1 au milieu de leurs calculs : ils avaient oublié l’ humanité de l’homme, et tout échoue devant une révolte qui leur paraît irratio

2 ns la réalité de l’homme agit au détriment de son humanité . Il n’y a pas d’autre cause à la crise présente : l’homme moderne a p

3 es. Un autre trouble est cet amour théorique de l’ Humanité , qui traduit une fuite devant l’humanité particulière telle qu’elle e

4 que de l’Humanité, qui traduit une fuite devant l’ humanité particulière telle qu’elle est incarnée par le prochain visible. Soci

5 sa politique : elle affirme la Paix, le Droit, l’ Humanité  ; elle ne respecte en fait que les opportunistes. Ces faits bien étab

6 u’est l’homme, quelles sont les conditions de son humanité , à quelles règles il faut se plier pour respecter en lui sa raison d’

7 rès composite, très générale, qui englobe toute l’ humanité , et dont les éléments sont presque tous de nature collective. L’histo

8 u serait l’auteur, et que rien dans le passé de l’ humanité ne peut permettre même d’imaginer. Il s’agit là d’une gigantesque car

9 pas, bien entendu, à discuter ici la question des humanités . Nous prendrons le mot humanisme au sens plus général, non moins préc

10 que, pour les uns, le salut est transcendant à l’ humanité , pour les autres, immanent. Les humanistes accusent les chrétiens d’

11 plus formidable entreprise d’assurance-vie que l’ humanité ait jamais conçue. C’est à ce titre que le « marxisme-léninisme » peu

12 et son culte orthodoxe, le marxisme, exigent de l’ humanité un déploiement plus généreux, plus intégral de ses puissances. Les pr

13 t, le salut n’est pas à débattre sur le plan de l’ humanité , mais entre l’homme, entre tel homme et la Réalité qui seule peut gar

14 r l’homme tel qu’il est. L’homme n’est égal à son humanité totale que là où il se montre créateur de lui-même. Non, ce n’est poi

15 d’elle la création d’un « homme nouveau », d’une humanité riche, heureuse, orgueilleuse de sa force, libérée de tout tragique,