1 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Pétrarque, par Charles-Albert Cingria (avril 1933)
1 ritique ». Tel qu’il est, un petit chef-d’œuvre d’ humanisme poétique. Car l’« érudition » de Cingria reste si constamment précise
2 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Saint-Évremond ou L’humaniste impur, par Albert-Marie Schmidt (octobre 1933)
2 s, à force de les éclaircir », et l’impureté d’un humanisme que l’on croyait tempéré et limpide, mais que l’on voit « s’échauffer
3 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Taille de l’homme, par C. F. Ramuz (avril 1934)
3 ndance. C’est là le point de la rupture avec tout humanisme imaginable (l’homme sauvé par son progrès). 27. Pas la Nature de Ro
4 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Paracelse, par Frédéric Gundolf (septembre 1935)
4 toires. Peut-être allons-nous revenir non pas à l’ humanisme mais à l’homme, considéré comme un miroir du ciel entier. Certes, ell
5 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Propos sur la religion, par Alain (avril 1939)
5 egaard. Alors éclate le conflit véritable entre l’ humanisme et la foi, le scandale au sens paulinien, tout ce que le sage jugera