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mes spécifiques qui les distinguent du reste de l’
humanité
. Tous les continents se ressemblent et ont aujourd’hui les mêmes prob
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s hommes, des hommes relevant d’un certain type d’
humanité
et d’un certain type de culture. Or ces hommes ne sont pas des produi
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techniques, seules capables de nourrir demain une
humanité
en si rapide croissance ? Faut-il être pessimiste ou optimiste ? Bern
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même problème crucial se pose au même moment à l’
humanité
tout entière. 1. Chacun sait que « Naples est la seule ville orien
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se développera l’automation. Imaginons donc notre
humanité
occidentale partiellement libérée du travail mécanique, pourvue de lo
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voir — ou pour la mettre à leur service. Ainsi l’
humanité
pendant des millénaires, des dizaines, des centaines de millénaires…
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t déclenché le vaste processus d’unification de l’
humanité
, aux débuts duquel nous assistons. C’est un fait que la technique, né
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la vraisemblance du fait. Et pendant ce temps, l’
humanité
se multiplie, et ses besoins en énergie s’accroissent en progression
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étique. La situation de notre continent — et de l’
humanité
tout entière — serait apparemment sans espoir, si la culture élaborée
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e génie, par nos savants européens, au défi d’une
humanité
dont notre science, notre hygiène et nos techniques étaient en train
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rait expliquer ce fait central de l’histoire de l’
humanité
par des données purement physiques, bien au contraire. Ni le sous-sol