1
humain et rien qu’humain. Elle devait conduire l’
humanité
à des impasses mortelles, celles-là mêmes où se désespère le xxe siè
2
ombat d’aveugles peint par un primitif flamand. L’
humanité
pâtit à tous les coups, soit que triomphe un spiritualisme sans corps
3
nement des siècles et l’évolution historique de l’
humanité
. Ils résultent d’attitudes différentes que Dieu adopte en face de l’h
4
Et ceci : « Un homme ne peut se dépouiller de son
humanité
. » Par malheur, j’ai oublié la référence. Nicodème. — Peu importe. C
5
olontiers : un homme ne peut se dépouiller de son
humanité
; un chrétien ne peut se dégager de sa “divinité” (au sens où saint C
6
i vu que l’homme ne peut pas se dépouiller de son
humanité
, et je le dis, et je l’atteste ! C’est là mon expérience, mon expérie
7
deux-mille années, intarissablement, à travers l’
humanité
, les ondes radioactives du Salut.20 » L’étudiant qui lisait referma b
8
scolastique, la grâce infuse ! et si toute notre
humanité
est soumise à cette fécondation permanente par je ne sais quelle radi
9
et pourrait rallumer d’un nouveau feu toute notre
humanité
, plus ou moins consumée par le péché. Pourquoi donc Nicodème défend-i