1 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable III : diable et sexe (29 octobre 1943)
1 sexualité insignifiante, et déprime secrètement l’ humanité de l’homme. Le sexe n’est pas plus divin qu’il n’est honteux, mais il
2 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable VI : Le mal du siècle : la dépersonnalisation (19 novembre 1943)
2 que dans les temps modernes, et montrer comment l’ humanité qui se donne au diable, de nos jours, le fait en masse. C’est pour ce
3 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable XI : Le diable dans nos dieux (24 décembre 1943)
3 de projets philanthropiques, propres à réformer l’ humanité au-delà de tout ce que je désirerais même imaginer. Il venait d’allum
4 1969, La Vie protestante, articles (1938–1978). La lune, ce n’est pas le paradis (1er août 1969)
4 i a coûté le plus cher dans toute l’histoire de l’ humanité — on la chiffre à peu près à 100 milliards de francs — mais cette opé
5 nchantement. J’ai l’impression que les rêves de l’ humanité depuis des siècles — les rêves de poètes, les rêves de fantaisistes c
5 1978, La Vie protestante, articles (1938–1978). « Bof ! disent les jeunes, pourquoi ? » (1er décembre 1978)
6 ables, nous les hommes, de toutes les crises de l’ humanité et de leur développement. Dans le monde où nous existons, même la nat
7 ourquoi voulez-vous absolument que ça continue, l’ humanité  ? », j’ai répondu : C’est quelque chose qui est plus fort que moi, et
8 ement du mal ; que nous pourrions encore sauver l’ humanité — je ne dis pas dans un sens spirituel — dans un sens simplement phys
9 est question là d’un développement de la vie de l’ humanité vers la pléni­tude, qui est une divinisation de l’homme. S’il y a dan
10 t leur parler de menaces sur la vie physique de l’ humanité , ça les embête, ça leur fait peur — comme à tout le monde, il ne faut
11 e la croissance illimitée comme bien suprême de l’ humanité est une idée fondamentalement antichrétienne. Refuser la puissance ne