’être complices dans cet attentat à l’intégrité humaine qu’est en fait l’esprit démocratique. Là-dessus, ces messieurs se lam

2 rbitraire et le sens de la relativité des décrets humains . Le prix de mes souffrances était donc ce conformisme indispensable a

3 des titres pour mépriser toute valeur simplement humaine , et une honte secrète qui exaspérait ce mépris et le rendait agressif

4 besoins ; enfin des rythmes naturels de l’esprit humain , qu’il se trouve que le Créateur n’a point accordés à l’actuelle divi

5 nc sur une tranquille méconnaissance de la nature humaine . L’histoire enregistre bien une ou deux autres bêtises de cette épais

6 lève soit celui qui sait utiliser pour son profit humain la petite somme de connaissances indispensables qu’on lui donne à l’é

7 eux le traitement scolaire ; celui dont la valeur humaine subsiste intacte au milieu des conditions anormales créées par l’écol

8 nversion méthodique de toutes les lois divines et humaines . C’est-à-dire : une méthode d’abâtardissement du peuple. D’autre part

9 ies naturelles (je ne fais le procès de la bêtise humaine qu’en tant qu’elle est cultivée par l’État), l’École, après avoir ent

10 e soi-disant progrès social correspond à un recul humain . Par exemple, est-ce un progrès que d’avoir remplacé les hiérarchies

11 iste, tout ce qui est violemment et intégralement humain . L’anarchie est un degré d’intensité dans la vie, non pas un parti. T

12 le travail productif. Santé, instruction, dignité humaine , indépendance, effort créateur, tout dépend alors du bon fonctionneme

13 e au profit sacralisé que l’honneur et le bonheur humain , et c’est d’elle que dépend l’avenir non seulement de l’École mais de