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en ce moment de mise en crise majeure de l’espèce
humaine
par elle-même, pour la première fois dans l’histoire, l’homme se voit
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librement notre avenir, il n’y aura plus d’avenir
humain
au-delà du cataclysme inévitable que les rares survivants ne raconter
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rare parendo. Mais, à mesure que cet impérialisme
humain
se fait moins respectueux des dieux et surmonte moins difficilement l
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ce livre : celui de la dégradation des relations
humaines
dans les grandes villes, et celui de l’agression technicienne contre
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ture tout entière, minérale, végétale, animale et
humaine
. Agression brusque, espèce de coup de folie, dont les signes les plus
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ccumulation du DDT ou du mercure dans l’organisme
humain
, la pollution des eaux souterraines et des fleuves, l’empoisonnement
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seuil de l’ère électronique : celle des relations
humaines
devenues indépendantes des liens au sol et des définitions territoria
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50 000 milliards en 2575 Peu après l’an 2600, les
humains
se touchent tous, et là s’arrêtent forcément mes calculs. « On pourra
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vers visible ne serait plus qu’une sphère d’êtres
humains
, dont le diamètre s’allongerait à la vitesse de la lumière. La sobre
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erre longtemps avant de l’avoir couverte de chair
humaine
(vive ou morte), de déchets radioactifs et de béton. Mais cela doit n
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es vers l’an 2000, tôt après, vers 2050, tous les
humains
vivent dans des agglomérations « de plus d’un million d’habitants » —
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aquelle dénote, entre autres, une « agglomération
humaine
dont les habitants ne peuvent produire tout le ravitaillement dont il
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-civiliser les villes, d’y dégrader les relations
humaines
, et d’y créer la plèbe au lieu du corps civique : elle dénature aussi
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ngeons. Ainsi, le DDT s’installe dans l’organisme
humain
, dont il attaque le système nerveux21. Déjà « la faim dans le monde »
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genèse mythique, je la vois liée à l’agressivité
humaine
: ce vol du feu par Prométhée, qui en est si cruellement puni par les
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bles, côté foie, que vos collègues des « sciences
humaines
», sociologues, psychologues, politologues, tous plus ou moins contes
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’est la guerre qui l’accouche. La technique reste
humaine
tant qu’elle traduit nos rêves constants. Objectivée, « impérative »,
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car elle est encore beaucoup trop chère en coûts
humains
et naturels, et trop mal adaptée à nos pouvoirs comme à nos véritable
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is le désir de faire faire, de confier le travail
humain
à des appareillages automatiques, déchargeant l’homme non seulement d
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uteillages et immobilité ; trop de concentrations
humaines
produisent les « foules solitaires » des grandes villes. Trop de remè
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s compté dans ce qui permet de mesurer le progrès
humain
, son action demeurant gratuite.) Il s’accroît, en effet, avec le nomb
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coûts aux contre-coûts et, finalement, les pertes
humaines
aux profits matériels. Le PNB n’est pas du tout cet « instrument cert
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s économistes s’est laissé détourner des réalités
humaines
non nationales, sacrifiées à la seule croissance. Et voilà le princip
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urs enfants et petits-enfants et de toute la race
humaine
. Aucun pays, quel que soit son système politique, ne doit permettre q
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dèle de société que je récuse radicalement. Car l’
humain
s’y voit sacrifié non pas même au profit (ici très négatif) mais à la
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e moins en moins gênée par les freins naturels et
humains
. Ces freins étaient la pénurie et la coutume, l’autonomie civique et
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ns et les pertes réelles, globales, naturelles et
humaines
, enregistrées par le domaine public dont dépend la qualité de vie des
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e s’opposent pas moins par les types de relations
humaines
qu’ils impliquent et qu’ils favorisent. Institué par la force comme c
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. Cette distance entre le pouvoir et les réalités
humaines
et naturelles, cet esprit d’abstraction, ce mépris du civisme, donnen
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plus mécanisée que dans n’importe quelle société
humaine
jusque-là. Tout y est militarisé, c’est-à-dire mobilisable à tout mom
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ûr, qu’à sa tête. Il exige parfois des sacrifices
humains
— « guerres limitées » qu’il juge indispensables pour « assurer sa pr
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ironnement. Mais l’État-nation est aussi une très
humaine
réalité, un personnel : fonctionnaires de tous rangs et ministres. Ce
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existences innocentes. C’est une réalité purement
humaine
— on était en train de l’oublier. S’il n’a cessé depuis Napoléon d’ét
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pas un phénomène cosmique, mais un sentiment tout
humain
dont nul d’entre nous ne peut jurer qu’il ne l’a jamais éprouvé, fût-
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iiie siècle ; l’effort pour trouver un équilibre
humain
plus large et plus fécond que celui du confort en a pâti. L’effort po
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u non. Nous sommes seuls responsables de l’avenir
humain
: mieux vaut le savoir et cesser de nous cacher derrière toutes sorte
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ute espèce de politique ou stratégie de la survie
humaine
. Cette prévision, d’origine agricole, est donc annuelle. L’ère modern
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, sinon toutes les réalités et qualités de la vie
humaine
, du moins celles qu’on juge essentielles et déterminantes pour l’ense
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euxième postérité de Wells : la qualité de la vie
humaine
leur paraît finalement plus importante que l’accroissement du PNB. Jo
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leur crise, tout se passe en dehors des volontés
humaines
. « On n’y peut rien. » Elle voudrait substituer au sentiment de sourd
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gner la guerre à n’importe quel prix financier ou
humain
, rien ne vient brouiller les calculs. Mais, du même coup, se vérifie
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cteur d’entropie, et de déperdition du patrimoine
humain
. Tout cela va vers une mort calculable, non vers la surprenante spont
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au calcul, il faut admettre aussi qu’une société
humaine
n’est pas une mécanique, ou ne l’est que partiellement, et que dans t
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a fait. Tout ce qui peut s’observer dans le noyau
humain
, physiologique mais aussi psychique, s’inscrira dans l’histoire un jo
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jour ou l’autre. Telle est la loi de l’évolution
humaine
— et du même coup, de la prospective intuitive. Finalités et critè
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où le fracas des machines couvre déjà la plainte
humaine
… » …L’homme moderne recule devant l’évidence de la banqueroute procha
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peut subsister qu’en progressant. Mais la nature
humaine
a des limites. Et le temps approche où elles seront atteintes. » On p
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ournant de l’essentiel une grande part des forces
humaines
, il travaille contre l’Esprit. » Je voyais qu’il fallait choisir : «
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le d’en comprendre les correspondances divines et
humaines
, insensible même à sa déchéance, abandonné à la lutte tragique et abs
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conscience de ses besoins et de ses buts propres,
humains
et divins. » Mauvais loisirs. Ford lui a donné une auto pour aller ad
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a perdu le sens religieux, cosmique, de l’effort
humain
. Il ne peut plus situer son effort individuel dans le monde, lui attr
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été, sur la nature et, finalement, sur le bonheur
humain
. Il est vrai que ce succès total a été rendu possible, en fait, par l
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ées toxiques, danger permanent d’écraser le corps
humain
par le poids et la dureté des matériaux. Combien de nouveaux ouvriers
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ans notre siècle existait en puissance dans l’âme
humaine
depuis la formation de la première société. Hitler n’a fait que lui p
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» Dès avant la guerre de 1939, la majorité des
humains
savaient qu’Hitler était le nom d’un désastre imminent et mondial. Po
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aurait y avoir puissance d’une partie sur un tout
humain
. Il n’y a en fait que la puissance d’un parti sur sa propre nation, s
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brimée, qui défie Dieu ou le destin. Que l’avenir
humain
soit notre affaire n’implique pas que nous soyons libres de faire à n
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viennent irréversibles ou non ; que la communauté
humaine
se dissolve au profit de l’État, ou se reforme malgré lui. Tout ce qu
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raiment est politique : l’entretien des relations
humaines
dans la cité, la sauvegarde des eaux et des forêts, le progrès vers l
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qui doit remplacer, dans la société concertée des
humains
, l’autorégulation de l’organisme vivant et les sociétés animales. Ens
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core qu’il ne le sent dans son besoin de contacts
humains
, de rencontres et de surprise, mais surtout, plus profondément, d’app
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ècles suivants vont déduire la notion de personne
humaine
— à la fois transcendante et immanente — une idée révolutionnaire se
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avait naguère décidé qu’il n’y a pas de « nature
humaine
». Il se trompait sans doute : l’homme n’est rien que nature, nous di
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t orienter Le but ultime de la cité ou société
humaine
organisée — telle du moins qu’un Occidental peut la concevoir aujourd
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a conduite de la cité, que de « contraindre » les
humains
, au nom d’impératifs dont on ne conçoit même pas qu’ils puissent être
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ace qu’en temps de guerre, temps où les relations
humaines
sont anormales, exaltées, simplifiées, loin de la vraie vie, et facil
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te, qui est l’attribut caractéristique de l’amour
humain
». Pour Althusius, « la première société est dans le couple ; la suiv
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Idée spirituelle dans l’extériorité de la volonté
humaine
et de sa liberté », ou « le peuple, dans la mesure où il s’est struct
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t délibérément, les conditions concrètes, le prix
humain
et l’enjeu politique de ces opérations. Sait-il, ou refuse-t-il de sa
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ères chances de l’Occident, et probablement, de l’
humain
. Pour Althusius, à la base est le Couple, toi et moi, origine « éroti
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pour mieux dire matrimoniale, de toute communauté
humaine
. Toi et moi, c’est le nous primitif. Premier degré d’une société qui
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et tant pis pour le prix si c’est d’abord un prix
humain
, « il faut ce qu’il faut » ; pour le reste « c’est l’État qui paiera
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tige national, avec les fins dernières du progrès
humain
— celles que pourrait avouer notre culture occidentale christianisée,
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cohérence s’appelle responsabilité de la personne
humaine
. C’est une politique dont chaque temps et chaque but se trouve subord
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entral, le foyer rayonnant, le cœur de la réalité
humaine
où vient retentir l’appel des fins les plus lointaines. Et c’est l’ac
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s auxquels pourra jamais prétendre une révolution
humaine
. Leur succès serait le terme absolu de la vocation occidentale. En 1
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n collectif, dans la dissolution de tout ensemble
humain
où leur voix pourrait se faire entendre. Recréer une communauté où l
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e nous posions, celui de la dégradation des liens
humains
dans les sociétés « avancées » du xxe siècle. Pourquoi les commun
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e, ni le cadre naturel, détruits, ni le voisinage
humain
qui demeure inconnu : tout est subi, dans la mauvaise humeur et le co
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té fondamentale, universelle et constitutive de l’
humain
. Solutions vagues ? Mais, parlant de communauté, il faut se gar
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entassements mégalopolitains de 4 à 15 millions d’
humains
, qui déjà déshonorent l’Europe, l’Inde, l’Extrême-Orient et les deux
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nt : Que signifient démocratie, liberté, dignité
humaine
, niveau de vie, réalisation de soi, épanouissement ? Est-ce une quest
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ut cela pour établir le contact avec les réalités
humaines
de pauvreté, de frustration, d’aliénation, de désespoir, de dépressio
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ue non chiffrable de la dégradation des relations
humaines
dans le vertige des trop grandes dimensions, dans le vide social des
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! ») sans lesquels la rencontre entre deux êtres
humains
, ou deux êtres vivants simplement, n’a pas eu vraiment lieu, reste un
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la paix, appelle des mesures conservatoires de l’
humain
et de la nature, celles que réclament dès aujourd’hui des dizaines de
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, se disposent à la sacrifier en tant que réalité
humaine
, sur l’autel du prestige national. La fédération européenne appell
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doivent se sentir étrangement à côté des réalités
humaines
contemporaines. Cette expression emphatique et abstraite, à quoi peut
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nt, et désignent l’état de paix entre communautés
humaines
. L’autogestion peut aussi se définir par ce qu’elle est destinée à re
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civique dans le concret de la vie, des relations
humaines
, et des décisions qu’elles demandent. Car ce qui importe, pourquoi ne
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rre. La réduction proprement insensée de réalités
humaines
physiques, spirituelles, culturelles, économiques… à une seule et uni
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serait à aucun titre un modèle neuf de relations
humaines
et de structure du pouvoir. Elle ne représenterait aucune révolution,
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de l’histoire, la seule forme pensable de société
humaine
. Et, du même coup, elle tend à nous faire croire que cet État-nation
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, que deux camps, deux politiques, deux attitudes
humaines
possibles. Ce ne sont pas la gauche et la droite, devenues presque in
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ien par l’appropriation des machines à leurs fins
humaines
, à leurs fins non seulement de profit matériel et financier, mais de
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que la politique est l’aménagement des relations
humaines
dans la cité (polis), elle devient l’art de formuler, composer et hié
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semble organique de décisions conservatoires de l’
humain
. Seul un gouvernement européen, c’est-à-dire un Conseil fédéral formé
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processus de la création organique, dans l’ordre
humain
tant social que psychique. La non-violence est l’ouverture au monde,
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st aussi prévisible que la continuation de la vie
humaine
sur la Terre, pas davantage. Rien là d’inévitable, puisque, en fin de
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ode d’évaluation des moyens et des fins de la vie
humaine
d’où a résulté l’État-nation qui, à son tour, l’entretient. Du systèm
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oissance à tout prix par des formules d’équilibre
humain
qui prennent en compte le bonheur, ou simplement l’aisance à vivre, p
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urplus de « petites cellules urbaines à l’échelle
humaine
», d’ampleur limitée à 50 000 habitants204 ; enfin des futurologues c
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sormais à prendre des mesures conservatoires de l’
Humain
, quelqu’un demanda : « Pourquoi voulez-vous donc que ça dure ? » Ques
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voyons aujourd’hui certaines causes du péril où l’
humain
risque de s’anéantir, et nous disons : ce serait trop bête ! Nous ven
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ions, ni d’Europe, ni de paix, ni de futur à vues
humaines
. J’ai voulu lire l’avenir inscrit en nous — non certes dans nos chrom
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ra pas dans la cité, dans le réseau des relations
humaines
, s’il ne s’est opéré d’abord en vous. Si vous voulez changer l’avenir
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interrogé sur l’avenir par la voix de l’angoisse
humaine
dit seulement : Convertissez-vous ! Le mot doit être ici reçu dans to