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vre, de sentir le monde, et de juger les rapports
humains
— donc une culture, au sens le plus large du terme. Il serait vain de
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usion, « constituée » au xviiie siècle. Le sujet
humain
se voit proprement évacué. Il n’y a donc plus rien du tout, ni Dieu,
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omme au temps d’Aristote, la gestion des rapports
humains
dans la cité. Que le Conseil en soit remercié par les Douze en tant q
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Nature, et finalement pour la survie de l’espèce
humaine
. Qu’il s’agisse de la pollution résultant de la production industriel
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ma part Rapport sur la dégradation des relations
humaines
et la dissolution des liens communautaires. On y décrirait le désert
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être transposée du plan théologique à celui de l’
humain
, par Augustin d’abord, lequel estime que l’homme, étant fait à l’imag
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me », de la Deuxième Personne divine, la personne
humaine
est devenue la coexistence en tension de l’individu naturel et de ce
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écessairement entraînerait dans sa perte l’espèce
humaine
. Car l’homme ne peut rien contre Dieu, tout contre l’homme. Quand on
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ondorcet dans son Tableau des progrès de l’esprit
humain
, il y a de cela tout juste 180 ans, et nous sommes encore loin du but
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tonium, la plus durable de toutes les productions
humaines
. Ces pays et ces villes énormes, ces mines de sel, ces fonds océaniqu
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lui demandons : « Qu’as-tu fait de la communauté
humaine
? » et qu’il n’ose même plus dire : une Armée, ou le Parti de la Révo
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nal, et de faire prévaloir l’intérêt général de l’
humain
, de la personne, sur celui des États nationaux. Le jeu se rouvre, l’a
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stration des choses et d’aménagement des rapports
humains
dans la cité au sens antique du terme ; puis de rendre ces formules o