1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Introduction
1 éditer sur l’avenir ambigu qu’elle prépare pour l’ humanité . Ainsi, la question où en sommes-nous ? entraîne nécessairement les d
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
2 plan religieux. Au nom même du désir d’union de l’ humanité qui anime de part et d’autre les meilleurs esprits, il me paraît vita
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
3 esque pas varié quant à la date de naissance de l’ humanité . Un professeur de Cambridge, au xviie siècle, crut pouvoir la précis
4 rait d’admettre. Centupler brusquement l’âge de l’ humanité peut paraître une révolution considérable. Mais ce n’est guère qu’un
5 insi de suite à l’infini. Quant au temps de notre humanité  : chaque jour de Brahma se divise en mille éons de 4 320 000 ans chac
6 abord de mythifier le Christ en niant sa parfaite humanité  : c’est l’intention commune à toutes les hérésies gnostiques, maniché
7 ouchée en premier lieu par le message chrétien, l’ humanité occidentale a dû trouver les moyens de l’accepter progressivement et
8 ’une quarantaine d’années) il se révèle que notre humanité n’a pas derrière elle 6000 ans, mais probablement 600 000. Et que la
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience de l’espace
9 ement, illustrent et enregistrent la mémoire de l’ humanité . Et l’ensemble des fouilles qu’elles conduisent sur toutes les partie
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
10 La préhistoire de la technique va des débuts de l’ humanité à la fin du xviiie siècle. L’histoire de la technique comme entité d
11 nuer à « jouer le jeu » selon les règles. Ainsi l’ humanité dans ses rites religieux « joue » l’ordre naturel pour qu’il se perpé
12 grands problèmes des plus réels vont se poser à l’ humanité de l’Occident. Un danger : la technocratie. Une promesse effarante :
13 xième but, qui est d’assurer la subsistance d’une humanité qui s’augmente de 70 000 âmes par jour, a paru s’éloigner à mesure qu
6 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
14 utes les autres guerres de notre Histoire, mais l’ humanité s’est accrue sur un rythme sans précédent. La désunion des nations de
15 es moyens de subvenir aux besoins d’énergie d’une humanité qui menace de doubler quantitativement dans un délai dont nos petits-
7 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Le drame occidental
16 ntalisation (trop rapide) d’une large partie de l’ humanité , au moins autant qu’un recul politique de l’Occident ? Et si l’on se
17 gne donc pour fomenter les anticorps immunisant l’ humanité contre certains virus qu’elle seule a propagés. En se sauvant elle-mê
18 ies. L’unification relative des deux moitiés de l’ humanité va-t-elle désormais s’opérer sous le signe, d’ailleurs ambigu, du Pro
8 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Où l’Aventure et la Voie se rejoignent
19 il n’est plus qu’un seul des rêves constants de l’ humanité qui ne soit pas théoriquement réalisable : connaître l’au-delà de la
20 des options ou rêves animateurs de sa moitié de l’ humanité  ; et les réalités vécues qui en sont nées. On ne peut comparer deux r