1 1978, Cadmos, articles (1978–1986). L’Intellectuel contre l’Europe (été 1978)
1 te doivent périr. » « Nous autres tard venus de l’ humanité  » s’exclame J. Burckhardt au moment même — relève l’auteur — « où Ver
2 e de l’Angleterre, des États-Unis, la marche de l’ humanité vers l’unité. Ainsi, Engels peut écrire, en 1848, au sujet de l’expan
2 1980, Cadmos, articles (1978–1986). Madame de Staël et « l’esprit européen » (été 1980)
3 denrées la richesse et le bien-être général de l’ humanité  »56. Car elle savait surtout que la vraie finalité d’une union qui mé
3 1981, Cadmos, articles (1978–1986). L’apport culturel de l’Europe de l’Est (printemps 1981)
4 aire d’élever par l’éducation tous les hommes à l’ humanité . » Dans la préface qu’il a donnée aux Pages choisies de Comenius publ
4 1984, Cadmos, articles (1978–1986). L’État-nation contre l’Europe : Notes pour une histoire des concepts (printemps 1984)
5 unir pour survivre. Elle doit survivre pour que l’ humanité ne soit pas entraînée dans sa perte.76 9. Où la Souveraineté nat
6 esser les jeunes générations. Or, l’histoire de l’ humanité n’est pas faite seulement d’accidents, de victoires et défaites élect
7 ation « persuasive » du péril total encouru par l’ humanité ) Nota bene. 1. Dans les deux colonnes, il n’y a que des « vertus »
5 1984, Cadmos, articles (1978–1986). Conclusions (été-automne 1984)
8 de créer le plus grand péril jamais encouru par l’ humanité . Nous avons eu l’impression qu’autour de cette table, quelque chose s
6 1986, Cadmos, articles (1978–1986). Denis de Rougemont tel qu’en lui-même… [Entretien] (printemps 1986)
9 il y a deux grandes finalités qui se partagent l’ humanité et qui fonctionnent dans tout homme, la puissance d’une part et la li