1 il n’est plus qu’un seul des rêves constants de l’ humanité qui ne soit pas théoriquement réalisable : connaître l’au-delà de la

2 irituelle l’Europe étouffe la quasi-totalité de l’ humanité . » Cette phrase résume la thèse de l’auteur du volume, le Martiniquai

3 fort loin de représenter « la quasi-totalité de l’ humanité  », mais un tiers au plus, durant la période considérée.) La culture d

4 enir de l’Europe est une aventure décisive pour l’ humanité tout entière. L’Europe est cette partie-là du monde qui a fait « le M

5 és de peuplement de la terre nous fait voir que l’ humanité s’est concentrée depuis longtemps dans trois régions privilégiées à c

6 e les Chinois, qui étaient pourtant le tiers de l’ humanité vers 1850, et qui en sont encore près du quart aujourd’hui (ils n’en

7 mplète les unes des autres. Elle avait permis à l’ humanité de prendre conscience de son unité. L’idée d’universalité, l’idée mêm

8 ! — qui se trouve contenir à la fois le 94 % de l’ humanité actuelle et le 98 % de la production totale du monde. De là le nom d’

9 on pourrait observer pratiquement les 19/20e de l’ humanité , tandis que du point de vue correspondant aux antipodes, on ne verrai

10 découvre les vertus de la culture générale et des humanités , et d’une pédagogie plus ferme, pour ne pas dire autoritaire, si bien

11 ue l’injustice, dans l’immense processus chargé d’ humanité et de charité héroïque autant que de crimes et de cupidité, d’une ave

12 ques siècles, et en tout cas d’un doublement de l’ humanité (bouches à nourrir et bras à occuper) dès les environs de l’an 2000,