1 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
1 humain et rien qu’humain. Elle devait conduire l’ humanité à des impasses mortelles, celles-là mêmes où se désespère le xxe siè
2 ombat d’aveugles peint par un primitif flamand. L’ humanité pâtit à tous les coups, soit que triomphe un spiritualisme sans corps
2 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
3 nement des siècles et l’évolution historique de l’ humanité . Ils résultent d’attitudes différentes que Dieu adopte en face de l’h
3 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
4 Et ceci : « Un homme ne peut se dépouiller de son humanité . » Par malheur, j’ai oublié la référence. Nicodème. — Peu importe. C
5 olontiers : un homme ne peut se dépouiller de son humanité  ; un chrétien ne peut se dégager de sa “divinité” (au sens où saint C
6 i vu que l’homme ne peut pas se dépouiller de son humanité , et je le dis, et je l’atteste ! C’est là mon expérience, mon expérie
7 deux-mille années, intarissablement, à travers l’ humanité , les ondes radioactives du Salut.20 » L’étudiant qui lisait referma b
8 scolastique, la grâce infuse ! et si toute notre humanité est soumise à cette fécondation permanente par je ne sais quelle radi
9 et pourrait rallumer d’un nouveau feu toute notre humanité , plus ou moins consumée par le péché. Pourquoi donc Nicodème défend-i